Ndlr. Tous les médias répètent en boucle et à l’unisson, comme des charognards, et en salivant déjà, la pub pour un énième livre anti-Trump, avant même sa parution! Est-ce cela le rôle du Service dit public et du journalisme de qualité? Entretenir à grands frais des propagateurs de ragots?
Oui, il ne faut plus seulement s’indigner mais agir, réagir et manifester contre ces boîtes à ragots.
PS. Les médias remettent cela aujourd’hui, 6.9.2018, en citant, de nouveau en boucle, un article du quotidien de gauche The New York Times, article anonyme! qui dénonce le fonctionnement dangereux de la Maison Blanche !
...
Bob Woodward publie un livre accablant sur les coulisses de la Maison Blanche
suite aujourd'hui 6.9.2018, avec l'article anonyme dans le journal de gauche The New York Times dont parle avec délectation "la correspondante aux USA" du journal Le Temps :
Nos lecteurs commentent et nous signalent l’article en question . Merci à J.St. :
« Ça continue...
Jour après jour...
Les malfaisants sont à l’action...
Amicalement. »
Ndlr. On remarquera que la journaliste du Temps, anti-Trump maniaque, qui n’informe en rien sur les réalisations du Président des USA, tout en indiquant qu’il peut s’agir d’une grande manipulation, reprend néanmoins l’article : « En acceptant une telle tribune anonyme, le New York Times, régulièrement qualifié de «fake news» par Donald Trump, prend des risques considérables, une diabolique manipulation n'étant pas à écarter… » !
L'article du Temps :
https://www.letemps.ch/monde/grand-deballage-dun-resistant-coeur-machine-trump
Le grand déballage d'un «résistant» au coeur de la machine Trump
Le New York Times publie une tribune anonyme dévastatrice rédigée par un haut fonctionnaire de l'administration Trump. L'auteur y dénonce l'incapacité du président à diriger le pays
Valérie de Graffenried
Donald Trump s'en est pris ces derniers jours avec férocité au livre du journaliste d'investigation Bob Woodward, qui décrit le chaos à la Maison-Blanche. Il a désormais de quoi être beaucoup plus inquiet et en colère. Une opinion anonyme publiée mercredi après-midi sur le site du New York Times a fait l'effet d'une bombe.
Combattre ses «pires penchants»
Intitulée «Je fais partie de la résistance au sein de l'administration Trump» et rédigée par l'un de ses hauts fonctionnaires, la tribune révèle ni plus ni moins comment une partie de ses ministres et conseillers luttent de l'intérieur pour contenir le président des Etats-Unis et combattre ses «pires penchants» et son «amoralité».
Le cadre, dont le New York Times connaît l'identité, décrit Donald Trump comme inapte à la fonction présidentielle, en raison de son comportement erratique et imprévisible, de son instabilité et de sa propension à réagir de façon épidermique sans écouter ses collaborateurs. Son comportement est qualifié de «mesquin», d'«impétueux» et d'«inefficace». «Les hauts fonctionnaires reconnaissent en privé leur incrédulité quotidienne face aux commentaires et aux actions du commandant en chef. La plupart travaillent à préserver leurs actions de ses caprices», révèle l'auteur.
Plus loin, il écrit: «C'est peut-être un petit réconfort dans cette période chaotique, mais les Américains doivent savoir qu'il y a des adultes dans la salle. Nous sommes pleinement conscients de ce qui se passe. Et nous essayons de faire ce qui est juste, même lorsque Donald Trump ne le fera pas». Il évoque encore les rumeurs à propos de l'invocation du 25e amendement par des membres de son cabinet, «qui amorcerait un processus complexe de destitution du président». «Mais personne ne voulait provoquer une crise constitutionnelle. Nous ferons donc tout notre possible pour orienter l’administration dans la bonne direction jusqu’à ce que, d’une manière ou d’une autre, cela se termine», souligne encore le fonctionnaire, qui rend en passant hommage au sénateur John McCain.
Tentatives de le «contrôler»
«Si cette opinion du New York Times n'est pas une provocation ou une forme de canular, qui tuerait d'un coup d'un seul la réputation du journal, cette tribune contre Trump de la part d'un de ses ministres ou conseillers est un bombe lancée contre sa présidence bien plus forte encore que le livre de Woodward», commente, sur Twitter, l'historien Corentin Sellin, qui suit assidûment l'administration Trump.
Le spécialiste des Etats-Unis ne cache pas sa perplexité et un certain «malaise» à la lecture du document. La taupe en question relate en effet tenter de «contrôler» Donald Trump, sans vraiment empêcher qu'il reste en place. «Une lecture moins flatteuse de la tribune que celle proposée par son auteur fait penser à une clique de conservateurs bon teint ayant instrumentalisé Trump à leur profit tant qu'il servait leurs intérêts, et pour des raisons non explicitées, voulant désormais le rejeter...», précise Corentin Sellin.
En acceptant une telle tribune anonyme, le New York Times, régulièrement qualifié de «fake news» par Donald Trump, prend des risques considérables, une diabolique manipulation n'étant pas à écarter. Son auteur prend également des risques. A moins qu'il ne décide de révéler lui-même son identité une fois sa démission donnée. Ces derniers temps, plusieurs ministres ainsi que le secrétaire général de la Maison-Blanche ont montré quelques signes de découragement.
Des «impulsions malencontreuses»
L'auteur anonyme justifie sa démarche en disant vouloir protéger son pays contre le comportement du président. Et pas dans le but d'apporter de l'eau au moulin des démocrates. Dans un livre-brûlot qu'elle vient de publier, Omarosa Manigault, une ex-conseillère de Donald Trump qui l'encensait encore il y a plusieurs mois, relève également qu'«une armée de gens travaillent en silence et sans ménager leurs efforts pour s'assurer qu'il ne cause pas de dommage à la république». «Beaucoup de membres de cette armée silencieuse se trouvent dans son parti, au sein de son administration, et même au sein de sa propre famille», précise-t-elle.
Dans son propre livre, qui sort officiellement le 11 septembre, Bob Woodward dépeint Trump comme paranoïaque et colérique. Lui aussi décrit les efforts de certains de ses proches collaborateurs pour éviter des dérapages et décisions malheureuses.
Mercredi soir, Donald Trump a répondu à la tribune anonyme de façon surprenante, comme le montre une séquence diffusée à la télévision. Il a vanté ses propres mérites et a rappelé que le New York Times avait dû, après son élection, s'excuser auprès de ses lecteurs pour avoir rendu compte de la campagne présidentielle avec partialité. Puis, il a lâché un premier tweet, avec un seul mot, en lettres majuscules: «TRAHISON?». «Si la personne anonyme sans courage existe bel et bien, le Times doit, pour des raisons de sécurité nationale, le dénoncer immédiatement au gouvernement!», écrit-il dans le suivant.
Le gars pas prétentieux : “Je fais partie de la résistance au sein du gouvernement Trump”
(…)
“Nous pensons que nous avons d’abord un devoir envers notre pays, et que le président continue d’agir d’une façon néfaste à la bonne santé de notre république”, écrit-il. “C’est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés à faire ce que nous pouvons pour préserver nos institutions démocratiques tout en contrecarrant les impulsions les plus malencontreuses de M. Trump jusqu’à ce qu’il ait quitté son poste”.
C’est vrai que la démocratie est en péril : les élections ont été supprimées. Le but est de virer Trump. Quel que soit le moyen.
Mon passage préféré ! :
“Le coeur du problème est l’amoralité du président”, poursuit-il. Estimant que l’administration a engrangé un certain nombre d’avancées depuis son élection – déréglementation, réforme fiscale, renforcement de l’armée – il juge que ces dernières ont été obtenues “en dépit de et non grâce” à Donald Trump, dont il qualifie le style de leadership de “mesquin”, “impétueux” et “inefficace””.
Méga mauvaise foi : “déréglementation, réforme fiscale, renforcement de l’armée” faisait partie du programme de Trump, qui tient parole (sauf sur le déficit).
C’est un Républicain in name only sur la ligne Mac Cain, l’ami des démocrates. Autre grand moment : “John Kerry a évoqué, sur CNN, une “véritable crise constitutionnelle”. “, seulement ça ! A propos d’un livre de Dieu sait qui racontant ce qu’il veut.
Le swamp se défend, et ce marécage washingtonien fait sortir les livres anti Trump comme des champignons après la pluie à quelques semaines des élections midterm.
https://www.lenouvelliste.ch/articles/monde/etats-unis-le-new-york-times-publie-une-tribune-anonyme-explosive-visant-trump-782205
Mais c’est ahurissant ce pure lynchage quotidien des merdias,difficile à croire mai vrai.Il y a belle et bien une volonté des journalopes à nuire cette personne.Les patrons des grands groupes de médias mondial se concertent voir complotent ensembles sinon leurs collaborateurs ne sont que des abrutis au niveau mondial.
oui, ou à quand un livre accablant sur les coulisses de la politique à Macron ? Hulot l’a bien dit, c’est lui qui fait la pluie et le beau temps a l’Élisée les autres suivent et se taisent.