Merci à J.-D. Ruegsegger pour la traduction à partir du dialecte alémanique
Au cœur de la Ville de Zurich, quatre politiciens socialistes équipés de pelles d’or creusent une fosse à millions: la conseillère fédérale Sommaruga, le conseiller d’Etat Fehr, la présidente de la Ville Mauch et le conseiller municipal Golta.
Ces politiciens PS professionnels sont aussi peu à leur place parmi des ouvriers de chantier que le seraient par exemple des membres de l’UDC aux côtés d’employés de la SSR. Et bien entendu, ils ne bâtiront ni ne paieront eux-mêmes cet édifice. Ce sont les contribuables qui devront le payer.
Avec ces quatre socialistes, Zurich fête la construction d’un nouveau centre d'asile fédéral. Il sera situé au cœur de la ville et la conseillère fédérale Sommaruga déclare qu’il « animera le quartier de Zurich-Ouest ». On peut le dire: les requérants d’asile seront placés au cœur du trafic de drogues, de la criminalité étrangère et de la prostitution. L’expérience nous démontre qu’en quelques semaines, plus de 50% des requérants d’asile disparaissent.
Le coût de ce palais de l’asile sera de 24,5 millions de francs. Les requérants l’apprécieront bien plus qu'un hébergement au col du Grimsel. Et dix-huit centres de ce type sont prévus en Suisse, ce qui devrait apporter une accélération des procédures d’asile… mais heureux ceux qui ont la foi.
Quelles pensées peut bien susciter en Erythrée, en Afghanistan ou en Iran la vue de ces coups de pelles d’or donnés à Zurich? La Suisse nous souhaite la bienvenue avec des constructions valant des millions. Au moment même où l’Italie ne veut plus d’augmentation du nombre de migrants, où la menace d’une crise gouvernementale due à la crise de l’immigration plane sur l’Allemagne, où l’UE appelle à une sécurisation des frontières extérieures, Zurich ouvre un luxueux centre d’asile. Lors de cette ouverture, la conseillère fédérale Sommaruga a commenté la situation par une brève formule: « Je suis soucieuse ». Nous ne pouvons que lui rétorquer: « Nous sommes également très soucieux ».
Le quiz de la semaine nous apprend que le nombre des personnes dépendantes de l’aide sociale en Ville de Zurich continue d’augmenter: actuellement, il s’agit de 22’000 personnes, qui représentent plus de 5% de la population.
En effet les élus UDC refusent que le coût de l’asile soit financé uniquement par la confédération et non par l’aide sociale payée par les communes, une explication svp
Il serait plus juste d’utiliser ces 24,5 millions pour créer plus de crèches à Zürich et que plus de femmes suisses puissent travailler dans notre industrie productrice, au lieu de frontaliers.
L’argent coule plus facilement pour les centres d’asile que pour les homes pour personnes âgées… Et puis, quand je pense que lors de mon service militaire, nous dormions dans des tentes sur la paille! (il y a 40 ans de cela, j’en conviens). Je vous laisse chercher l’erreur.
On pourrait aussi les mettre chacun dans un studio haut de gamme, leur apprendre la boxe thai, leur donner 10 assistants sociaux par mec, et dépenser plus de 1 million CHF par réfugié soigné. Si les pays d’origine ne veulent pas les reprendre, c’est bien parce qu’ils ont envoyé chez nous tous leurs repris de justice, mais sans papiers. Et parce que nous croyons tous les mensonges des mahométans: tout leur est dû!