L’Europe coule en un mois

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens

La crise des migrants précipite l'effondrement de l'Union Européenne, et celui-ci va s'accélérant.

Las! Ceux qui pensaient que l'UE s'écroulerait sous le poids de la dette publique, du tiraillement économique autour de l'Euro entre les pays du Nord et du Sud, ou des suites du divorce mal fagoté du Brexit, se trompaient tous - et moi le premier. Le caillou qui aura fait trébucher l'éléphant est la crise des migrants.

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Rappelons-le, la "crise des migrants" est une pure invention des pouvoirs politiques de l'Union Européenne et de leurs mentors universalistes de l'ONU. La guerre en Syrie en 2015 est devenue le prétexte d'une invasion du continent à une échelle inégalée dans l'Histoire - des gens qui n'ont pour la plupart jamais vu la Syrie, jamais fui une guerre, et qui ne souffrent même pas de la pauvreté.

La "crise des migrants" est le nom donné à l'abandon de toute politique migratoire organisée. Tous les traités internationaux, toutes les directives, toutes les organisations, contrôles, droits et devoirs liés à la protection des frontières disparaissent, et ce, à l'échelle continentale. Suivant l'appel de la Chancelière allemande Angela Merkel, des hordes se sont mises en marche en direction de l'Allemagne - et parfois au-delà, envahissant l'Europe par le Sud. Elles furent bien aidées, et le sont encore, par des ONG dont personne ne questionne l'origine des fonds, et la bureaucratie mondiale qui associe l'idéologie universaliste la plus aveugle à la haine la plus crasse de l'Occident, de ses richesses et de sa paix.

La pièce est jouée désormais, et nombre de peuples européens - notamment les Allemands, les Suédois, les Italiens ou les Grecs - devront lutter pendant des décennies dans leur propre pays pour en reprendre le contrôle, et simplement survivre aux métastases migratoires qui transforment des enclaves entières de leur territoire en zones de non-droit qui ne dépareilleraient pas dans les banlieues de Mogadiscio. Les Allemands qui trouvaient leur vie monotone et ennuyeuse, les Suédoises qui discutaient du sens de la vie vont pouvoir vibrer de l'expérience vivifiante de la survie dans les zones du tiers-monde qui s'étalent désormais à quelques stations de métro de leur domicile - et entretenues avec leurs impôts par-dessus le marché.

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Les sujets d'inquiétude des populations d'Europe

S'il fallait donner un nom à cette folie, ce serait l'Aquarius - le bateau-passeur de Médecins sans frontières et de SOS Méditerranée. L'Aquarius quitta son port européen début juin pour faire un ramassage de migrants à la limite des eaux territoriales libyennes selon un schéma bien rôdé. Les passeurs remorquent à quelques distances des côtes des embarcations de fortune sans moteur et abandonnent leur cargaison flottante, quelques centaines d'immigrants qui ont payé leur ticket pour l'eldorado européen, puis préviennent les "secours" selon des codes convenus. Le ballet des navires de ramassage s'ensuit. On prend les photos de tous ces gens installés avec leurs gilets de sauvetage dans une embarcation visiblement en panne (s'il venait à quiconque l'idée saugrenue de contester le danger immédiat dans lequel se trouvent les "naufragés") et ramène tout le monde à bord. Puis, voyage de quelques jours vers le nord entre cafés, photo-souvenirs et sourires pris depuis les couvertures, débarquement, rechargement de vivres et nouveau départ.

Des dizaines de milliers de migrants sont venus en Europe par ce chemin. Les navires des ONG - Aquarius, Lifeline, Sea-Watch, Open Arms - se font concurrence entre eux pour ramasser tout le monde. Mais ce que nul n'avait prévu lors du dernier voyage, c'est que l'Italie aurait changé de gouvernement.

Une dépêche de l'AFP tente de donner une chronologie de "deux semaines de tension grandissante en Europe", mais il s'agit de bien davantage - le craquement sinistre et final de la coque.

Dans la nuit du 9 au 10 juin, l'ONG française "SOS Méditerranée" recueille 630 migrants sur son bateau l'Aquarius (...). Le navire, arrêté entre Malte et l'Italie, attend des instructions pour débarquer dans "un port sûr".

Le 10 juin, l'Italie annonce fermer ses ports, une décision sans précédent du nouveau ministre de l'Intérieur Matteo Salvini, chef de la formation d'extrême droite La Ligue. Malte refuse également l'accès de ses côtes au bateau.

Le 11 juin, le nouveau président du gouvernement espagnol, le social-démocrate Pedro Sanchez, propose le port de Valence à l'Aquarius. Le bateau refuse d'abord d'entreprendre un voyage de quatre jours vers l'Espagne, à cause d'un manque d'essence, de vivres et de mauvaises conditions climatiques. Le lendemain, l'Italie décide de dépêcher deux navires pour transborder des rescapés et accompagner l'Aquarius vers Valence.

Critiqué pour son inaction, le président français Emmanuel Macron dénonce la "part de cynisme et d'irresponsabilité du gouvernement italien". Rome refuse les "leçons hypocrites" de Paris. Une rencontre entre le président français et le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte le 15 juin est toutefois maintenue.

Le 16 juin, l'Espagne accepte l'offre française d'accueillir une partie des migrants de l'Aquarius, qui arrive à Valence le lendemain.

Le 18 juin, l'aile la plus à droite de la coalition au pouvoir en Allemagne, lance à Angela Merkel un ultimatum de deux semaines pour une solution européenne au défi migratoire, cinq jours après la création d'un "axe" contre l'immigration clandestine par les ministres de l'Intérieur italien, autrichien et allemand.

C'est un coup dur pour la chancelière allemande Angela Merkel, chahutée dans son pays pour sa politique d'asile jugée trop généreuse et qui voit menacé le fragile équilibre de sa coalition.

La CSU du ministre de l'Intérieur Horst Seehofer veut, sauf accord européen au sommet des 28 et 29 juin, refouler aux frontières les demandeurs d'asile enregistrés dans un autre pays de l'UE, le plus souvent l'Italie ou la Grèce, soit la quasi-totalité d'entre eux.

Le 21 juin, l'Italie menace de mettre sous séquestre deux navires d'ONG allemandes pour vérifier la correspondance entre leur pavillon néerlandais et leur nationalité. Il s'agit notamment du navire Lifeline, qui a secouru plus de 230 migrants et qui reste depuis bloqué dans les eaux internationales en attente d'une solution.

Le 23 juin, la France et l'Espagne proposent, avec l'appui de Berlin, des "centres fermés" sur les côtes européennes pour gérer les migrants débarquant de Méditerranée. Matteo Salvini dénonce "l'arrogance" du président français.

Le 24 juin, les dirigeants de seize pays se réunissent à Bruxelles pour un mini-sommet sur les questions migratoires, sans aboutir à des mesures concrètes. La réunion est boycottée par le groupe de Visegrad (Hongrie, République tchèque, Slovaquie et Pologne), favorable à une ligne dure sur l'immigration.

Pour contourner l'absence de consensus à 28 qui paralyse l'UE, la France et l'Allemagne appellent à des accords à plusieurs pays.

Rome appelle elle à "dépasser" le principe du règlement de Dublin, qui confie aux pays de première entrée dans l'UE la responsabilité des demandes d'asile. L'Italie demande aussi des "sanctions financières" contre les pays n'accueillant pas de réfugiés, comme M. Macron la veille.

Le bras de fer se poursuit en Méditerranée. L'ONG espagnole Proactiva dénonce le refus de Rome de laisser son navire Open Arms porter secours à un millier de migrants. Matteo Salvini somme les ONG de rester à l'écart des opérations de secours pour laisser les gardes-côtes libyens s'en charger.

Un porte-conteneur de l'armateur danois Maersk Line est lui bloqué au large de la Sicile avec 108 migrants secourus, dans l'attente d'une réponse de l'Italie.

Le 25 juin, Matteo Salvini, en déplacement à Tripoli, indique que l'Italie soutiendra jeudi lors du sommet de l'UE "la mise en place de centres d'accueil et d'identification (de migrants) au sud de la Libye".

Voilà où nous en sommes.

Les brèches sont devenues des fissures qui sont elles-mêmes devenues des failles, puis des gouffres.

Depuis des mois, les pays de l'Est, du groupe de Višegrad rejoint par l'Autriche, ont fermé les chemins d'accès terrestre vers l'UE. Ils ne veulent pas de l'immigration illégale, ils n'en voulaient pas, ils n'en ont jamais voulu, et ils n'en auront pas - et aucune gesticulation d'aucun bureaucrate de Bruxelles ne pourra rien y changer. Toutes les stratégies parisiano-berlinoises à base de quota ou d'amendes pour désobéissance à des règles de répartition qui n'ont jamais été approuvées par personne sont vouées à l'échec.

Au sud, les cartes sont rebattues. L'Espagne est à gauche mais pas suffisamment pour devenir la terre promise de toute l'Afrique. L'Italie a compris que derrière les beaux discours elle doit assumer, seule, l'invasion migratoire - et elle n'en peut plus. Ses ports sont désormais fermés aux ferries des ONG-passeurs.

L'Europe telle que la rêve encore la gauche qui prétendait dominer le continent n'existe plus que dans deux pays - la France et l'Allemagne. Et encore. En Allemagne, Angela Merkel est en sursis - sa fragile coalition menace d'imploser dès la fin du mois, mettant un terme à sa carrière de politicienne. À supposer qu'elle réussisse à traverser l'épreuve, ce qui l'amènerait à trouver par on ne sait quel miracle un chemin médian entre son ministre bavarois qui ne veut plus d'immigrants illégaux et le gouvernement italien qui veut au contraire se décharger des siens en direction de l'Allemagne, elle finira son mandat dans la fragilité et l'immobilisme. Je pense qu'elle ne tiendra pas l'été.

À Paris, on se complaît comme depuis toujours dans la contradiction: Emmanuel Macron tance et sermonne, se réservant effrontément de suivre les obligations qu'il aimerait imposer aux autres. On gronde l'Italie parce qu'elle n'accepte pas les navires des passeurs-ONG, mais on bloque les hordes dépenaillées de clandestins à la frontière de Vintimille. On pérore sur la responsabilité de tout un chacun devant la crise mais on fait débarquer les nouveaux venus à Barcelone plutôt que Marseille. Comme Matteo Salvini le fait remarquer, "si Orban est méchant, Macron est 15 fois plus méchant" simplement parce que le premier a refusé de prendre 300 migrants alors que le second refuse d'en prendre 9'000 - et critique les autres par-dessus le marché. Les contradictions françaises sont béantes.

Non seulement l'Union Européenne s'est effondrée, mais elle le sait. Les pays ne daignent même plus se déplacer pour des "mini-sommets" ou des réunions de travail, lesquels ne débouchent plus sur le moindre "communiqué commun". Personne n'articule même plus de "consensus" parce qu'il n'y a plus de consensus sur rien.

La fin du mois verra la résurgence d'accords bilatéraux entre pays de l'UE pour régler des questions migratoires - l'approche la plus contradictoire à toute la construction européenne où l'uniformité était l'objectif. L'axe franco-allemand tourne à vide et n'a plus d'alliés. Seuls les journalistes parisiens continuent par habitude de transmettre religieusement les déclarations de Macron comme si elles avaient le moindre poids, alors qu'il n'a plus aucune influence sur la marche du continent.

L'Europe n'a pas disparu, bien sûr. Elle continuera à légiférer sur les sacs poubelles ou le commerce des pailles en plastique, ou à exercer son influence prédatrice sur les pays satellites comme la Suisse. Mais en tant qu'entité politique organisée, elle s'est évaporée comme la rosée du matin au lever du soleil.

Voilà pour une fois des nouvelles réjouissantes.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 26 juin 2018

15 commentaires

  1. Posté par Christian le

    Vous prenez vos rêves pour des réalités !

  2. Posté par jp le

    l europe est morte bien avant sa création les anglais foutent le camp et pays qui vont suivre j en suis convaincu de toute façon elle ne profite qu a un petit nombre de crapules bien connues.

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    ISLAM veut dire “soumission à l’imam”.
    Les imams pieux ont un but bien précis: vous voler votre maison, vos terres, votre bétail, votre femme, tous vos biens, et même votre vie, pour s’enrichir lui.
    Et ensuite brûler les églises et cathédrales pour en faire des mosquées, comme Mahomet et ses 40 voleurs le faisait aussi.
    L’ayatollah qui possède tout l’Iran a ainsi amassé une fortune estimée à 90 milliard $, auxquels il faut ajouter les 1600 milliard $ cash qu’Obama lui a offert pour se faire fabriquer ses bombes H en Corée du mord.
    Les chrétiens orthodoxes qui possédaient le Kosovo ont tout perdu, et 250’000 chrétiens ont perdu la vie, bombardés par une OTAN stupidement soumise à Erdogan.
    Les chrétiens d’Europe qui habitaient des quartiers aujourd’hui zone musulmanes ont tout perdu, et mille chrétiens d’Europe ont déjà perdu la vie dans des attentats organisés par les imams.
    Les chrétiens de “la Suisse de lOrient”, une démocratie chrétienne prospère qui s’appelait le Liban chrétien, ont tout perdu, et ils ont été remplacés par des imams terroristes hypocrites.
    Les chrétiens de 50 pays autrefois prospères ont tout perdu: les imams ont ruiné par exemple l’Algérie, qui avait été entièrement créée par les français à partir du désert, et qui est maintenant en ruines sous le régime des imams.
    Les prochains pays qui vont tout se faire voler par les imams sont la France, l’Angleterre, la Suède, l’Allemagne, et tous ceux qui se laissent envahir par des milliers d’ imams placés directement sous les ordres du dictateur Erdogan.

    Hitler et ses SS étaient des enfants de coeur comparé à Mahomet et ses 669 millions de morts: regardez ce professeur d’histoire nous le démontrer:
    https://www.youtube.com/watch?v=B6b9h4EzziU
    Le mois de ramadan 2018 se termine avec 3932 morts et 1556 blessés, soit 5488 victimes des imams. Source:
    https://www.dreuz.info/2018/06/15/les-attentats-du-mois-de-ramadan-mise-a-jour-quotidienne/

  4. Posté par Antoine le

    Très bon rappel des événement et analyse fine concernant les pro et anti-migrants !
    L’Europe est envahie et se laisse envahir … jusqu’à un certain point !
    Il faudra que nos 7 nains au Conseil Fédéral revoie leur décision concernant la votation populaire du 9 février 2014 concernant l’immigration de masse illégale. L’erstaz proposé est inapplicable et inefficace !
    Dénonçons les accords de Schengen, rétablissons les contrôles aux frontières et les visas.
    Remigration de tous ces illégaux et autres personnages violents !

  5. Posté par Peter K le

    Tres bon article, M. Montabert, mais vous pechez par optimisme, cela fait plus de 40 ans que les destructeurs de nos nations sont a l’oeuvre, et se sont introduits dans tous les rouages des etats, leurs capacités de nuisances sont intactes, et a ce que je sache, nous n’en avons pas encore pendus en place de Greve…helas. Esperons que le destin nous fournisse le coup de pouce necessaire a l’elimination de ces metastases!

  6. Posté par JeanDa le

    Les scientifiques qui étudient l’espace nous décrivent les première secondes après le BIG BANG de la naissance de notre univers.
    Monsieur Montabert nous décrit les derniers jours avant le BIG POUF de l’implosion de la folle dictature de l’union européenne.

  7. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Merci pour cet article pertinent. Le “Machin” s’effondre enfin et malheureusement pour nous les nains aveugles et imbéciles qui nous gouvernent s’entêtent à vouloir à tout prix le rejoindre et continue à trahir la volonté du peuple et de verser des milliards sans aucune contre- partie dans ce tonneaux de Danaïdes sans avenir.

  8. Posté par Vautrin le

    Je souhaite de tout cœur, Monsieur Montabert, que vous ayez raison en diagnostiquant la fin de l’entité politique européâstre. Car ce serait un début : après, il faudra détruire la “commission” et refonder une Europe des Nations. L’espérance est une vertu.

  9. Posté par Bussy le

    Ceux qui manoeuvrent pour noyer l’Europe sous les migrants se fichent complètement de l’Europe et de l’UE, c’est juste une étape pour eux, donc ils doivent être en train de chercher des solutions pour que l’invasion continue voire même s’accélère avant que certains arrivent à la stopper.
    La preuve ? Il suffirait que les Macron et Merkel prennent des décisions pour arrêter l’invasion, la méthode australienne par exemple, et parlent de remigration peut-être aussi, pour que les Européens respirent et que l’UE soit sauvée, et on voit très bien qu’ils continuent au contraire à promouvoir à fonds l’invasion massive, on voit que les médias augmentent la dose de propagande, suffisait de voir ONPC samedi soir et la réaction de la meute de hyènes quand Dupont-Aignan a juste parler de maîtriser cette immigration.
    Il y avait eu le petit Aylan, puis Mamoudou, l’Aquarius…. attendons de voir ce qu’ils vont trouver maintenant, ce sont les puissants et leurs idiots utiles dont les médias qui mènent la manœuvre et ils ont des moyens énormes.

  10. Posté par Blocus le

    En raison des salaires généreux perçus par les députés de l’UE, cette dernière a encore de beaux jours devant elle,… même si cette dernière tourne à vide à force de prises de positions contradictoires.

    À l’infini, l’UE pourra “justifier” son existence en promulguant des directives mortifères toujours plus décalées de la vraie vie (une de ses dernières trouvailles, les poissonniers doivent indiquer le nom latin des poissons vendus).

  11. Posté par oxygène le

    ” Mais en tant qu’entité politique organisée, elle s’est évaporée comme la rosée du matin au lever du soleil.” Certes, mais la bête bouge encore et a un dernier plan pour éradiquer la lèpre ; les coalitions d’armées qui sortent régulièrement de son chapeau magique.

  12. Posté par Gus le

    On constate donc que l’oligarchie mondiale n’est pas toute puissante comme on veut nous le faire croire. Avec de la bonne volonté, des gouvernements se sont élevés contre les mondialistes et sont en train de grignoter petit-à-petit du terrain. Nous pouvons leur tirer un énorme coup de chapeau, même si la guerre est loin d’être terminée.

    Cela enfonce encore un peu plus notre gouvernement et nos merdias, qui eux se soumettent honteusement à l’élite mondialiste. Actuellement, même les insultes les plus basses ne sont pas suffisantes pour décrire le comportement de ces “personnes”. Cependant le vent semble tourner et il sera intéressant d’examiner la réaction de nos merdias et de nos élites qui nous prennent pour rien d’autre que de la m**** depuis des décénnies.

  13. Posté par Dede le

    Je garde le Champagne au frais pour l’efondrement final qui, je l’espere, viendra rapidement.

  14. Posté par fabiola le

    Waouh, bravo et merci pour l’article, comme vous le rappelez :
    “Les brèches sont devenues des fissures qui sont elles-mêmes devenues des failles, puis des gouffres. Non seulement l’Union Européenne s’est effondrée, mais elle le sait.”
    Merci Monsieur Montabert.

  15. Posté par Laurent W le

    Belle conclusion bucolique, M. Montabert. La Suisse va-t-elle enfin se réveiller?

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