Melgar est la nouvelle star de la conscience suisse, créée de toutes pièces par les médias locaux de l’establishment. L’extrême gauche crie à la trahison : Melgar les a trahis en critiquant les Noirs, qui sont par essence les victimes du racisme.
Melgar n’est pas cohérent : il ne veut pas de deal près de ses enfants, mais il veut défendre les migrants. Il cherche à faire avaler à la population, par une avalanche d’interviews données en quelques jours, que c’est une infime minorité des Africains qui dealent (il sait même que c'est moins de 0,5 %), que la majorité des Africains sont très bien adaptés à Lausanne et qu’ils souffrent des amalgames à cause des dealers. Melgar, un brin mégalo, affirme qu’il connaît tous ses voisins de 50 nationalités ! Melgar, qui revendique son passé « d’enfant du placard », qui a été si bien nourri, et instruit, dans son « placard », qu’il fait des films pour la RTS et mesure environ 1 m 80 !
Mais demandons-nous à présent : pourquoi tout ce tapage subit de ces médias aux bottes de l’establishment ?
Très certainement pour tout sauf la volonté que l’invasion africaine prenne fin.
La seule solution valable serait de rassembler et d’expulser cette racaille de marchands de mort qui coûtent tant à la collectivité, aussi bien sur le plan matériel que sur les plans de la sécurité, de la salubrité et de l’atteinte à notre mode et qualité de vie. Les expulser tous à tout jamais, sans les laisser entrer ni revenir. Réaliser enfin que nous sommes en train de nous « gommer », de disparaître et d’être remplacés par des opportunistes qui sont venus profiter de notre générosité maladive et alors que leurs pays, plus riches en ressources que le nôtre, sont pathologiquement mal exploités, pour ne rien dire de leur croissance démographique suicidaire : les parents (de toutes jeunes filles) font des enfants à tire-larigot sans se préoccuper de devoir les assumer par la suite… (cette irresponsabilité fait le malheur de l’Afrique) ! Réaliser que les gauchistes qui ont eu tout le pouvoir ont installé une population incompatible avec notre mode de vie, et que l’explosion sera inévitable.
Non, les gauchistes parleront de tout sauf de l’essentiel.
Ils veulent la légalisation du cannabis, et se pencher sur le bien-être des marchands de mort et sur leurs conditions de travail, car comme le dit le Vert Vincent Rossi : « leurs conditions de vie sont épouvantables ».
S’ensuivront de nouveaux programmes de réhabilitation, avec des distributions de permis d'établissement et des regroupements familiaux, des formations gratuites, des bourses pour devenir cinéastes subventionnés afin d’assurer la relève de la gauche, etc., toutes ces mesures qui augmentent l’appel d’air exercé par l’Europe sur des centaines de millions d’Africains qui ne rêvent que de ça.
La gauche et l’armée de parasites qui vivent de l’invasion et de ses méfaits, ne lâcheront pas leurs privilèges, même si la poule aux œufs d’or doit en crever. (Cette armée, ce sont les psys, les pseudo-soignants, les spécialistes de la dépendance, tous les fonctionnaires et membres d’associations, d’ONG, qui vivent de l'asile, de près ou de loin).
Tous ces gens nocifs, qui ont échoué dans toutes leurs entreprises coûteuses (la distribution de substituts d’opiacés, les salles d'injection, les établissements de sevrage, les centres de soins pour drogués…), nous préparent la prochaine étape : instaurer des zones de vente de drogue, un peu comme il existe des zones pour les prostituées… et tout cela, dans l’élan de la « densification » du territoire suisse à mettre en œuvre pour pouvoir loger les nouvelles vagues d’enrichissements qui sont en route !
Parmi ces trafiquants, il nous restera beaucoup de délinquants, beaucoup d'assistés et beaucoup de progénitures à « haut potentiel », munies d’un bagage moral, religieux, culturel et intellectuel si enrichissant que Lausanne va pouvoir viser le titre mondial, et pas uniquement suisse, de la ville la plus pourrie par ses « élites » de gauche. La ruine qui s’ensuivra sera vraiment spectaculaire.
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24 heures du 29 mai : « Réguler le cannabis réduira le deal de moitié »
Lausanne doit-elle dédier une zone au deal de rue ? Un addictologue s’invite dans le débat, saluant l’idée de lieux de tolérance pour la vente de drogue.
Alors que le débat sur le deal de rue s’enflamme, le secrétaire général du groupement romand d’étude des addictions, Jean-Félix Savary, appelle à régulariser le marché.
« Là où la répression augmente, elle n’a pas d’impact sur la consommation, mais en revanche, elle augmente la violence et l’insécurité ».
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24 heures du 18 mai : Un détenu coûte réellement 131'400 francs par an
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24 heures du 18 mai : reportage de Cindy Mendicino et Romaric Haddou
Une nuit dans la mécanique bien rodée du deal de rue
Extraits :
[...] A Bel Air, ce sera 100 francs pour le gramme de coke et 20 pour une pilule d’ecstasy. [...]
[...] Saint Roch. C’est là que la colère des riverains se fait le plus entendre. Ce vendredi, c’est clairement là qu’il y a le plus grand nombre de dealers. Il n’est donc pas surprenant d’y croiser une troisième fois la patrouille à vélo qui part en direction de Bel-Air. Le secteur est donc désert pour quelques minutes. Progressivement, une vingtaine d’hommes refait son apparition. Quatre d’entre eux se dirigent vers nous. Un regard, on se met à marcher côte à côte. Ce mouvement permanent est le garant de la discrétion. Cette fluidité rend les transactions presque invisibles. [...]
« Vous voulez mon numéro de téléphone ? » nous propose un dealer. Quelques jours plus tard, nous le recontactions en expliquant vouloir discuter de son activité. Il s’étonne et raconte être « venu en Suisse pour raisons médicales ». Il dit qu’il repartira dans trois jours en Italie car son traitement est fini. [...]
La descente vers la place Chauderon nous permet d’échanger avec une dizaine de vendeurs. Près de la Bibliothèque de Chauderon, un autre vendeur. Juste sous l’œil des caméras de la Ville. « Vous ne voulez pas vous déplacer, il peut y avoir la police », demandent les acheteurs potentiels. « Non, non, c’est tranquille, nous avons le temps, ils viennent de passer... » [...]
En parallèle, il y a aussi un travail sur les réseaux ou encore les effectifs de police-secours qui patrouillent en voiture en dehors de leurs interventions d’urgence. Cette présence visible reporte ou interrompt les transactions et donc augmente la tranquillité. [...] Des « épouvantails » sans aucune arrestation ne sont pas utiles. Vu le nombre de dealers, un changement et un durcissement s’imposent afin d’améliorer la situation dans les espace publics. [...]
Jean-Luc Gremaud, Commandant de la police judiciaire lausannoise : [...] Dans les solutions à disposition, il y a une volonté claire d’agir sur le deal de rue, sans se faire d’illusions sur la consommation réelle. Nous partageons la frustration et la colère des habitants qui se sentent dépossédés d’un accès convivial à l’espace public. Mais il ne faut pas sous-estimer le possible report dans les rues adjacentes. Il faut donc véritablement intervenir mais en préparant l’étape d’après, soit les effets de déplacement. [...]
Témoignage d’un consommateur : [...] « Même si les dealers sont dix à un carrefour et que tu as l’impression qu’ils ne vendent pas grand-chose, je peux t’assurer qu’ils font tous des bénéfices. Tu vois bien la différence, d’ailleurs, entre celui qui vient d’arriver et celui qui est là depuis un moment. En seulement quelques jours, ils changent d’habits et de baskets; sans compter l’argent qu’ils envoient au pays ».
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24 heures du 24 mai : L’invité : Fernand Melgar
voir notre article: https://lesobservateurs.ch/2018/05/25/fernand-melgar-denonce-le-probleme-de-la-drogue-a-lausanne/
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Le Matin Dimanche et la Tribune de Genève du 27 mai :
«Lausanne est gangrenée par le deal de rue»
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Dimanche 28 mai : RSR1, émission Forum: « Melgar a jeté un véritable pavé dans la mare »
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29 mai : RTS, TJ de 19h30, Melgar est interviewé par Darius Rochebin
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?id=9607049 (18:27-23:14)
Melgar : Il y a une confusion totale. On assimile les dealers aux requérants d’asile. Ça n’a rien à voir. C’est un partie infime, même pas 0,5%. Ils utilisent la voie de l’asile. Ils ont des filières nigérianes.
Rochebin : N’y a-t-il pas un problème d’immigration incontrôlée, si certains migrants deviennent dealers ?
Melgar (22:48) : Dans mon quartier, la diaspora africaine souffre. Quand vous êtes Africain et que vous avez 30 ans à Lausanne, vous êtes étudiant à l’uni, vous vous faites arrêter à peu près sûrement quand vous arrivez au Maupas.
Notre commentaire : C'est une énormité ! Déjà, au Maupas, une personne sur deux est de couleur, parfois plus. Et depuis des années, la police n’arrête même pas ceux qui restent plantés là en groupes et dealent au vu de tous !
Melgar se soucie de son fils qui vit à l’épicentre du deal, il pleure sur le sort des Noirs qui subissent des amalgames à cause des dealers, mais il se fiche totalement des familles et des vies détruites par la drogue.
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Le Temps du 29 mai :
Deal de rue: à Lausanne, Fernand Melgar révèle un malaise croissant
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24 heures du 29 mai :
L'invité : Olivier Delacrétaz, président de la Ligue vaudoise
Un cinéaste citoyen face aux dealers de rue
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Cenator, 31 mai 2018
logement gratos de la défonce il ne manque plus que des prostituées et des armes bien sur!!!
En lisant le titre de l’article scientifique ci-dessous (“A Lausanne, des quartiers bruyants où on dort mal”), j’ai bien cru sur le moment que l’AGEFI allait évoquer les nuisances des dealers de rue. Fausse joie:
http://www.agefi.com/home/suisse-economie-politique/detail/edition/online/article/une-etude-a-cherche-a-connaitre-limpact-du-bruit-nocturne-sur-la-sante-des-lausannois-elle-devoile-une-carte-des-zones-ou-se-concentrent-les-cas-de-personnes-souffrant-de-graves-problemes-477044.html
Faudra-t-il que le gosse de ce ringard meurt d’une overdose pour que ce bobet ouvre enfin les yeux sur la racaille qu’il soutient depuis de longues années ? Concernant les pseudo-spécialistes qui s’en foutent bien que nos jeunes se shootent, ils sont encore capables de mettre les drogues dures au même niveau que d’autres addictions telles que l’alcool ou la cigarette. J’en connais qui tiennent ce discours abject. En gros, la Fêtes des Vignerons ferait l’apologie de la drogue. Dans ma cave, il y a des bouteilles de drogue. Ils en vendent même dans les avions de ligne.
Depuis des lustres, les coûteuses bouffonneries de cinoche de Melgar, tout droit sorties de l’inépuisable sac aux mensonges de la gauche font, sans surprise, les délices des médias, RTS et compagnie. Bien. A Lausanne, ils font partie du catéchisme des politiciens locaux et de la Municipalité qui impose sa politique nuisible et désastreuse sans coup férir depuis plus de 30 ans. Cette politique, il faut bien le reconnaître, est largement soutenue par une majorité de citoyens qui élisent immuablement les mêmes guignols socialistes, écolos et communistes. Les autres citoyens, pour l’essentiel, s’en sont satisfaits, tout comme Fernand Melgar s’est satisfait, entre autres, et des années durant de la duplicité du moustachus Vuilleumier vis à vis de la délinquance à Lausanne et singulièrement du business de la drogue. Les choses seraient-elles en train de changer pour que Melgar tourne opportunément (mais prudemment) sa veste ? C’en est souhaitable, car sa Parole est d’Or. Mais est-il crédible en regard de la cécité qui l’a affecté si longtemps dans son quartier et des interrogations visant sa progéniture ?
Les couteuses bouffonneries de cinoche à la Melgar , tout droit sorties du sac à mensonges de la gauche, font cependant, il convient de le remarquer, les délices d’une part importante des lausannois depuis des lustres. Si non, comment expliquer qu’une majorité de citoyens élisent les mêmes guignols socialistes, écolo et communiste et plébiscitent une Municipalité de coquins copains qui appliquent invariablement leur aussi connue que désastreuse politique ? Cherchez l’erreur.
Melgar sent le vent tourner. Il a peur d’être tondu à la libération. Il a raison.
Melgar sent le vent tourner. Il doit avoir peur d’être tondu à la libération. Et il a raison.
A défaut d’être ” éthique ” , ce marché est surtout ” ethnique” ….
Les larves goudronnées sont partout.
jeudi 18h30, gare d’yverdon, 4 policier en patrouille, devant le poste de police de la gare. Environ 5 black glande sur la place de la gare toute en observant les flics.
10 minutes plus tard je sors de la pharmacie, les gendarme ne sont plus là; résultat 5 black essaye de me vendre leur merde.
Mais le pire dans tout ca, le deal se fait a 20mètre d’un poste de police!!!!!!
Personne ne dérange les dealer et encore nos pandore!!! scandaleux
Melgar ne maîtrise pas le système décimal.
Il affirme que les dealers, dans le 24 Heures en tout cas, ne représentent ” que 0,1% des ” migrants”, soit 1sur…1000!! ( 100- 99,9)
130 000 : 1000= 130!!
Il n’y aurait donc que 130 dealers pour la Suisse entière, donc une douzaine dans le canton de Vaud…
Autre réflexion:
Il prétend que ” les noirs souffrent de l’ amalgame, etc…”
Ma question:
Combien y en avait-il parmi les manifestants de mercredi soir?
Zéro!!
bon! petit calcul à la Melgar… une estimation imaginaire à 200 dealers de rue à lausanne seraient égal à 0.4 % de la population africaine sub saharienne réfugiée, demandeuse d’asile, clandestine sur lausanne et environs. donc 50’000 personnes (heu! bon) sur 62000 étrangers sur la ville de lausanne impossible. a
autre estimation imaginaire 100 dealers c’est 0,4% de 25 000 peronnes…. cherchez l’erreur….
En tous cas pas de représentation significative de cette population lors de la manif contre le deal à lausanne….. Qu’est-ce qu’on rigole avec le clown Fernand
Les Africains sont très bien adaptés à Lausanne, ce sont les lausannois qui ne le son pas car ils ne sont plus chez eux.
Bon Fernand Melgar se plaint que son fils est confronté à la drogue suite à sa scolarisation, je pense que la municipalité lausannoise va trouver une solution VIP.
M. Melgar se fait de la pub !! Certainement pour son prochain film ”Mort à Lôzanne” au lieu de Mort à Venise …
Il a bon dos son fils qui va à l’école où des dealers sont présents … Il y en a depuis des lustres qui sévissent.
La gôche veut détruire notre société !
”comme le dit le Vert Vincent Rossi : « leurs conditions de vie sont épouvantables ». C’est cela nous allons plaindre ces dealers de rue nourri par nos zélites !!
Ils méritent 15 ans de bagne !
Un peu de courage les juges ! Appliquer seulement les lois en vigueur ! Si sela est trop difficile, démissionnez !