Nouveau complot de l’Union européenne contre l’Italie
En 2011, le Président italien Napolitano (ex-communiste) et la chancelière allemande Merkel (ex-communiste) s’étaient ligués pour faire tomber le président du Conseil Berlusconi et mettre à sa place un gouvernement technique aux ordres de la commission européeenne de Bruxelles, dirigé par le commissaire européen membre du groupe de Bilderberg Mario Monti. Le scénario se répète, puisque le président de gauche Mattarella fait tout pour empêcher que de nouvelles élections se tiennent en juin ou en juillet, afin de ne pas gêner le sommet européen qui se tiendra à ce moment-là pour prendre des décisions importantes en vue d’imposer plus d’Europe aux pays membres en ce qui concerne l’immigration et les finances. Le gauchiste Mattarella est appuyé en cela par l’oligarchie européenne, qui multiplie les avertissements, notamment en faisant chuter la bourse et augmenter l’écart avec les taux d’emprunt italiens. Le chef de la Lega, Matteo Salvini, qui a eu vent du complot qui se prépare, a déjà déclaré qu’il espérait qu’il n’y aurait pas à nouveau des « appels téléphoniques étranges » entre la présidence de la République italienne, Bruxelles, Berlin ou Paris, pour échanger « d’étranges idées ».
Traduction (Claude Haenggli) : Alors que l’Italie se trouve en prise à une crise politique et que les forces qui ont gagné les élections du 4 mars (et sont majoritaires au parlement mais n’ont pas réussi à former un gouvernement) demandent un retour immédiat aux urnes, les centres du pouvoir, surtout européeens, se mettent en travers et poussent pour l'énième fois à une solution technique à la Mario Monti, dont énormément d’Italiens se souviennent comme d’un gouvernement « de sang et de larmes ». Puis, immanquablement, l'Union européeenne se manifeste. Malgré les paroles rassurantes de Jean-Claude Juncker envers la commission, qui a réaffirmé sa confiance en l’action du président de la Rèpublique Sergio Mattarella, l’impasse italienne, au dire de sources proches de l’exécutif de Bruxelles, risque d’empêcher un accord entre les 28 membres sur Dublin et l’Union bancaire. Si l’Italie se trouvait en période électorale à ce moment-là, un consensus sur la réforme des accords de Dublin au Conseil européen de juin « serait certainement plus difficile » , expliquent les mêmes sources.
Claude Haenggli, 9.5.2018
Ce sont les manœuvres des caciques du Nouveau Monde Parfait, celui où l’homme n’a plus d’autre place que la fonction de tire-lire. Un avertissement pour ceux qui voudraient s’y frotter (rêvons un peu que les français se décident enfin à mettre un terme à plus de quarante ans de cauchemars).
@ Hervé – Ainsi, Marx pourrait être aux gauchistes ce que Mahomet est aux musulmans : l’exemple à suivre…
Rappelons que Juncker vient de faire un plaidoyer en faveur de Marx, ils ne le cachent même plus. Mais une chose Marx avait vue juste, ce fut le premier technocrate moderne. Il a passé sa vie à ne rien foutre, dénonçant l’exploitation par le patronat alors qu’il ne payait pas ses dettes, tringlant sa femme de ménage et la foutant à la rue pour effacer l’existence de son enfant illégitime. Il serait en vie aujourd’hui, il ferait un “bon” politicien. La même carrure, la même mentalité et la même moralité qu’on voit tant aujourd’hui. On comprend pourquoi c’est un modèle pour tant de gauchistes.
Tutto è detto! (Tout est dit !)
Mille Grazie: ”Les Observateurs.CH” !
PS : surtout amis suisses restez bien parmi les dernières nations libres d’Europe en vous gardant bien de vous faire broyer par la dictature technocratique UERSS qui en est la négation !