Un article qui complète celui que nous avions déjà publié ici sur la situation des universités françaises où l'extrême gauche impose sa loi.
A noter que pour nos médias romands, la racaille de gauche occupant ces universités est transformée en "simples étudiants" sans jamais évoquer les tags racistes et anti-police.
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La paralysie des universités françaises depuis bientôt trois semaines, fruit d'une minorité d'extrême gauche qui n'est souvent même pas étudiante, est un problème qui doit être pris à bras-le-corps par les autorités, assure le professeur Kevin Bossuet.
Cela fait maintenant plusieurs jours que la loi Orientation et réussite des étudiants (ORE), accusée par certains d’instaurer un système de sélection à la fac, suscite au sein des universités françaises une contestation qui prend de plus en plus des allures d’insurrection. En effet, dans près d’une douzaine d’universités, dont trois étaient toujours bloquées (Paul-Valéry à Montpellier, Jean-Jaurès à Toulouse et Tolbiac à Paris) dimanche soir, c’est bien un vent de rébellion qui s’est emparé des amphithéâtres, empêchant des milliers d’étudiants d’assister à leurs cours. Ce mouvement qui est pourtant loin d’être massif, contrairement à ce qu’on a pu connaître en 1986 avec le projet Devaquet ou en 2006 avec le CPE, est en train progressivement de semer l’effroi et l’exaspération sur un bon nombre de campus.
La haine comme principal moteur
Même si un certain nombre d’étudiants sont opposés à cette loi, la plupart sont exaspérés par les occupations et les blocages des locaux universitaires par une minorité d’extrémistes qui les empêchent d’étudier dans de bonnes conditions. En effet, dissimulée derrière le paravent que constitue ce texte législatif, c’est bien une lutte politique beaucoup plus large qui est actuellement menée par une poignée d’activistes. Les tags que l’on a pu retrouver dans certains locaux ne laissent d’ailleurs aucun doute sur le corpus idéologique qui anime les militants pro-blocus : « Frappez vite, frappez fort ; un bon flic est un flic mort » (Paris-VIII), « kiff la Révolution » (Paris-VIII), « 68, let’s do it again…2018 » (Dijon), « L'humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste » (Paris-VIII), « A mort Israël » (Paris-1 Panthéon Sorbonne) ou encore « Nike la France » (Tolbiac). A Strasbourg, ce sont des tags incitant à tuer le président de l’université, Michel Deneken, qui ont été retrouvés. La haine comme principal moteur, la violence gratuite comme arme politique, on reconnaît bien ici la patte fielleuse des groupuscules d’extrême gauche !
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L’humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste……. ohé les ploucs.. et qui vous paiera vos allocs ?
Réfléchissez un peu avant de scier la branche sur laquelle vous êtes confortablement assis !
Oui bon, si vous êtes tous des filles et fils à papa, c’est clair que vous n’en avez rien à faire, papa paiera jusqu’à ce qu’il vous trouve le même genre de boulot que lui, surpayé, dans un bureau.. et oui…. et bien à l’abri de la concurrence…. l’industrie de l’asile par exemple !
Ben, mes lapins, si vous voulez étudier et que vous êtes en nombre, attrapez un bon manche de pioche et… cognez. Ça fait circuler le sang, vous verrez, que des avantages. Il faut savoir prendre son destin en main : des connards vous privent d’existence, ils sont 3% de votre fac : cognez.
Le socialisme est une épidémie très contagieuse et destructrice qui va envahir toute l´Europe.