Les enseignants intégreront des discussions sur les antécédents culturels, l’histoire et les expériences vécues des élèves tout en leur enseignant tout ce qui concerne les mesures, la surface et les équations linéaires à travers un prisme africain.
L’objectif est d’encourager les élèves noirs de 10e année à suivre des cours de mathématiques avancées et à envisager une carrière en sciences, en technologie, en génie et en mathématiques [regroupés sous l’acronyme anglophone STEM].
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« Il s’agit de mathématiques académiques, mais nous voulons renforcer leur confiance en soi, leur conscience de soi afin qu’ils puissent sentir qu’ils sont capables de faire des mathématiques « , a déclaré Karen Hudson, directrice d’Auburn, lors d’une entrevue.
« Et la façon de le faire, c’est de s’assurer qu’ils deviennent des penseurs critiques et qu’ils s’engagent dans le processus, qu’ils s’approprient le processus ».
Auburn a une grande population d’étudiants noirs. La conversation sur le cours a commencé il y a environ un an après que Mme Hudson et d’autres remarquèrent que beaucoup n’étudiaient pas les maths à un niveau supérieur.
« Nous nous sommes donc dit que nous devions essayer de faire quelque chose de différent parce que nous savions que ce que nous faisions ne fonctionnait pas « , a-t-elle dit.
Sur les 30 places disponibles, 23 étudiants se sont inscrits au cours.
« Je pense que c’est nécessaire « , a dit Hewitt[un élève], » parce que nous nous retrouvons souvent assez seuls dans la salle de classe et ce genre d’isolement nous fait sentir, sans modèles à suivre, que nous ne pouvons pas y arriver, surtout dans les matières STEM « .
Les programmes scolaires doivent mieux refléter les contributions positives des communautés noires, a dit Mme Hudson, et une partie du cours consistera à faire intervenir des professionnels noirs dans les divers domaines des STEM.
L’utilisation des pyramides égyptiennes pour enseigner la trigonométrie est un exemple du programme d’Imhotep visant à intégrer la culture africaine dans le domaine des mathématiques.
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Je ne vois pas le rapport entre les sciences dures et les antécédents culturels, l’histoire et les expériences vécues. Visiblement ce n’est que pour les noirs qui donc ne seraient pas comme les autres : c’est du racisme.
Cela fait des décennies que l’on a tout essayé pour en faire des Nobel, mais mise à part l’usurpation du prix Nobel de la paix ou de littérature, rien à faire. La cérémonie qu’elle ait lieu en Suède ou en Norvège n’a toujours pas les couleurs de la diversité d’ Hollywood. Et c’est un énorme scandale, il paraît.
Les maths en Afrique?
Un, deux, trois, beaucoup.
Il faudrait surtout leur apprendre à cesser jouer au con et à se sortir les pouces. Tout le monde y gagnerait.
Ridicule ! Mais très en conformité avec l’idéologie du Justin. Et le programme d’Imhotep ! Mais ce nom est égyptien. Ah, c’est sûr que les Égyptiens savaient calculer, mais que l’on prenne en compte deux éléments : a) les habitants de l’ancienne Égypte, pas plus que les contemporains, n’étaient de race africaine. Les peuplements Noirs se situent au sud du tropique (vers la Nubie, en amont du lac Nasser); b) l’Égypte antique a très probablement bénéficié des mathématiques utilisées dans le Croissant Fertile (e.g. Mésopotamie) et les a peut-être développées. L’art de calculer par exemple la hauteur, l’arête, la base d’une pyramide n’était pas du tout connu (sauf preuve archéologique du contraire) plus au sud du tropique et à l’ouest du 30e degré Est. Mais l’idéologie ne s’embarrasse pas de la géographie humaine !
De plus, s’il est vrai que les modes d’écriture des algèbres (j’entends : les algèbres sont l’écriture des sciences) sont massivement d’origine occidentale, il n’en sont pas moins reconnus universellement, et l’abstraction, dans son principe, est (théoriquement) une faculté humaine universelle. Alors on ne comprend pas très bien la démarche au sirop d’érable consistant à vouloir “afrocentrer” les mathématiques. Remarquez, au lieu de dessiner des diagrammes d’Euler, on peut toujours dessiner des diagrammes à la noix de coco !
Quand on passe son temps, depuis tout petit, à se trémousser, à faire du bruit en imittant les chanteurs rap, ou en regardant des âneries à la télé (quand elle ne sert pas de baby sitter) comment voulez-vous qu’à l’âge de 18 ans on soit enclin à étudier des sciences exactes ? Ou encore quand on a comme modèle des joueurs de foot ou de basket, la lumière dans le tunnel à tendance à s’éloigner. Quand en plus depuis petits, ils entendent que c’est l’invention de blancs, il ne faut pas s’étonner.
Mais par contre il est remarquable l’effort qui est fait et la perche qui leur est tendue, vont-ils la saisir ?
De toute façon, le Canada avait déjà il y a plus de 10 ans tous ses sites gouvernementaux traduits en anglais simplifié voire en langage des forums Internet…
Il est étonnant que l’on soit obligé de donner des cours ethnocentrés à ces élèves, quand on sait que toutes les sciences ont été créées et développées par les noirs et les arabes!!!
L’idéologie en délire sous les érables. Enseigner à travers un prisme qu’il soit africain ou caucasien, quand il manque la lumière, c’est du pareil au même.