C’est donc possible…
Quand je vais en Irlande (ce qui arrive assez souvent, mais pas autant que je le voudrais), je me débrouille toujours pour aller à Lisdoonvarna (Lios Duin Bhearna en gaélique, ce qui signifie « Le fort du col », en référence au Lissateun Fort, un fort circulaire situé à quelques kilomètres), bourg de quelque 800 habitants dans le comté de Clare.
Considéré à juste titre comme un village thermal – ses bains de soufre sont réputés –, connu internationalement pour ses festivals de musique celtique, Lisdoonvarna, avec ses façades de maison très colorées et ses nombreux pubs, est un enchantement.
Pourquoi vous en parler aujourd’hui ? Parce que ce village, un peu comme celui des aventures d’Astérix (la comparaison s’arrêtant là, l’Irlande n’ayant jamais été occupée par les Romains), fait de la résistance face au gouvernement irlandais.
Comme la France et d’autres pays européens, l’Irlande s’est vu imposer un quota de « migrants » à accueillir sur son sol. L’actuel gouvernement irlandais, qui n’a hélas pas les cojones de la Pologne ou de la Hongrie, s’est soumis aux diktats européens. Mais cette répartition de « migrants » dans la verte Irlande ne se fait pas sur des airs de jigs, reels et autres rags, faut-il le dire.
Et notamment à Lisdoonvarna, où le gouvernement avait prévu de caser 115 « migrants ». Et pas dans un galetas, mais à l’hôtel King Thomond. Ce qui n’a pas été du goût des habitants qui ont organisé, le plus démocratiquement possible, un scrutin sur le sujet. Le résultat est tombé : 93 % des votants ont dit non à l’installation de « migrants » dans le village.
Toujours en pointe sur ces thèmes, Breizh-Info indique : « Un vote qui vient mettre un sérieux coup de frein à l’implantation de ce nouveau centre pour demandeurs d’asile dans ce coin d’Irlande. Les premiers doivent ainsi arriver à Lisdoonvarna dans les jours qui viennent. Mais les autorités vont logiquement revoir à la baisse le nombre de 115 migrants. Ceci afin de tenir compte de la volonté des habitants. Ces derniers se plaignent par ailleurs de ne pas avoir été consultés par l’Agence d’accueil et d’intégration. Un organisme qui relève du ministère de la Justice de l’égalité. »
Cette manière (habile) de se plaindre de ne pas avoir été consulté participe du souci de n’être pas traité de sans-cœur insensibles aux malheurs du monde. Mais peu importe : ce qui compte, c’est que la grande majorité des habitants de Lisdoonvarna ont fait connaître leur refus d’être contraints et envahis.
Les plus maluches du comté, surfant sur le politiquement correct, rappellent que Lisdoonvarna, qui organise en septembre, depuis 160 ans, le très couru Matchmaking Festival (le festival des célibataires), a été naguère salué pour en avoir autorisé une version LGBT depuis 2013. Preuve qu’on ne peut pas toujours gagner sur tous les terrains…
Photo : L’Office de tourisme de Lisdoonvarna (failte veut dire « bienvenue » en gaélique. Mais pas forcément pour tout le monde…).
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Extrait de: Source et auteur
les « migrants gentils » sont entrain d infiltrer tous les pays , villes et villages et en cas de guerre civile très probable avec eux , ils n y aura plus d endroit pour les blancs ou se réfugier …les populations blanches seront exterminées et égorgées chez elles, leurs filles violées et mises a l esclavage sexuel , les blancs disparaitront pour être remplacés par ces primitifs ne sachant pas reproduire ce que les blancs ont construit ..
Dès que le peuple est sollicité, il vote CONTRE les décisions des gouvernements en place … c’est bizarre ….
Il faut rétablir la Démocratie avec la force si nécessaire. Il faut rappeler que nos gouvernements sont à notre service et pas le contraire !