RTS/Forum, 21.02.2018
Le Tessin pourrait voter oui à l'initiative No Billag
Le camp du oui à l’initiative No Billag a fait un bond en avant au Tessin, alors qu'il est le canton qui bénéfice le plus de la redevance. Débat entre Amalia Mirante, professeur à l’Université de la Suisse italienne et Pierre Rusconi, ancien conseiller national (TI/UDC)."
Alors que le oui perd du terrain en Suisse*, il fait un bond en avant au Tessin.
Christian Favre s’interroge : il y a-t-il un Sonderfall tessinois ? 48% des Tessinois seraient pour l’initiative No Billag. Et c’est un paradoxe : les Tessinois sont ceux qui ont le plus besoin de la solidarité fédérale. Consolation : selon le même sondage GFS, 48% également seraient contre l’initiative.
Nicole della Pietra (correspondante au Tessin) : Des politiciens ont appelé à un « Oui » stratégique parce que la RSI (Radio-télévision de la Suisse de langue italienne) est sourde aux critiques. Il y a aussi un facteur de jalousie : 1300 employés à la RSI, ils ont le plus grand programme d’occupation ; y travailler est synonyme de statut social et de salaire privilégié. Cette caste a besoin d’une leçon, la Lega a pris parti.
Christian Favre : S’agirait-il d’un oui de protestation?
Mme Mirante : La campagne est très agressive dans le camp du « oui ». C’est une campagne difficile. Il y a du chômage, le revenu est bas, il est facile de toujours trouver un ennemi.
Selon Rusconi, il y a une colère contre les employés de la RSI, qui ne payent pas le Billag. On leur reproche aussi une arrogance intellectuelle. Par exemple, les comédies tessinoises en dialecte étaient très populaires mais ils ont cessé de les mettre au programme ; puis tout à coup, depuis un mois et demi, ils ont diffusé 13 comédies en dialecte, juste avant la votation, mais personne n’est dupe. Puis Rusconi parle du népotisme qui règne au sein de la RSI. De père en fils et en neveu, les postes se transmettent en famille. Il y a trop de frontaliers, de faux résidents, faux frontaliers, trop de personnel, de chefs.
Christian Favre à Rusconi : « On voit comment vous allez voter... »
Rusconi : Je vais voter « Non » pour les places de travail. Je vais voter non, mais la direction a donné matière à voter « Oui » à l’initiative.
Mme Mirante : Beaucoup de gens aiment la RSI, mais il y a une campagne politique. Le ressentiment contre la RSI est est fait le ressentiment qu’on peut avoir contre la classe politique.
Chrystel Domenjoz : On entend ces votes de protestation qui sont venus régulièrement du Tessin : là on parle de 1200 emplois, est-ce que le prix n’est pas trop cher pour protester ?
Rusconi : Même ceux qui voteront oui savent que ça ne va pas passer, mais ils veulent donner le message que ce type d’arrogance intellectuelle doit finir. Il y a des critiques à cause des emplois attribués du père en fils, et contre une mafia intellectuelle. « Il faut donner un coup », dans le sens de donner une leçon.
Christian Favre à Mme Mirante : Est-ce que cette votation va provoquer des réformes pour corriger cette cote de désamour ?
Mme Mirante : Il n’y a pas de désamour. Nous aimons la RSI, les gens le disent. Il n’y a pas de népotisme : c’est parce que le canton est petit. Il est possible que moi et ma sœur travaillions dans la même entreprise, c’est une réalité. Les enquêtes montrent que les Tessinois sont attachés à la RSI.
Rusconi : Personne ne met en doute la qualité et le professionnalisme. Mais c’est le système de direction et pire, la tendance de gauche. « Vous avez le même problème en Suisse romande. » Et Rusconi parle d’une manière très soft de l’hystérie orchestrée durant une année contre Trump , ajoutant : On en a assez de cette façon de faire passer les idées de manière tendancieuse.
Chrystel Domenjoz : On entend vos critiques. Et si le Tessin dit « Oui », mais que la Suisse dit « Non », qu’est-ce qu’il faut faire : réduire la radio-télévision suisse italienne ?
Rusconi : « Ça ne va pas passer ! »
Chrystel Domenjoz : Mais est-ce que vous attendez qu’on prenne des mesures pour le Tessin ?
Christian Favre : On attend des mesures qui viennent de haut pour la gestion du Tessin, car le style actuel ne satisfait pas grand monde au Tessin. Donc si demain il y a un signal, j’espère que cette alerte sera reçue par la direction générale et qu’elle portera à des changements.
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Cenator :
Mme Mirante est dans le déni total des problèmes, comme le sont la totalité des partisans du « Non » en Suisse romande.
Pourquoi le camp du « Non » admettrait-il qu’il y a un problème si rien ne les y oblige ?
Pourquoi la population romande est-elle si abrutie et les opposants y sont-ils inaudibles ?
Depuis au moins 25 ans, nous n’avons plus aucun journal, aucune chaîne audiovisuelle qui ne soit pas de gauche. Les gens ont le cerveau tellement lessivé par la propagande que les gauchistes y disposent d’une autoroute pour gagner les votations.
En ce qui concerne la votation sur No Billag, les moyens investis en Suisse romande par le camp du Non sont colossaux : voir leurs énormes affiches à chaque coin de rue, et une totale absence des affiches des initiants du No Billag.
Dans ce débat, M. Rusconi de l’UDC va voter « Non » pour la sauvegarde des emplois tout en déplorant la classe des privilégiés, avec trop de chefs trop bien payés et du népotisme. Il a relevé également que la RSI est trop orientée à gauche et ajouté que la sri-lankais a le même problème.
Lors du « Grand Débat » sur No Billag à la RSR**, la question a été vaguement évoquée par les initiants. Gilles Marchand a balayé ces critiques d’un revers de main : « Ce que les journalistes pensent est une chose, la qualité des émissions en est une autre ». Personne n’a contesté cette réponse et le sujet était clos !
En ce qui concerne la propagande de gauche écrasante et omniprésente à la RTS, cela dépasse tous les records en Suisse. En ce qui concerne le gaspillage et le népotisme, c’est pareil. Des générations de familles font carrière à la RTS, les postes se transmettent comme dans les républiques bananières. Il y avait dans les années 80 Renato Burgy, suivi par Nicolas Burgy et à présent, Claire Burgy. La RTS regorge de ce genre d’exemple.
http://m.20min.ch/ro/news/suisse/story/14483799
https://lecourrier.ch/2018/01/22/vers-un-net-rejet-de-no-billag%E2%80%8A/
**https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/grand-debat-sur-linitiative-no-billag?id=9294307
*** https://www.youtube.com/watch?v=AuORpUCvbAU
https://www.youtube.com/watch?v=Au-G0IybyGk
https://www.youtube.com/watch?v=jcb5X4dZIOA
https://www.youtube.com/watch?v=UrlC_8BDH2g
A ce sujet, je ne comprends pas pourquoi on ne voit pas de campagne d’affichage pour le oui à Nobillag. Manque de moyens? je vois partout des affiches pour le non, des autocollants sur les voitures, sur les vitrines, mais rien pour le oui.
http://www.laliberte.ch/news/une-rts-bien-trop-lemanique-429144
Paroles fondamentales & pleines de bon sens de Bertrand Décaillet, ancien animateur à Espace2 durant 20 ans.
Il nous explique la dérive de la RTS et des médias:
https://www.youtube.com/watch?v=UW7p1g0foYk
OUI A NO-BILLAG, NON A UNE TÉLÉ DE MERDE, NON A UNE TÉLÉ DE TRISOMIQUES
Aujourd’hui à Genève, les transports publics publient sur leurs bandeaux vidéo la propagande du non à no-billag. Ils utilisent des techniques répétitives puisqu’en l’espaces de 2 minutes, on a droit 2x aux mêmes glandus, à savoir Zep celui qui, grâce à ses bandes dessinées subventionnées apprend aux enfants toute la panoplie sexuelle pour prêter main-forte aux pédophiles du futur et surtout un genre de type particulièrement redoutable bi-national comme il se doit à la TSR, qui s’est grassement payé avec billag et qui doit encore toucher, lui aussi, un paquet sous prétexte de droits d’auteurs: J.-L. Bideau dont le parcours sent aussi les subventions publiques à tous les étages. SUBVENTIONS POUR DROITS D’AUTEURS, VOILA L’ANARQUE A DÉFENDRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Si on continue comme cela, bientôt sur la TSR BIDEAU va nous parler à nouveau de ses HEMORROIDES, ce qui cadre bien avec UNE TELE DE MERDE, comme il l’avait fait il y a quelques temps dans Le Matin un journal de même qualité. Pour compléter il ne manque plus que la tronche de Torracinta dans ce document, et là, feu l’arnarchisant Michel Polak qui parlait d’une télé de maçon après le rachat de TF1 par Bouygues, pourrait retourner sa veste et nous inviter à avoir AVEC BILLAG UNE TELE DE TRISOMIQUE telle qu’actuellement. https://www.rts.ch/archives/tv/information/table-ouverte/4186833-michel-polac.html https://www.ina.fr/video/I07333569 Une époque où on pouvait presque tout dire. https://www.youtube.com/watch?v=IXIaA6I4DtM&feature=youtu.be&t=15
Il ne manque plus que la tronche de Torracinta et quelques images subliminales (méthode Mitterrand) pour convaincre l’idiot du village mondial.
Le score des “sans parti” prouve bien que le PDC et le PLR sont la nouvelle gauche pro-mondialiste…qui tarde seulement à faire son coming out! Voir le nouveau-chauve darbellay/vs et l’islam!
Quant à Piccard, honte à lui! A comparer les hôpitaux à NO BILLAG, il prouve surtout que sa vision de la médecine n’est pas tout-à-fait celle d’un (vrai) médecin…
On pourrait plutôt comparer cette inique redevance à l’obligation pour tous d’acquérir un abonnement CFF…
Succomber au pouvoir de séduction, de suggestion, de persuasion et de soumission volontaire ou non, des manipulateurs mentaux est facile; c’est même inévitable si nous n’y prêtons pas une attention soutenue et quotidienne. Citoyens du peuple Souverain suisse, reprenons tous le contrôle de notre propre vie et de notre cerveau pour revendiquer un monde meilleur, tout simplement; ne nous laissons pas être manipulés et votons tous oui à NO BILLAG!
Les hommes pourront tous demander des allocations familiales car ils ont entre les jambes tout l’équipement pour faire des enfants.
Correction: M. Rusconi a “ajouté que la Suisse romande a le même problème”
(et non pas “la sri-lankais”). Mes excuses pour ce lapsus.
Si la RSI est sourde aux critiques, la TSR l’est tout autant ! Elle nous sert des émissions outrageusement orientées et tendancieuses telles que par exemple “Mise au point” de dimanche dernier, franchement scandaleux. Que la télévision suisse arrête de nous prendre pour des cons !
OUI A NO-BILLAG, c’est un premier pas. Après il y a toutes les sociétés d’économie mixte ou la mixité c’est la gauche et ses millionnaires sans partage. Swisscom Poste Suisse etc. des milliards foutus par la fenêtre pour l’entretien d’une dictature pro européenne de plus en plus pesante et réellement menaçante pour l’unité du pays avec un risque grandissant d’une guerre civile volontairement orchestrée dans cet ultime but révélé par Sarkozy, Kadhafi etc.: remettre à l’Europe et aux pays voisins de la Suisse les territoires correspondants à ses différentes zones linguistiques. Nos comploteur bi-ou tri-nationaux sont directement responsables de cette situation.
Je voterai OUI à no billag !
J’en parle avec ma famille, les amis et les voisins pour les convaincre de voter OUI !
C’est la seule solution pour que la RTSocialiste se reforme et se réorganise avec un budget convenable de 400-500 millions au lieu des 1,3 milliards !
Une structure légère, des salaires ”normaux”, une équipe de journalistes équilibrées (gôche-droite) et un management impartial. On n’en veut pas de ce népotisme et de cette bande de journaleux complices. (affaire de pédophilie à la TRSsocialiste complètement étouffée …)
En plus de la publicité dans les trains avec des personnalités vaudoises comme Bertrand Piccard qui compare “De voter pour No Billag et contre la TSR , c’est comme refuser les hôpitaux parce que l’on est jamais malade”. (!)
L’initiative a des chances de passer si nous arrivons à convaincre notre entourage de voter.