ndlr. Avec des extraits d’un article scandaleux du journal Le temps qui voit dans la vidéo de défense des femmes allemandes victimes d’atrocités et d’actes barbares une simple récupération du féminisme par “l’extrême droite”. Toujours ce hochet pavlovien.
Allemagne - Des femmes dénoncent la violence des migrants - Frauen wehrteuch! #120db
Avec la traduction française cette fois par le site du réseau de la réinformation Alsace Actu :
ndlr. Commentaire LesObservateurs.ch : réponse à l'article scandaleux du journal Le Temps qui nous cite aussi à propos de cette vidéo .
Oui ces femmes dénoncent les horreurs des innombrables agressions par les migrants sur des femmes en Allemagne. Pour le journal Le temps il s'agirait d'une récupération idéologique du féminisme!
Le féminisme ne devrait-il dénoncer que les "porcs" Blancs? Et faire silence sur les violences, viols, etc., commis par les migrants. On connaît le deux poids deux mesures du féminisme sur le sujet. Quoi de plus contraire à la déontologie journalistique que de minimiser ou de cacher ces horribles crimes parce qu'ils sont commis par des migrants et que cela induirait xénophobie et racisme?
Donc dénoncer ces crimes serait nécessairement une création de l'extrême droite, ici "germanophone". Toujours cette stigmatisation, une vraie celle-là, "l'extrême droite", "extrême droite"... Cela va de soi, toujours pour Le Temps, "une récupération du féminisme". Cela en dit long sur la conception du féminisme.
Prendre des cas réels, qui ont bien eu lieu, commis par des migrants constitue nécessairement un "biais idéologique". Il est donc impossible d'être " patriote, nationaliste, identitaire, souverainiste, conservateur", etc., sans nécessairement être raciste, d'extrême droite, etc.(la journaliste a oublié fasciste, nazi, stalinien, polpotien, etc).
Et oui la principale responsable de ces actes barbares contre les femmes allemandes est bien Angela Merkel et sa politique d'ouverture active et indistincte envers les "réfugiés" (cette appellation est elle aussi un vrai scandale). La preuve de sa responsabilité criminelle : elle change totalement de politique depuis peu, une fois obligée d'admettre, après un très très long silence, les milliers de femmes victimes de cette barbarie et autres actes criminels de masse.
Oui, nous n'avons pas hésité à reprendre cette vidéo, basée sur des cas réels, comme nous le reproche Le Temps et nous reproduisons aujourd'hui même la version traduite en français. Cette journaliste du Temps a-t-elle un seul instant essayé de se mettre à la place de l'horreur qu'ont vécue ces femmes, dont certaines en sont mortes.
Cela entraînerait "la haine des étrangers". Donc il faut laisser faire et continuer à cacher et minimise r? Belle conception du journalisme qui se veut donc de référence.
Pour notre part, nous prenons nos lecteurs pour des citoyens adultes sachant réfléchir, distinguer et protester vigoureusement si nécessaire plutôt que de cacher ce qui ne convient pas à l'idéologie d'un certain journalisme. En fait que dirait cette journaliste, pardon cette militante gauchiste, si c'était un groupement de gauche qui avait dénoncé ces crimes ? Il est vrai que les chances ne sont pas très grandes.
Conclusion : Le Temps courre un risque en adoptant ce genre de militantisme gauchiste irresponsable et fier de l'affirmer tout en diabolisant ceux qui disent la vérité et en prenant les lecteurs pour des adultes : celui de prendre le même chemin que feu l'Hebdo.
La rédaction, UW
Lien vers l'article du Temps, journal qui se veut donc de référence , ici
Extraits de l'article du Journal Le Temps du 6.2.2018:
Catherine Frammery
Le Temps , Publié mardi 6 février 2018 à 07:21, modifié mardi 6 février 2018 à 07:22.
SUR LES RÉSEAUX
#120db, le #MeToo raciste de l’ultra-droite allemande
Outre-Rhin, un nouveau mouvement prétend dénoncer les violences faites aux femmes alors qu’en réalité il se positionne contre l’immigration. Cette récupération suscite le malaise
Les alarmes de poche ont une puissance de 120 décibels – et c’est pour cette raison qu’un nouveau mouvement de femmes en Allemagne a choisi de se placer sous la bannière du mot-dièse #120db, le niveau sonore de ces alarmes qu’on peut acheter pour se défendre. Ce groupe a monté un site internet qui incite les femmes à partager leurs témoignages de violences subies, pour alerter l’opinion. Un nouveau groupe féministe allemand, dans la foulée de #MeToo? Pas tout à fait. #120db dénonce exclusivement la violence provenant des migrants, et c’est une création de l’extrême droite germanophone...
...Tout a commencé avec une courte vidéo qui a circulé beaucoup notamment sur Twitter et YouTube, depuis le 1er février. «Les Femmes se défendent» égrène les noms des victimes de meurtre ou de viol commis par des étrangers, dont ceux de trois femmes tuées en Allemagne et en Suède lors de crimes qui ont été fortement médiatisés. Plus de 60 000 vues en cinq jours, et 800 commentaires. Dans le film, neuf jeunes femmes accusent les pouvoirs publics de ne rien faire pour les protéger: «Nous ne sommes pas en sécurité quand nous allons courir, quand nous sortons, quand nous revenons tard. Vous le savez, vous avez ouvert les frontières et nous en sommes le prix. Mais nous ne sommes pas des esclaves, pas des trophées de guerre.» Gros plans sur des visages graves, petite musique de fond stressante, au piano. Du travail de pro.
«On devrait diffuser ce film pendant le Super Bowl», s’est extasiée la commentatrice ultra-conservatrice américaine Ann Coulter.
I wish this ad would run during the #SuperBowl: 120 decibels #120db (the German #metoo) http://bit.ly/2EgKhbY
Une autre star de la droite dure américaine, Glenn Beck, appelle aussi à soutenir les femmes d’Europe «violées, mutilées, tuées, transformées en esclaves par des hommes qui pensent que Dieu leur donne le droit d’être des monstres». Gros succès sur Twitter.
We need to support the Women of Europe and the world. THE MEDIA WILL IGNORE. There are women being raped, mutilated, killed and enslaved by men who believe god gives them the right to be monsters. It must stop. THE WEST MUST SPEAK OUT TO WAKE ALL WITH EARS TO HEAR #120dB https://twitter.com/amymek/status/959289247000707075 …
Des outrances racistes pourtant évidentes, mais qui ne semblent pas gêner tous les internautes. «Enfin les femmes s’attaquent à la cause de la hausse des violences contre les femmes, sans s’attaquer à tous les hommes», soupire un usager. «Enfin, des féministes qui donnent sa vraie valeur à #metoo!», renchérit un autre. Mais les jeunes femmes de la vidéo sont loin d’être de simples citoyennes qui prennent la parole. Les décodeurs du CheckNews de Libérationles ont identifiées: au moins trois d’entre elles font partie du mouvement Génération identitaire Autriche. Pour le Faktenfinderde la chaîne de TV allemande ARD, #120db est le «MeToo de droite». Il est d’ailleurs enregistré au nom de Martin Sellner, un des fondateurs du mouvement identitaire viennois, indique le site Whois. Quand le féminisme est récupéré par l’extrême droite…
Ultra-conservateurs au rendez-vous
Cette parenté politique est confirmée par le site de traçage Keyhole, qui permet de géolocaliser et de dater l’utilisation de hashtags sur Twitter. Plus de trois millions d’abonnés ont vu passer #120db sur leur fil entre le 1er et le 5 février, et la plupart des comptes qui ont utilisé le hashtag montrent des biais politiques et idéologiques sans équivoque: un profil patriotique, nationaliste ou identitaire fort, comme en France Breizhinfo, en Grande-Bretagne The Proud European, Free SpeechGB, The FederalistClub, et même aux Etats-Unis celui de l’ultra-conservateur Breitbart. Ont célébré aussi ce #120db les médias russes Spoutnik et Russia Today. En Suisse, ce sont LesObservateurs.ch qui soutiennent ce «mouvement des filles d’Europe». «La situation actuelle me désole! La principale RESPONSABLE est une FEMME (Mme Merkel)», se désole un de ses lecteurs.
«L’idée est de créer une atmosphère de sentiments anti-immigrés», analyse ARD, qui note combien les identitaires maîtrisent l’art de provoquer l’inquiétude. Ce lundi après-midi, des comptes américains commençaient à soupçonner une manipulation politicienne et le dévoiement de la cause des femmes.
The far-right is hijacking the #MeToo movement in an attempt to normalize anti-immigrant hate http://mm4a.org/ZmF #120dB
Far-right activists and "alt-right" trolls are using the #MeToo movement to bolster their xenophobia
Far-right activists and "alt-right" trolls are using the #MeToo movement to bolster their xenophobia
Plusieurs comptes ont signalé à YouTube et Facebook la vidéo comme incitant à la violence. Elle a, semble-t-il, été supprimée d’un certain nombre de comptes.
Facebook is actively silencing Speech of Women in the EU who discuss the reality of increasing Sexual Violent Attacks on Women, despite the #metoo movement. #Hypocrisy should be your Wake Up Call...
Catherine Frammery
Journaliste, Le Temps (Genève, Lausanne). Politique suisse, et aussi médias, France, Etats-Unis, Iran.
(ndlr. Une journaliste spécialiste en tout !)
Le journal “le temps” est un simple torchon merdeux.
Je suis sûr que l’auteur de l’article ainsi que son chef salivaient comme de gros porcs quand ils ont regardé leur prose sur l’exemplaire n° 0. Honte à eux !
Je ne vais pas répéter ce que j’ai écrit plutôt parmi ces mêmes postes…mais le principal problème est la perception de la “misère humaine” chez la femme où chez l’homme…et là est la clé de la situation de ce qui se passe actuellement. Pour faire “simple” l’homme est moins impressionnable émotionnellement au contraire de la femme. C’est pourquoi aux postes décisionnels impliquant de l’émotion, les femmes devraient s’abstenir. (c’est pas du machisme ni de l’anti-féminisme)
Les femmes qui ne s’identifient pas au mouvement 120 décibels ne sont pas que des idiotes utiles mais d’abominable traîtresses. Pour nous hommes occidentaux de culture gréco-romaine et judéo-chrétienne, le viol est un abominable acte criminel. Notre Code pénal suisse contient 4 articles très clairs au sujet des abus sexuel et du viol:
Art. 188 Actes d’ordre sexuel avec des personnes dépendantes.
Art. 189 Atteinte à la liberté et à l’honneur sexuels. Contrainte sexuelle.
Art. 190 Viol.
Art. 191 Actes d’ordre sexuel commis sur une personne incapable de discernement ou de résistance.
Pour nous le viol est un crime plus abominable que le meurtre, parce que ce crime nie la dignité de l’être humain et fait souffrir la victime toute une vie. Au contraire, dans le système juridique et moralisateur musulman, le viol n’est pas un horrible crime parce que, simplement et depuis toujours, le viol fait partie de la catégorie des violations de propriété: la victime n’est pas la femme qui est violée, mais l’homme qui la possède. C’est pourquoi depuis XIV siècles le viol des femmes considérées comme infidèles/mécréantes est totalement légitimé par le coran et les principes « sacro-saints » de l’islam.
Il ne faudrait peut-être pas oublier que ce sont les femmes qui ont milité pour faire venir en Europe le plus de migrants possible. Il est donc très heureux qu’elles en paient le prix et il est souhaitable qu’elles le paient encore plus fort, de manière à ce que la leçon porte vraiment.
Avec Internet, il paraît que la presse écrite traditionnelle est mise en grande difficulté. Avec l’attitude du Temps comme décrite dans l’article, cette évolution va seulement s’accélérer. Mieux vaut parler d’une vérité qui certes peut déranger que de rester dans le mensonge politiquement correct.
Elles ont pris les “migrants ” pour des mecs dans la détresse (mdr) ils sont venus pour se faire rincer et “niker” ou violer a volonté apres s’etre paluchés devant des films porno le soir dans leurs pays de “merde” ou la femme est inateignable hors mariage …avant de recevoir il faut connaitre le pédigrée de ceux que tu vas héberger (c’est déja pas facile avec les notres ; alors devinez avec les mouloud qui s’entretuent entres eux)
Les grands médias ne donnent la parole qu’aux néo-féministes auto-proclamées, gauchistes, mondialistes et immigrationnistes, qui se contorsionnent pour faire coïncider la demande d’égalité pour les femmes avec celle de toutes les “minorités opprimées”, ces dernières incluant les musulmans et les Africains qui sont les pires misogynes qu’on puisse imaginer, pour des raisons religieuses et culturelles. Bien entendu, le seul responsable est toujours le mâle blanc, ce qui a pour effet logique d’entraîner la fureur de bon nombre d’entre eux, qui finissent par rendre toutes les femmes responsables du délire de ces gauchistes. Le but de tout cela, comme toujours est de diviser pour mieux régner. Quand tout le monde se déteste et s’entre-tue, c’est toujours la grand finance mondialisée qui gagne.
Bien entendu on ne donne jamais la parole aux femmes sensées, qui demandent simplement l’égalité et le respect pour les femmes, sans se préoccuper des minorités prétendument exploitées par le mâle blanc. Le coran considère qu’un homme = deux femmes, qu’un homme qui soupçonne une de ses femmes (!) d’adultère peut la reléguer dans une chambre à part et la frapper, et que les femmes sont des champs de labour dont on use quand on le souhaite. Tout cela est bien entendu totalement incompatible avec la dignité des femmes qui existe en occident.
Les femmes qui osent dénoncent les actes monstrueux perpétrés par les migrants d’origine allogène ne peuvent qu’être systématiquement traitées de fascistes par les médias, quand encore ils en parlent car je n’ai vu “120 décibels” mentionné nulle part dans les grands médias français. C’est dont soit la censure, soit la reductio ad hitlerum, qui toutefois marche de moins en moins car les gens commencent à en avoir assez de ce chantage qui les muselle.
Il faudrait qu’une vraie solidarité s’établisse entre les Européens qui veulent préserver leur culture, leur mode de vie et leurs traditions, hommes et femmes réunis et non divisés.
Laissons les gauchistes à leurs délires, et protégeons-nous.
De deux choses l’une:
Soit les personnes qui s’installent dans une région/pays en adoptent la culture et les us et coutumes: le nom de la région (culture homogène) peut ainsi désigner ses habitants.
Soit il y a revendication multiculturelle (respect des différences), et dans ce cas, la personne doit être identifiée par sa propre culture.
Il est intolérable que des ressortissants non intégrés à l’environnement dans lequel ils vivent soient protégés par la couverture d’une identité dont ils se démarquent quand ils commettent des actes répréhensibles. Cette usurpation d’identité pour ne pas stigmatiser les communautés étrangères, c’est stigmatiser la communauté d’accueil qui a parfaitement le droit de défendre son modèle civilisationnel.
L’identité, c’est comme une langue. Celui qui parle allemand ne transmet pas la langue turque (ou français ou arabe), et vice-versa.