ndlr. A titre de comparaison avec ce dossier exemplaire d’un “journalisme de qualité”, celui de ce dossier du site Dreuz.info l’est vraiment , ci-dessous la façon dont le gratuit 20 Minutes présente au même moment ce scandale pire que celui Watergate!
Une simple reproduction de la version des Démocrates (donc des socialistes) et un exemple d’antitrumpisme quotidien, même lorsqu’il apparaît que le Président D. Trump avait raison?
Pour obtenir le droit de mettre la campagne Trump sur écoute, le FBI de l’Administration Obama s’est adressée à un tribunal secret, la Cour FISC, afin d’obtenir un mandat secret (FISA) autorisant exceptionnellement, en cas de danger pour la sécurité nationale, d’espionner un citoyen américain. Depuis des mois, les journalistes d’investigation Sara Carter de Circa […]
ndlr. Il faut impérativement lire la suite de l'article : Extrait de: Source et auteur
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ndlr. A titre de comparaison avec ce dossier exemplaire d'un "journalisme de qualité", celui de ce dossier du site Dreuz.info l'est vraiment , ci-dessous la façon dont le gratuit 20 Minutes présente au même moment ce scandale pire que celui Watergate! Une simple reproduction de la version des Démocrates (donc des socialistes) et un exemple d'antitrumpisme quotidien, même lorsqu'il apparaît que le Président D. Trump avait raison?
03 février 2018 04:04; Act: 03.02.2018 07:29Print
Ce que contient la note déclassifiée par Trump
Donald Trump a déclassifié vendredi une note critique du FBI et du ministère de la Justice américain. Voici ce qu'elle contient.
La note confidentielle de trois pages et demie rédigée par des républicains du Congrès et déclassifiée par Donald Trump affirme «soulever des inquiétudes quant à la légitimité et la légalité de certaines actions» initiées par le FBI et le ministère américain de la Justice.
Il est reproché à ces deux institutions d'avoir commis des abus afin d'obtenir le mandat d'un juge pour espionner les conversations d'un ancien conseiller diplomatique de l'équipe de campagne de Donald Trump, Carter Page.
Adoptée il y a 40 ans, la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act) impose en effet aux enquêteurs du ministère de la Justice de présenter à un magistrat fédéral des éléments probants --laissant soupçonner par exemple qu'un individu travaille clandestinement pour une puissance étrangère-- afin d'avoir le droit de placer cette personne sur écoute.
Ce qu'affirme la note
- Pour obtenir le précieux mandat judiciaire, le ministère et le FBI se sont appuyés sur des informations collectées par Christopher Steele, un ancien espion britannique. Celui-ci a opéré dans le cadre d'une mission, financée par le parti démocrate et l'équipe de campagne de Hillary Clinton, relevant clairement d'une partialité anti-Trump.
- La demande de mandat d'écoute présentée au juge a été signée par quatre hauts responsables qui ont volontairement omis de préciser les motivations politiques de Christopher Steele: le directeur d'alors du FBI, James Comey, son ancien adjoint Andrew McCabe, l'ancienne vice-responsable du ministère Sally Yates et l'actuel numéro deux Rod Rosenstein.
- Le «dossier» compilé par Christopher Steele représentait une «part essentielle» de la demande de mandat d'écoute présentée au magistrat fédéral.
- M. Steele était également une source du FBI, pourtant sa fiabilité était plus que douteuse: il a menti à la police fédérale sur ses contacts et a fait des confidences aux médias en violation des règles de confidentialité dans le monde du renseignement.
Ce qu'omet de dire la note
- Carter Page faisait l'objet de soupçons du FBI depuis 2013, bien avant la mission d'investigations confiée à Christopher Steele.
- Le dossier de Steele n'a pas été le déclencheur de l'ouverture de l'enquête d'abord confidentielle du FBI sur une possible collusion entre Moscou et l'équipe de campagne de Donald Trump. Celle-ci a été ouverte en juillet 2016, les services de renseignement américains ayant constaté des communications intensives entre des Russes et des proches du candidat républicain, notamment le conseiller George Papadopoulos.
- Le fait d'utiliser devant un juge des informations provenant d'une entité ayant des préjugés ou des intentions cachées (comme M. Steele) n'est pas rare: au magistrat d'estimer ensuite le poids à donner à ces informations.
(nxp/afp)
Quel scandale.
Mon Dieu, que les américains ont bien fait de virer toute cette mafia.
Obama, les Clinton et le parti-démocrate ( plus pouilleux tu meurs) vont passer de sales moments.
Tous, sous les verrous. Et la vieille canaille de Ssoros en haute sécurité.
Est-ce que cela va clouer le bec aux merdias? Et qui sont les plus fous Donald où les démocrates américains ?
Réponse aux prochains Infrarouges : 1) Obama-gate FBI 2) Frère Tarik
Aux commandes Mamar. Oh, que j’aimerais bien voir ça. Elle qui encensait Tarik et qui prenait Donald pour un fou.
Les manœuvres des gauchistes mondialistes et immigrationnistes sont les mêmes partout, aux USA et en Europe. Il suffit de se souvenir de tous les coups fourrés machiavéliques qui ont permis à Macron d’accéder au pouvoir alors qu’en décembre 2016, Fillon était quasiment sûr d’être élu.
Ça n’a pas marché avec Trump, ce qui a rendu les zélites auto-proclamées folles de rage. Il n’est que de lire la grande presse américaine et française aux ordres pour s’en rendre compte.
Excellent article de Jean-Patrick Grumberg de Dreuz.info, avec une erreur : ce n’est pas encore plus grave que le Watergate, même si cela “implique une corruption au plus haut degré de l’administration Obama.” puisque cela vient de la gauche qui détient le magistère moral et décide du bien et du mal. La gauche c’est Hollywood dont on connait la rectitude morale, les profs et universités et les médias US.
Tout le monde sait également que “‘Le journalisme n’existe plus. Les journalistes sont devenus des extrémistes, des marginaux, dont les positions ne reflètent plus l’opinion générale mais celles d’activistes politiques déchaînés (…) les médias n’ont plus aucune crédibilité.” en particulier concernant le NYT et surtout le Post, auquel le film sur les “Pentagon papers” de Spielberg est consacré, avec Merill Strip la féministe anti Trump qui en 20 ans a été incapable de dénoncer son ami Winstein, pour une fois qu’elle aurait pu faire preuve de courage. Un pur rôle de composition, donc, où elle est peu crédible ! Même chose pour Tom Hanks.
Aujourd’hui ce n’est plus la presse démocrate qui démonte les complots du gouvernement, c’est le gouvernement qui démonte les complots de la presse démocrate et de ses alliés politiciens corrompus.
Ironie de l’histoire : ce sont les démocrates qui se comportent comme des porcs avec les femmes (“innapropriate behaviours”) : Winstein, et ses amis Clooney (entrepreneur en Tequila), Baldwin, Matt Damon… et c’est le candidat républicain qui perd en Georgie après une cabale digne du XVIIIe siècle.
“Ce qu’omet de dire la note” – Eh bien voyons donc….
“- Carter Page faisait l’objet de soupçons du FBI depuis 2013, bien avant la mission d’investigations confiée à Christopher Steele.”
–> C’est exact et ces “soupçons” n’ont donné lieu à aucune inculpation ni condamnation. Mais du jour au lendemain lorsque Page a rejoint la campagne Trump en 2016 – soit trois ans plus tard – il est devenu absolument indispensable pour le FBI de le mettre sur écoute! Les lecteurs jugeront…
“- Le dossier de Steele n’a pas été le déclencheur de l’ouverture de l’enquête d’abord confidentielle du FBI sur une possible collusion entre Moscou et l’équipe de campagne de Donald Trump. Celle-ci a été ouverte en juillet 2016, les services de renseignement américains ayant constaté des communications intensives entre des Russes et des proches du candidat républicain, notamment le conseiller George Papadopoulos.”
–> Mensonge éhonté puisque les pontes du FBI ont admis eux-mêmes, dans des témoignages sous serment devant la Commission FISA que le faux dossier Steele avait été un élément essentiel de la mise sur écoute de Page et à travers lui de la campagne Trump. C’est dans le Mémo. Il n’est pas impossible que le FBI ait lancé une enquête avant puisque James Comey avait lâché ses chiens sur ordre d’Obama, mais c’est bien le faux dossier qui amena à l’espionnage proprement dit (une enquête menée dans les règles n’aurait posé aucun problème).
” Le fait d’utiliser devant un juge des informations provenant d’une entité ayant des préjugés ou des intentions cachées (comme M. Steele) n’est pas rare: au magistrat d’estimer ensuite le poids à donner à ces informations.”
–> MENSONGE TOTAL puisque la clef du Mémo Nunes est que le FBI et le DOJ ont caché l’origine partisane des informations au juge, à savoir que le Comité Démocrate et la Campagne Clinton ont COMMANDÉ UN FAUX DOSSIER à Steele!!! De plus, Christopher Steele s’étant compromis lui-même en cours de route en contactant des médias pour faire davantage de bruit, il aurait dû être considéré comme une “source compromise” par le FBI d’après son propre règlement intérieur et l’utilisation de documents venant de lui aurait dû être INTERDITE dans le cadre d’une investigation.
Bref, mensonges, tromperies, écrans de fumée et minimisation. Mais qu’attendre de nos médias écervelés qui ne font que répéter la propagande démocrate en mode “full damage control” venue des États-Unis?
Pratiques bolcheviques par excellence! Les masques commencent à tomber, maintenant il reste à mettre tous les membres de cette mafia derrière les barreaux et pas seulement ceux qui sont en première ligne, mais aussi et surtout ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre!
Une bonne partie des démocrates (”Elle-a-rit” et HUSSEIN Obama entre autres) sont des politicards de bas étage, très dangereux pour les USA !!
Tout mon soutien à M. Trump qui met en application ce qu’il a promis !