Le Mémo Explosif : Obamagate ou comment Clinton, Obama et le parti Démocrate ont mis l’équipe Trump sur écoute

ndlr. A titre de comparaison avec ce dossier exemplaire d’un “journalisme de qualité”, celui de ce dossier du site Dreuz.info l’est vraiment , ci-dessous la façon dont le gratuit 20 Minutes présente au même moment ce scandale pire que celui Watergate!

Une simple reproduction de la version des Démocrates (donc des socialistes) et un exemple d’antitrumpisme quotidien, même lorsqu’il apparaît que le Président D. Trump avait raison?

 

Pour obtenir le droit de mettre la campagne Trump sur écoute, le FBI de l’Administration Obama s’est adressée à un tribunal secret, la Cour FISC, afin d’obtenir un mandat secret (FISA) autorisant exceptionnellement, en cas de danger pour la sécurité nationale, d’espionner un citoyen américain. Depuis des mois, les journalistes d’investigation Sara Carter de Circa […]

 

ndlr. Il faut impérativement lire la suite de l'article : Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

ndlr. A titre de comparaison avec ce dossier exemplaire d'un "journalisme de qualité", celui de ce dossier du site Dreuz.info l'est vraiment , ci-dessous la façon dont le gratuit 20 Minutes présente au même moment ce scandale pire que celui Watergate! Une simple reproduction de la version des Démocrates (donc des socialistes)  et un exemple d'antitrumpisme quotidien, même lorsqu'il apparaît que le Président D. Trump avait raison?

03 février 2018 04:04; Act: 03.02.2018 07:29Print

Ce que contient la note déclassifiée par Trump

Donald Trump a déclassifié vendredi une note critique du FBI et du ministère de la Justice américain. Voici ce qu'elle contient.

1|21
Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi avoir déclassifié une note confidentielle rédigée par un élu républicain critiquant l'attitude du FBI. (Vendredi 2 février)

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi avoir déclassifié une note confidentielle rédigée par un élu républicain critiquant l'attitude du FBI. (Vendredi 2 février)Selon le New York Times, le président américain a tenté de virer Robert Mueller en juin. Son conseiller juridique l'en a empêché. (Jeudi 25 janvier 2018)Le président américain s'est dit prêt à témoigner sous serment face au procureur spécial sur l'affaire russe. (Mercredi 24 janvier 2018)Steve Bannon, interrogé dans le cadre de l'enquête sur les soupçons d'ingérence de la Russie, a refusé d'emblée de répondre aux questions sur le sujet. (17 janvier 2018)Steve Bannon a été cité à comparaître devant un grand jury dans le cadre de l'affaire russe. Il témoignait déjà mardi devant la commission du renseignement de la Chambre sur cette question. (Mardi 16 janvier 2018)L'ex-chef de campagne de Donald Trump, Paul Manafort, a porté plainte contre le procureur spécial Robert Mueller et le ministère de la Justice pour avoir outrepassé leur mandat dans l'enquête sur l'affaire russe. (Mercredi 3 janvier 2018)Donald Trump Jr., fils aîné (Photo d'archives) du président américain est au coeur d'une enquête parlementaire sur les soupçons de collusion entre Moscou et l'équipe de campagne de son père. (Mercredi 6 décembre 2017)Donald Trump nie avoir demandé à l'ex-directeur du FBI James Comey d'abandonner l'enquête sur son ex-conseiller à la sécurité nationale. Michael Flynn a plaidé coupable d'avoir menti dans l'affaire des ingérences russes. (Dimanche 3 décembre 2017)Le 30 octobre, le procureur Robert Mueller enquêtant sur une ingérence russe dans la présidentielle américaine a mis en accusation trois membres de l'équipe de campagne de Trump. Ils font l'objet de 12 chefs d'inculpation, parmi lesquels blanchiment et fausses déclarations.Appelés à témoigner devant le Congrès à partir de fin octobre, avaient publié des contenus sponsorisés ayant servi à diffuser de fausses informations et à manipuler l'opinion publique.Début juillet, le avec une avocate russe dont il espérait obtenir des informations compromettantes sur Hillary Clinton.Interrogé par la commission du renseignement du Sénat le 8 juin, affirme que le président américain lui a demandé d'abandonner un volet de l'enquête russe portant sur le général Michael Flynn, son ex-conseiller à la sécurité nationale.Fin mai, le gendre de Donald Trump Jared Kushner est à son tour mis en cause pour avoir et un banquier proche de Poutine dans le cadre de l'obtention de son habilitation de sécurité.Le 17 mai, Robert Mueller, ancien directeur du FBI, est nommé procureur spécial chargé d'enquêter sur le rôle de la Russie dans l'élection présidentielle de 2016 par le numéro 2 du ministère de la Justice, Rod Rosenstein, le ministre Jeff Sessions s'étant lui-même récusé dans cette affaire.Lors d'une entrevue le 15 mai avec le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, et l'ambassadeur de Russie, Donald Trump aurait et ainsi mis en danger une source américaine, selon la presse américaine.Le 9 mai, Donald Trump limoge le directeur du FBI, James Comey, lui reprochant les ratés de l'enquête sur les courriels non sécurisés d'Hillary Clinton. Ses détracteurs dénoncent une décision politique destinée à sur les liens entre la Russie et la campagne de Trump.À son tour le ministre de la justice Jeff Sessions annonce le 2 mars qu'il se retire de toute enquête sur les interférences russes dans l'élection américaine. Il avait omis de révéler des rencontres avec l'ambassadeur russe pendant la campagne présidentielle.Pour avoir évoqué les sanctions américaines contre Moscou avec l'ambassadeur russe avant l'investiture du président Trump, puis menti au vice-président Pence sur le sujet, Michael Flynn, conseiller à la sécurité nationale, est contraint à la démission le 13 février 2017.Le 31 décembre 2016, Des installations des renseignements russes sur le sol américain sont fermées et des diplomates sont expulsés des Etats-Unis.«C'est la première fois qu'un candidat d'un grand parti à la présidence a activement encouragé une puissance étrangère à espionner son opposant» celui-ci est élu à la Maison Blanche le 8 novembre 2016.Le 26 juillet 2016, peu après la victoire de Hillary Clinton aux primaires démocrates, Les Russes sont rapidement soupçonnés par les services de renseignement américain d'être à l'origine du piratage.

La note confidentielle de trois pages et demie rédigée par des républicains du Congrès et déclassifiée par Donald Trump affirme «soulever des inquiétudes quant à la légitimité et la légalité de certaines actions» initiées par le FBI et le ministère américain de la Justice.

Il est reproché à ces deux institutions d'avoir commis des abus afin d'obtenir le mandat d'un juge pour espionner les conversations d'un ancien conseiller diplomatique de l'équipe de campagne de Donald Trump, Carter Page.

Adoptée il y a 40 ans, la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act) impose en effet aux enquêteurs du ministère de la Justice de présenter à un magistrat fédéral des éléments probants --laissant soupçonner par exemple qu'un individu travaille clandestinement pour une puissance étrangère-- afin d'avoir le droit de placer cette personne sur écoute.

Ce qu'affirme la note

- Pour obtenir le précieux mandat judiciaire, le ministère et le FBI se sont appuyés sur des informations collectées par Christopher Steele, un ancien espion britannique. Celui-ci a opéré dans le cadre d'une mission, financée par le parti démocrate et l'équipe de campagne de Hillary Clinton, relevant clairement d'une partialité anti-Trump.

- La demande de mandat d'écoute présentée au juge a été signée par quatre hauts responsables qui ont volontairement omis de préciser les motivations politiques de Christopher Steele: le directeur d'alors du FBI, James Comey, son ancien adjoint Andrew McCabe, l'ancienne vice-responsable du ministère Sally Yates et l'actuel numéro deux Rod Rosenstein.

- Le «dossier» compilé par Christopher Steele représentait une «part essentielle» de la demande de mandat d'écoute présentée au magistrat fédéral.

- M. Steele était également une source du FBI, pourtant sa fiabilité était plus que douteuse: il a menti à la police fédérale sur ses contacts et a fait des confidences aux médias en violation des règles de confidentialité dans le monde du renseignement.

Ce qu'omet de dire la note

- Carter Page faisait l'objet de soupçons du FBI depuis 2013, bien avant la mission d'investigations confiée à Christopher Steele.

- Le dossier de Steele n'a pas été le déclencheur de l'ouverture de l'enquête d'abord confidentielle du FBI sur une possible collusion entre Moscou et l'équipe de campagne de Donald Trump. Celle-ci a été ouverte en juillet 2016, les services de renseignement américains ayant constaté des communications intensives entre des Russes et des proches du candidat républicain, notamment le conseiller George Papadopoulos.

- Le fait d'utiliser devant un juge des informations provenant d'une entité ayant des préjugés ou des intentions cachées (comme M. Steele) n'est pas rare: au magistrat d'estimer ensuite le poids à donner à ces informations.

(nxp/afp)

 

6 commentaires

  1. Posté par Aude le

    Quel scandale.
    Mon Dieu, que les américains ont bien fait de virer toute cette mafia.
    Obama, les Clinton et le parti-démocrate ( plus pouilleux tu meurs) vont passer de sales moments.
    Tous, sous les verrous. Et la vieille canaille de Ssoros en haute sécurité.
    Est-ce que cela va clouer le bec aux merdias? Et qui sont les plus fous Donald où les démocrates américains ?
    Réponse aux prochains Infrarouges : 1) Obama-gate FBI 2) Frère Tarik
    Aux commandes Mamar. Oh, que j’aimerais bien voir ça. Elle qui encensait Tarik et qui prenait Donald pour un fou.

  2. Posté par Claire le

    Les manœuvres des gauchistes mondialistes et immigrationnistes sont les mêmes partout, aux USA et en Europe. Il suffit de se souvenir de tous les coups fourrés machiavéliques qui ont permis à Macron d’accéder au pouvoir alors qu’en décembre 2016, Fillon était quasiment sûr d’être élu.
    Ça n’a pas marché avec Trump, ce qui a rendu les zélites auto-proclamées folles de rage. Il n’est que de lire la grande presse américaine et française aux ordres pour s’en rendre compte.

  3. Posté par SD-Vintage le

    Excellent article de Jean-Patrick Grumberg de Dreuz.info, avec une erreur : ce n’est pas encore plus grave que le Watergate, même si cela “implique une corruption au plus haut degré de l’administration Obama.” puisque cela vient de la gauche qui détient le magistère moral et décide du bien et du mal. La gauche c’est Hollywood dont on connait la rectitude morale, les profs et universités et les médias US.
    Tout le monde sait également que “‘Le journalisme n’existe plus. Les journalistes sont devenus des extrémistes, des marginaux, dont les positions ne reflètent plus l’opinion générale mais celles d’activistes politiques déchaînés (…) les médias n’ont plus aucune crédibilité.” en particulier concernant le NYT et surtout le Post, auquel le film sur les “Pentagon papers” de Spielberg est consacré, avec Merill Strip la féministe anti Trump qui en 20 ans a été incapable de dénoncer son ami Winstein, pour une fois qu’elle aurait pu faire preuve de courage. Un pur rôle de composition, donc, où elle est peu crédible ! Même chose pour Tom Hanks.
    Aujourd’hui ce n’est plus la presse démocrate qui démonte les complots du gouvernement, c’est le gouvernement qui démonte les complots de la presse démocrate et de ses alliés politiciens corrompus.
    Ironie de l’histoire : ce sont les démocrates qui se comportent comme des porcs avec les femmes (“innapropriate behaviours”) : Winstein, et ses amis Clooney (entrepreneur en Tequila), Baldwin, Matt Damon… et c’est le candidat républicain qui perd en Georgie après une cabale digne du XVIIIe siècle.

  4. Posté par Stephane Montabert le

    “Ce qu’omet de dire la note” – Eh bien voyons donc….

    “- Carter Page faisait l’objet de soupçons du FBI depuis 2013, bien avant la mission d’investigations confiée à Christopher Steele.”
    –> C’est exact et ces “soupçons” n’ont donné lieu à aucune inculpation ni condamnation. Mais du jour au lendemain lorsque Page a rejoint la campagne Trump en 2016 – soit trois ans plus tard – il est devenu absolument indispensable pour le FBI de le mettre sur écoute! Les lecteurs jugeront…

    “- Le dossier de Steele n’a pas été le déclencheur de l’ouverture de l’enquête d’abord confidentielle du FBI sur une possible collusion entre Moscou et l’équipe de campagne de Donald Trump. Celle-ci a été ouverte en juillet 2016, les services de renseignement américains ayant constaté des communications intensives entre des Russes et des proches du candidat républicain, notamment le conseiller George Papadopoulos.”
    –> Mensonge éhonté puisque les pontes du FBI ont admis eux-mêmes, dans des témoignages sous serment devant la Commission FISA que le faux dossier Steele avait été un élément essentiel de la mise sur écoute de Page et à travers lui de la campagne Trump. C’est dans le Mémo. Il n’est pas impossible que le FBI ait lancé une enquête avant puisque James Comey avait lâché ses chiens sur ordre d’Obama, mais c’est bien le faux dossier qui amena à l’espionnage proprement dit (une enquête menée dans les règles n’aurait posé aucun problème).

    ” Le fait d’utiliser devant un juge des informations provenant d’une entité ayant des préjugés ou des intentions cachées (comme M. Steele) n’est pas rare: au magistrat d’estimer ensuite le poids à donner à ces informations.”
    –> MENSONGE TOTAL puisque la clef du Mémo Nunes est que le FBI et le DOJ ont caché l’origine partisane des informations au juge, à savoir que le Comité Démocrate et la Campagne Clinton ont COMMANDÉ UN FAUX DOSSIER à Steele!!! De plus, Christopher Steele s’étant compromis lui-même en cours de route en contactant des médias pour faire davantage de bruit, il aurait dû être considéré comme une “source compromise” par le FBI d’après son propre règlement intérieur et l’utilisation de documents venant de lui aurait dû être INTERDITE dans le cadre d’une investigation.

    Bref, mensonges, tromperies, écrans de fumée et minimisation. Mais qu’attendre de nos médias écervelés qui ne font que répéter la propagande démocrate en mode “full damage control” venue des États-Unis?

  5. Posté par Le Taz le

    Pratiques bolcheviques par excellence! Les masques commencent à tomber, maintenant il reste à mettre tous les membres de cette mafia derrière les barreaux et pas seulement ceux qui sont en première ligne, mais aussi et surtout ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre!

  6. Posté par Antoine le

    Une bonne partie des démocrates (”Elle-a-rit” et HUSSEIN Obama entre autres) sont des politicards de bas étage, très dangereux pour les USA !!
    Tout mon soutien à M. Trump qui met en application ce qu’il a promis !

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.