Selon une étude du ministère fédéral de la Famille, près de 50 000 victimes féminines de mutilations génitales vivent en Allemagne. Cette pratique est répandue notamment en Égypte, en Érythrée, en Somalie, en Éthiopie, au Mali et en Irak. Pendant la mutilation et plus tard lors des rapports sexuels et lors des accouchements, des millions de femmes souffrent de graves complications et de traumatismes.
Daniela Sommer, vice-présidente du groupe SPD au parlement de Hesse a critiqué le fait que des actes médicaux ne sont accordés qu’à celles qui ont obtenu l’asile. Ce n’est que dans ce cas, selon le ministère, que les opérations sont prises en charge par les caisses maladie.
(Traduction Fdesouche)
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Où sont les femmes ?
Les femen ?
Personne quand il s’agit de la religion nouvellement importée…
* tant de jeunes (femmes amis aussi hommes, circoncision oblige) sont mutilés sans que personne de l’état ne bouge le petit doigt : sont-ils aux ordres ?
Qu’en pensent nos féministes patentées ? Pas grand chose puisque ces coutumes babares nous viennent surtout depuis des peuples anciennement colonisés…Ce qu’elles détestent c’est le màle blanc…seulement !
Cet ONU qui entretient dans son sein, la bourgeoisie malsaine des pays où règnent ces pratiques mutilantes, ferait mieux de ne pas permettre la présence de leurs politiques en son sein.Déjà!
Une solution : TOUS LES ORGANISMES INTERNATIONAUX dans lesquels des politiques de ces pays travaillent, ne devraient les accepter qu’à une condition, leur demander : OEUVREZ VOUS POUR L’ERADICATION DES PRATIQUES MUTILANTES DANS VOS PAYS.
– SI OUI, après observation de vos résultats je peux vous accepter dans notre organisation .
– SI NON, VOUS N’AUREZ PAS VOTRE PLACE DANS NOTRE ORGANISATION.
Ces organisations internationales sont dégoûtantes car elles abritent en leur sein, surtout et surtout des arrivistes, des gens qui n’ont pas de courage et de volonté politique.
Quand aux petites filles qui sont scolarisées en Europe (bien que leurs parents ne soient pas régularisés) devraient “subir” une visite annuelle jusqu’à l’âge de 18 ans permettant de déceler s’il y a eu sur elles ces actes barbares.
SI OUI, parents et enfants devront quitter les territoires européens. Dans ce dernier cas, vous verrez que cette pratique CESSERA car leurs parents auront une calculette dans la tête et sauront envisager “la perte de bénéfices”.
Nos politiques vont préférer lécher les bottes des politiques de ces pays ( en fermant les yeux sur ces mutilations) jusqu’à quand?.
Et jusqu’à quand allons nous accepter la lâcheté en tous genres de nos politiques.
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En fait, qu’est-ce qu’elle revendique la grande féministe du SPD, que les mutilations génitales soient remboursées par les caisses-maladie, c’est ça en fin de compte ?
Et en Suisse? (…………)