Par Guillaume de Thieulloy
Le téléscopage des nouvelles a parfois une valeur éclairante pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.
À quelques heures d’intervalle, j’ai ainsi appris deux anecdotes très différentes, venant de personnalités également différentes, mais qui, côte à côte, prennent un relief étrange.
J’ai d’abord appris que Julien Dray, l’un des fondateurs de SOS Racisme et l’un des meilleurs spécialistes des coups tordus au Parti socialiste, s’opposait à la loi Collomb de contrôle de l’immigration.
Julien Dray ,très apprécié de Normal 1er et des membres des réseaux du cabinet noir…Julien Dray confirme en l’état, que le socialisme
est bien une profession pour fonctionnaires de luxe …
Juju Dray est un apparatchik corrompu, arriviste sans scrupules et de surcroît amateurs (tout comme son alter ego Moscovici) d’honneur et de montres de luxe. Ce charognard est prêt à toutes les bassesses politiques pour avoir l’illusion de continuer d’exister dans le charnier du parti socialiste français. Un gros déchet égotiste.
Excellent article, dont je recopie ici un extrait :
« Les propos de Julien Dray sont d’un radicalisme choquant. Dans toute autre bouche, ils auraient même pu passer pour du révisionnisme, puisqu’ils minimisent implicitement la gravité de ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre mondiale, en associant dans l’esprit de ses auditeurs, par le mot « rafle », la déportation des Juifs à un banal contrôle d’identité.»