Les scoops du journal Le Temps sur le président D.Trump. En fait, qui est malade ?

Les scoops du journal Le Temps sur le président D.Trump.  En fait, qui est malade ?

L’anti-trumpiste quotidienne, correspondante es ragots aux USA, du journal Le Temps , V. Graffenried,( Le Temps 12.1.2018 , Donald Trump est-il fou? Santé mentale de Trump, le débat sans fin) a-t-elle remarqué que ce même Président  des USA Donald Trump lui avait adressé ses vœux pour 2018 au moyen de l’un de ses habituels tweets en souhaitant « bonheur et santé à (ses) ennemis et à tous ceux qui (le) haïssent ». Authentique.

Un homme avec un tel humour peut-il être « fou » comme le prétendent une collection  de psychiatres socialistes affiliés aux Démocrates (donc socialistes également) et mis en valeur par un journal lui aussi de gauche, le New York Times, et producteur de Fake News, oui, oui (je pense ici par exemple au journaliste de ce journal qui a publié des reportages bidonnés pendant des mois et que l’on a longtemps épargné par ce que Noir) tout en criant constamment aux mensonges des autres. D’où une nouvelle question : ne faudrait-il pas élargir l’examen du degré d’équilibre ou de déséquilibre, voire de  la « santé mentale », à ceux mêmes qui s’interrogent constamment sur l’état de santé mentale des autres ? Une obsession peut aussi tourner en maladie. Peut-être que l’on  ne tomberait pas nécessairement  sur des « fake news » dans de tels cas.

On pourrait résumer cette manie  par un nouveau slogan : « je hais donc je suis »,  ou, mieux «  je hais de toute ma haine idéologique », mais est-ce alors encore du journalisme ? Bah ! à force de voir des maladies mentales partout on risque d’en révéler certaines chez soi-même. De nouveaux arroseurs arrosés et même des arroseuses arrosées ? Autrefois on gardait les « allumés » au village , aujourd’hui on en envoie certains.nes dans les villages urbains « branchés » et où l’on reste effectivement aussi entre soi.

En attendant, il y a des sites de réinformation qui font un vrai travail d’information en rendant régulièrement compte du nombre impressionnant  de réalisations  du Président des USA Donald Trump. On passe alors des ragots à l’info, des fake news  aux news,  du Désir au Réel, de l’hallucination à la réalité, des folles du logis au journalisme d’investigation,  de la flânerie au travail pour lequel on a été nommé…

La rédaction, 13.1.2018

7 commentaires

  1. Posté par maury le

    Obama et Soros, la cinquième colonne de Trump ©
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    Hava –
    Fév 19, 2017
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    Lorsque l’ancien président Barack Obama a dit qu’il se sentait “encouragé” par les manifestations anti-Trump, il envoyait un message d’approbation à ses troupes. Ses troupes? Oui, Obama a une armée d’agitateurs – plus de 30 000 – pour mettre des bâtons dans les roues à son successeur républicain à chaque tournant de sa présidence. Et Obama les commandera à partir d’un quartier général, situé à 3 km de la Maison Blanche.

    Nous avons affaire à une post-présidence très inhabituelle. Obama ne se contente pas de rester à Washington. Il travaille dans les coulisses pour mettre en place ce qui sera effectivement un gouvernement de l’ombre, non seulement pour protéger son héritage menacé, mais pour saboter l’administration entrante et son populaire slogan “America First” (l’Amérique d’abord).

    Il le fait à travers un réseau d’ONG de gauche appelé Organisation For Action (OFA). Normalement, une organisation créée pour soutenir un politicien et son ordre du jour, est censé fermer boutique après que le candidat quitte le bureau. Mais il n’en va pas ainsi d’Obama avec l’OFA. Au contraire, il se prépare à la bataille, avec un agenda de batailles à mener, qui gonfle de jour en jour, et plus de 250 bureaux à travers le pays.

    Depuis l’élection de Donald Trump, cette armée de protestation peu connue mais bien financée a renforcé ses équipes de personnel en recrutant de jeunes militants libéraux, qui déclarent sur le site Web: «Nous ne sommes pas vaincus.» Déterminé à sauver l’héritage d’Obama, l’OFA dessine les lignes de fronts sur l’immigration, l’ObamaCare, l’antiracisme et le changement climatique.

    Obama est intimement impliqué dans les opérations de l’OFA et même dans les tweets du compte du groupe. En fait, il a donné des ordres de marche aux soldats de l’OFA après la victoire de Trump.

    “Il est compréhensible de se sentir stressé, triste, découragé”, a-t-il dit lors d’une conférence téléphonique depuis la Maison Blanche. “Mais il faut le surmonter.” Il a exigé qu’ils “avancent pour protéger ce que nous avons accompli.”

    «C’est maintenant le moment d’organiser quelque chose,» dit-il. – Alors, ne vous fâchez pas.

    Loin de bouder, les militants de l’OFA l’ont aidé à organiser des marches anti-Trump à travers les villes américaines, dont certaines se sont transformées en émeutes. Après que Trump ait publié une interdiction temporaire sur l’immigration de sept nations musulmanes sujettes au terrorisme, les manifestants ont bloqué les aéroports, en chantant: «Pas d’interdiction, pas de mur, un refuge pour tous!

    Dirigée par les anciens aides Obama et les organisateurs de sa campagne, l’OFA, selon le fisc, est une organisation à but non lucratif “non partisane” constituée de 32525 bénévoles à l’échelle nationale. Enregistrée comme une association 501 (c) (4), l’association n’a pas à divulguer quels sont ses donateurs, mais ils ont été généreux. L’OFA a engrangé plus de 40 millions de dollars en contributions et subventions depuis l’organisation de la campagne d’Obama “Obama pour l’Amérique” en 2013.

    L’OFA, selon l’IRS, forme de jeunes militants pour développer leurs «compétences d’organisateurs». Armé avec la base de données de la campagne 2012 d’Obama, l’OFA prévoit de gagner la majorité au Congrès pour que les candidats démocrates puissent dresser un mur de résistance face à Trump à l‘autre extrémité de la Pennsylvania Avenue.

    Il sera aidé dans cet effort par la Fondation Obama, dirigée par Eric Holder, l’ancien directeur politique d’Obama, et le Comité national de redécoupage démocratique, lancé le mois dernier, pour mettre fin à ce que Obama et Holder appellent les mandarins des districts des congressistes.(GOP «gerrymandering»)

    Obama va superviser tout cela dans une Maison blanche de l’ombre, située à moins de trois kilomètres de Trump. Son fief se compose d’un manoir, qu’il fait fortifier avec la construction d’une enceinte en briques, et un bureau voisin financé par les contribuables qui est doté de son propre chef d’état-major et d’un bureau de presse. Michelle Obama ouvrira aussi un bureau là-bas, avec la Fondation Obama.

    La phase critique du programme sera de reconstruire le Parti démocrate, au tapis. Obama espère installer son ancien chef des droits civiques Tom Perez, à la barre du Comité national démocratique.

    Pérez est candidat à la présidence vacante et jure, «Il est temps de s’organiser et de combattre. . . Nous devons nous tenir prêt à protéger les réalisations du président Obama », tout en promettant:« Nous allons construire une force d’opposition appuyée sur la base, la plus forte que ce pays ait jamais vue.

    Obama, âgé de 55 ans, ne se contente pas de retourner tranquillement dans l’ombre comme les autres anciens présidents. “Vous allez me voir au début de l’année prochaine”, a-t-il déclaré à ses troupes de l’OFA après les élections, “et nous allons être dans une position où nous pourrons commencer à cuisiner toutes sortes de trucs géniaux.

    “Le fait est, que ma flamme est toujours vive et que suis prêt à agir.” a-t-il ajouté.

    Paul Sperry est l’auteur de “The Great American Bank Robbery”, qui détaille le lien entre les politiques de logement fondées sur la race et la crise des prêts hypothécaires.

    Donald Trump Is Sworn In As 45th President Of The United StatesDonald Trump Is Sworn In As 45th President Of The United StatesDonald Trump Is Sworn In As 45th President Of The United States

    Paul Sperry New York Post – Traduction JForum

  2. Posté par Jacques le

    Pavlov avait raison: dès que je vois ou entends parler de ce vil canard, les bras m’en tombent ! J’attends avec impatience le jour oú il fera faillite… Il pollue le paysage médiatique.

  3. Posté par hmj le

    Fogiel, un animateur français d’émission de grande écoute plûtôt gaucho et qui a vécu plusieurs années aux us où ses deux fils sont nés, a passé plusieurs jours fin 2017 aux us et il a constaté que les américains sont très satisfaits de TRUMP.

  4. Posté par Bernard le

    Je me rende dans un club qui met des journaux à disposition. Je l’avoue quand je peux je balance le Temps à la poubelle. Il ne faut pas que ce torchon contamine le peuple Suisse.

  5. Posté par coocool le

    Le Temps est devenu un canard totalement imbuvable depuis quelques années déjà. Ligne éditoriale à l’agenda mondialiste, européiste, bien-pensant, décadent, bobo, écolo, cultureux… En plus il est impossible de faire des commentaires sur les articles pour les corriger, comme sur le gratuit 20 minutes. Bref, un torchon a qui je souhaite de connaître le sort de l’Hebdo !

  6. Posté par JeanDa le

    Le fond du fond du fond de la saloperie vient d’être percé à la vitesse de la lumière.

  7. Posté par pierre frankenhauser le

    Le torchon Le Temps continue de perdre des abonnés et il l’a bien cherché. A l’instar de ses cousins scribouillards de la RTS, son fonds de commerce est le déni de réalité. Avant de se mettre en faillite, il pourra toujours tenter de se recycler dans la réalité virtuelle. Trump n’a pas de temps à perdre avec ces blaireaux frustrés et n’a pas à se justifier pour toutes les mesquineries fabulatrices concoctées par ces sacs à vomi. Il a clairement d’autres chats plus sérieux à fouetter.

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