NDLR. La raison d’être de mon article : Ce Président de la Fondation Ethos D. Biedermann est aussi Président du Comité d’éthique et de déontologie de l’Université de Genève qui, à deux reprises ces dernières années et encore en juin 2017, a écrit au Rectorat pour signaler que je violais la Charte d’éthique et de déontologie d’UNIGE. Après la campagne actuelle contre le harcèlement sexuel et autre mobbing, l’UNIGE pourrait initier une campagne contre le harcèlement idéologique.
Lien vers l’article en allemand : https://lesobservateurs.ch/2017/12/14/der-aktionarsmoralist-leistet-sich-filz-in-eigener-firma-jetzt-spricht-biedermann-uber-sein-ethos-problem/
Dominique Biedermann, le grand moralisateur qui fait des reproches sévères aux grandes entreprises et était fier d'en faire trembler de très grandes, se voit accuser, entre autres, d'avoir des pratiques semblables dans sa propre entreprise Ethos !
La campagne de presse a commencé en Suisse allemande. D’où le fait que l’article du Blick qui révèle en grand et en UNE ses pratiques est reproduit ici en allemand. Mais on trouvera en fin d'article un premier papier étoffé en français du journal Le Temps ici, un autre dans 24 Heures, ici. D'autres suivent.
Je tiens à ajouter que ce même moralisateur sévit aussi en Suisse romande, et pas à n’importe quel titre. Il s’agit bien du même Dominique Biedermann, Président de la Fondation « ETHOS » ! En effet, il est aussi président du Comité d’éthique et de déontologie de l’Université de Genève, Comité qui comprend 5 autres membres, la plupart bien-pensants et/ou de gauche . A deux reprises ce Comité a, par exemple, statué sur mon cas en prétendant que je violais la Charte éthique et déontologique de l’Université de Genève; une première fois parce que j’avais rappelé, entre autres, dans une chronique parue dans le journal valaisan le Nouvelliste intitulée: « Notre ennemi : le socialisme de la démagogie et des bas instincts », que Hitler avait été socialiste avant de devenir nazi » ; mais il n’y avait rien de condamnable dans ma chronique, juste une critique sévère du socialisme. J’ai même écrit un petit livre sur cette affaire qui a duré des mois avec des médias piaffant d’impatience en attendant de savoir si j’allais être sanctionné, voire pire. Titre du livre : Uli Windisch, L’Affaire UW » Ed l’Age d’Homme, 2010, 272p. Au final, ce Comité mais aussi le Rectorat se sont ridiculisés, même en ne m’adressant que des remontrances. On n'avait pas encore réussi « à m’avoir » !
Deuxième démarche à mon encontre, toute récente celle-là (elle date du 4.7. 2017) de ce même Comité d’éthique et de déontologie de l’Université de Genève et toujours présidé par le même D. Biedermann, visiblement encore une référence en matière d’éthique et de déontologie, du moins à l’UNIGE, démarche qui a été conclue, provisoirement, par une lettre du recteur actuel de l’UNIGE, Yves Fluckiger, qui m’écrit que ce Comité me reproche « une violation des valeurs de la charte d’éthique et de déontologie de notre Université ». Aspect incroyable et cocasse : il s’agissait cette fois d’un article même pas écrit par moi-même, mais par un contributeur de mon site de Réinformation LesObservateurs.ch, article qui n’est une nouvelle fois en rien condamnable. Cet article critiquait, certes de manière appuyée, une chercheuse gauchiste de l’institution et qui était titré : « une professeur de l’UNIGE accuse la Suisse de traite coloniale et de racisme au Festival du film de Genève » (article toujours disponible sur notre site ; le lien vers l’article : https://lesobservateurs.ch/2017/03/31/suisse-une-africaine-accuse-la-suisse-de-traite-coloniale-et-de-racisme/).
Le plus scandaleux de ces reproches officiels : mon site n’a rien à voir avec l’Université de Genève et il va de soi que je ne peux pas cacher le fait d’avoir été professeur dans cette UNIGE pendant plus de 30 ans. Et nos lecteurs savent évidemment aussi cela. Je ne peux pas me scinder en deux et instaurer une étanchéité totale entre les différentes étapes et activités de ma vie professionnelle, en plus largement connue publiquement. Il y a mieux : jamais la revue de presse quotidienne de l’UNIGE ne reprend le moindre de mes très nombreux articles publiés sur mon site, justement au nom du fait que ce site n’a rien à voir avec l’UNIGE !
J’ai répondu de manière disons cinglante au Recteur en signalant cette fois de vrais exemples de pratiques inadmissibles du point de vue éthique et déontologique que j’ai personnellement connus au cours de ma vie universitaire et précisé que pour l’instant je gardais cette lettre bien étoffée de trois pages encore interne. Mais qu’au moindre harcèlement idéologique supplémentaire je la rendrais publique.
Je note par ailleurs que l’UNIGE a entrepris ces jours une vaste campagne, bien onéreuse et spectaculaire, que certains médias ont même osé ridiculiser, sur le harcèlement sexuel et autre mobbing.
Je pense qu’il serait tout aussi urgent d’entreprendre une autre campagne, contre une réalité tout aussi grave, vaste et massive, dans bien des Universités suisses également, à savoir ce harcèlement idéologique dont sont victimes les universitaires qui ne sont pas de gauche, situation d’autant plus dure à supporter que les universitaires de gauche sont massivement dominants, du moins dans ce que l’on appelle les « sciences » humaines et sociales. Ces postes universitaires se caractérisent en plus par une sorte d’hérédité idéologique. Un enseignant de gauche nommera très naturellement ! d'autres chercheurs et enseignants de gauche. A l'opposé, personnellement, je suis donc considéré comme étant de droite alors que la réalité est évidemment plus complexe et nuancée, je n'ai jamais eu cette pratique. Bien au contraire.
Pour terminer, en ce qui me concerne, il faudra sans doute encore d’ autres tentatives pour « m’avoir » ; en fait, chacun l’aura compris, je ne suis tout simplement pas de gauche. Insupportable, apparemment, dans les dites « sciences » humaines, oh combien humaines!
Quant au moralisateur et … je vous laisse choisir les autres termes qui conviennent aux pratiques de l’individu D. Biedermann, sa devise est sûrement : faites comme je dis mais ne faites pas comme je fais.
Malgré ces révélations du Journal alémanique Blick, ce Président du Comité d’éthique et de déontologie de l’UNIGE restera sûrement en fonction. Pourra-t-il continuer à donner des leçons à tout le monde?
Jusqu’au jour où…car la plupart des acteurs de notre société sont assez regardant sur des prétentions en contradiction apparemment flagrante avec les pratiques de D. Biedermann.
PS. Ethos est bien une Fondation romande. Après les éclats dans la presse alémanique,les médias romands commencent à se saisir de l'affaire. Un exemple du journal Le Temps, ici et un autre de 24 Heures déjà cité,ici.
Autre exemple :
Le couple à la fête. C'était avant...
Uli Windisch, 15.12.2017
On a perdu les photos et c’est bien dommage. Miracle on les retrouve… et là on voit comment ça marche quand on maquille la réalité avec de la bonne conscience. Recette no1: Une bonne maquilleuse par exemple: http://www.vanityfair.fr/uploads/images/201611/7a/vf_sarko_maquillage_6149.jpeg et puis miracle c’est épatant de voir le résultat intermédiaire, puis ajoute quelques piqures d’hormones, du botox et le triomphe final https://f1.blick.ch/img/incoming/origs7724211/461014404-w980-h653/ethos-.jpg Comme quoi les puissances de l’argent en portent les stigmates.
La bonne conscience et ses clairons ( https://www.ethosfund.ch/sites/default/files/styles/large/public/2017-03/Ethos_20_ans_photos-280.jpg?itok=aWVv9Da0 ) et autres tam-tam, SSR RTS, le Matin, le Temps et toute la pravda-sphère Tamedia manipulaient à coups massues les innocents et les naïf pour mieux les traire en les trompant avec éthique, bien entendu, au profit de Biedermann et de ses talents d’illusionniste ! Et même le cor des Alpes est de la party https://www.ethosfund.ch/fr/ethos-day-2-fevrier-2017 Vous repérerez plusieurs têtes au passage, qui démontrent qu’ Hethos est un repaire de bonnes consciences, par définition de gauche, comme la pluralité de la presse. Le vivre ensemble, c’est toujours la meilleure méthode pour cacher le caca.
Parce que là ça pue la secte des Hypocrites. La preuve, il y a même la “sainte” Sommaruga. Est-ce que les escrocs imposteurs Camilliani, déguisés en prêtres pour la circonstance y ont aussi planqué des millions d’€ volés pour lesquels ils ont été condamnés en Italie et dont nos chers médias n’ont rien divulgué ? C’est gênant pour nos traîtres de savoir qu’une “sainte Sommaruga” fait partie de leurs troubles affaires. Et si même le Temps et 24 heures redressent l’image médiatique de Biedermann pour le placer désormais à sa juste valeur, espérons qu’il s’agit d’un acte de réel information journalistique et pas un petit coup de pied, juste pour rassurer ceux qui envisagent de ne plus renouveler leurs abonnements pour le faire suivre à lesobservateurs.ch. Et si le vent tournait et qu’Héthos, devenu plus une affaire de famille qu’une affaire d’éthique, sombrait définitivement dans les mains de Thanatos ?
j’habite une petite bourgade au dessus de Vevey, je me suis toujours félicité des contacts que j’ai eu avec les représentants de Nestlé, soit dans la vie civile ou les autorités. Je n’aime les moralisateurs !
Quand nos gouvernants se réfugient derriere les mots “nos valeurs” je me les imaginent se sauvant de l’élysée au claire de lune avec un masque sur les yeux et un sac sur le dos rempli des porcelaines de sevres fruit de leur butin (mdr)
Dès sa création, la droite ou plutôt les adeptes de la doctrine libérale se sont agenouillés devant les accusations dogmatiques de la gauche, si la droite ne s’aligne pas aux chantages de la gauche, elle est accusée d’extrême-droite, alors que le seul exemple qui me vient à l’esprit pour illustrer ce que pourrait être l’extrême-droite, seul me vient le terme de “nationalisme-SOCIALISME” !!!!
Expliquez-moi ?
Dès sa création, la droite ou plutôt les adeptes de la doctrine libérale se sont agenouillés devant les accusations dogmatiques de la gauche, si la droite ne s’aligne pas aux chantages de la gauche, elle est accusée d’extrême-droite, alors que le seul exemple qui me vient à l’esprit pour illustrer ce que pourrait être l’extrême-droite, seul me vient le terme de “nationalisme-SOCIALISME” !!!
Expliquez-moi ?
Dès sa création, la droite ou plutôt les adeptes de la doctrine libérale se sont agenouillés devant les accusations dogmatiques de la gauche, si la droite ne s’aligne pas aux chantages de la gauche, elle est accusée d’extrême-droite, alors que le seul exemple qui me vient à l’esprit pour illustrer ce que pourrait être l’extrême-droite, seul me vient le terme de “nationalisme-SOCIALISME” !!
Expliquez-moi ?
C’est pas dans cette même Uni qu’enseigne l’individu qui a été condamné (sans se présenter) suite aux manifestations à Paris, contre la loi travail???
Quand on m’agite le mot “valeurs” devant le nez, j’ai toujours envie de dégueuler. C’est le moyen qu’emploient les gauchistes pour promouvoir leurs objectifs en nous culpabilisant.
Un exemple dans une université canadienne, avec une étudiante en communication :
Lindsay Shepherd : Free Speech Battle with Laurier University – The Rubin Report
https://www.youtube.com/watch?v=vpFUvfAvKs4
Il n’y a pas pire que ces gauchistes pour le copinage et subventions donnés à telles associations etc…Si la gauche seule existait,ils n’ y aurait que des fonctionnaires et des assoc assistées les plus débiles les unes que les autres.Et L’URSS s’est effondrée? ,on ce demande pourquoi?Le fascisme,le totalitarisme etc.. tous en premier des gauchos.