On ne présente plus Christine Tasin organisatrice avec Pierre Cassen des apéros saucisson-pinard, des Assises de l’islamisation et des marches contre l’islamisme. On sait peut-être moins qu’elle est professeur agrégé de lettres classiques et qu’elle nous appelle aujourd’hui à la résistance physique contre l’islamisation de l’école. Montrez-vous, protestez, dénoncez ! L’Education nationale a horreur de la publicité et du scandale.
— Pourquoi avoir choisi tout comme Bernard Ravet ancien principal de collège à Marseille, de vous attaquer au phénomène de l’islam à l’école ?
— J’ai pour l’école un amour et une fascination immodérés, ajoutés à la conscience de son importance, vitale pour notre pays et nos enfants.
J’étais professeur, j’ai eu la chance d’adorer mon métier et qu’il me le rende bien, et je suis très choquée de voir la disparition de choses essentielles qui faisaient la grandeur de l’école, de la France… et le bonheur des enfants : l’ascenseur social, le creuset où se constitue une nation par l’étude d’une histoire et d’une littérature communes, la maîtrise de la langue et celle de la pensée (ce qui se conçoit bien s’énonce clairement), la notion de « bien commun » dont on prenait conscience à l’école.
— Qu’est-ce qui a changé dans les écoles laïques de la République et quand ?
— Je donne, dans mon livre, la liste de tous les « traîtres » qui ont conduit l’école au tombeau. Même si, dès les années 1970, cela commence à se gâter, les programmes et les circulaires des différents ministres ont modifié, délibérément, l’école depuis 1981. Les premiers traîtres s’appellent Jospin, Rocard, Lang… qui ont commencé à appliquer les desiderata des dirigeants musulmans de l’OCI, organisation réunissant les 57 pays musulmans. La pire sans doute a été Belkacem à qui je consacre l’une des six parties du livre. Et Blanquer semble bien parti pour continuer le carnage… Les changements que j’ai évoqués dans ma première réponse n’ont eu d’autre but que de permettre le changement des mentalités et le Remplacement de population. Grande place accordée à l’islam dans les programmes, islam magnifié aux dépens de la vérité historique, disparition de nos héros remplacés par l’étude des empires africains, entrée en masse du livre de littérature jeunesse dans les programmes, aux dépens de Molière, Hugo et Ronsard. Omniprésence des thèmes et livres portant sur l’esclavage, le colonialisme, le racisme… Tout est fait pour modifier le regard, peu favorable a priori – et on sait pourquoi – de tout un chacun sur l’islam et le multiculturalisme. Pour cela la grandeur de la France est minimisée, oubliée, piétinée. Et l’on voit se multiplier les interventions, en classe, de représentants associatifs prétendument antiracistes qui viennent faire leur propagande pro-islamisation, pro-immigration, comme la LDH, la LICRA et même le CCIF et le PIR. Le CCIF, Collectif contre l’islamophobie en France dont l’ancien président, Marwan Muhammad, disait que personne n’avait le droit d’empêcher les musulmans de rêver au moment où la France serait musulmane. Le PIR (Parti des indigènes de la République) dont le porte-parole Houria Bouteldja a menacé les Français d’origine de ces mots incroyables : « N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous ! Demain il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. » Et ces gens-là sont même invités à former les professeurs… comme ce fut le cas l’année dernière dans l’académie de Créteil.
« Accompagnatrice voilée, chants en arabe, fête scolaire halal ? Il faut protester sans relâche ! »
— Selon vous la laïcité républicaine est-elle une réponse satisfaisante et suffisante ?
— Oui, nous avons toutes les lois, tous les moyens légaux de remettre chacun dans le droit chemin, mais nos dirigeants refusent absolument de les utiliser, d’aucuns pensent même à abolir la loi de 1905 pour avoir encore plus les mains libres pour nous islamiser. Les articles 4 et 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 permettraient, si on le voulait, d’interdire l’immigration musulmane. Le principe de précaution pourrait permettre d’interdire le halal que les Français mangent sans le savoir puisque l’étiquetage est interdit. Tout le monde sait que nos enfants, dans les cantines, mangent halal et que c’est dangereux, puisque les responsables des dites cantines ont ordre de faire cuire à température élevée les steaks hachés pour tuer l’éventuelle bactérie E. coli qui peut tuer. Mais nous assistons à une dérive multiculturaliste dans nos universités par exemple, facilitée par leur autonomie et les pouvoirs aberrants accordés à leurs présidents. Le Conseil d’Etat aux ordres du politique rend des décisions aberrantes contraires au droit comme l’autorisation du voile en école d’infirmiers, par exemple.
— Avez-vous des exemples concrets « d’islamisation » des manuels scolaires à nous donner ?
— Oui j’en donne un certain nombre dans mon livre, en montrant comment, entre les années 1950 et 2000, Charles Martel présenté au départ comme un héros ayant chassé une religion violente et sauvé la civilisation chrétienne devient peu à peu LE violent et disparaît de nos livres de classe. Nous en sommes même à parler de « migrants » pour parler des invasions barbares des premiers siècles de notre ère !
— Que faut-il dire à nos enfants ? Où faut-il les scolariser ? Faut-il abandonner l’école publique ?
— Le professeur de la laïque que je suis est obligé de vous dire, la mort dans l’âme, qu’il faut sauver nos enfants de l’école publique actuelle. Il faut rechercher les écoles privées. Celles sous contrat sont déjà pas mal contaminées, mais il en reste un certain nombre où nos enfants sont au moins protégés par un vestige de discipline… même s’il y a de plus en plus de petites musulmanes portant le voile. Il reste les écoles hors contrat mais rares et chères et… l’école à la maison avec les difficultés que l’on sait. Mais il appartient au minimum à tous les parents de rafler sur les brocantes les anciens manuels d’histoire, de littérature et même de maths, il leur reste à éduquer leurs enfants, à leur faire lire et voir notre histoire, notre patrimoine.
— Vous dites que nous devons dire non et nous battre « jusqu’au bout ». Qu’entendez-vous exactement par là ?
— Nous devons dire « non ». Protester. Oser affirmer nos choix, nos refus. Protester quand un professeur veut emmener ses élèves visiter une mosquée. Et si les protestations sont inefficaces, il faut garder l’enfant à la maison. L’instruction est obligatoire, pas les sorties scolaires. Une accompagnatrice voilée pour une sortie en primaire ? Il faut mobiliser voisins, grands-parents pour garder l’enfant à la maison, après avoir bien entendu protesté.
Quand un professeur de musique fait chanter à ses élèves de 5e un chant arabe, comme c’est le cas au collège Rabelais d’Escarène, il faut dire non, il faut médiatiser. Quand il y a des fêtes scolaires avec du halal, il faut dire non. Quand on ne parle plus de Noël, de sapin, de Pâques dans nos classes pour ne pas « froisser » les petits musulmans, il faut protester, dire non. Ecrivez, téléphonez, demandez des rendez-vous, dénoncez sur Twitter et sur Facebook, signalez aux sites de réinformation comme Résistance républicaine. Nous sommes nombreux, encore. Et l’expérience montre que l’on n’aime pas la publicité de ce genre et le scandale à l’Education nationale.
Propos recueillis par Caroline Parmentier
- L’islam à la conquête de l’école, 13 euros ; par chèque à l’ordre de Résistance républicaine, 101, avenue du Général Leclerc, 75685 Paris cedex 14. Ou par PayPal ou carte bancaire sur le site de Résistance républicaine.
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Extrait de: Source et auteur
J’ai moi-même été contrainte d’enlever mes enfants du collège ne supportant plus leur propagande et leur lavage de cerveau permanent.
Je suis obligée de leur faire l’école à la maison pour les préserver de tout embrigadement et ce n’est pas facile tous les jours.
Mais ça en vaut vraiment la peine. Non seulement ils ont fait beaucoup de progrès en orthographe, car je reviens aux fondamentaux(des dictées), mais de plus, je leur apprend la vraie histoire de France et non cette tambouille géopolitique.
Bien sûr, cela requiert beaucoup de patience , mais c’est de leur avenir dont il s’agit et je ne veux aucune ingérence de « l’éducation nationale »!
« les premiers traîtres s’appellent Jospin, Rocard, Lang… »
Exemple, en octobre 1989, à propos des foulards islamiques:
Jospin, alors ministre de l’Education Nationale, lança à la journaliste Elisabeth Chemla qui l’interrogeait sur l’intrusion dudit foulard sur la scène politique française:
– Et qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse que la France s’islamise »?
Quant on pense que l’épouse de Jospin, l’islamo-collabo patenté, est une philosophe qui n’a jamais manqué une occasion de proclamer haut et fort son féminisme, il y a de quoi se poser des questions sur ce couple!