Dans les universités suisses, les historiens font de la politique de gauche
L'historien suisse Oliver Zimmer est professeur à Oxford. Dans un entretien à la Basler Zeitung, il regrette que les séminaires d'histoire des universités suisses soient dominés par l'idéologie de gauche.
Traduction (Claude Haenggli) : Oliver Zimmer: Il y a quinze ans environ, j'ai participé à Londres à un séminaire au cours duquel débattirent l'historien vedette Eric Hobsbawn et mon directeur de thèse Anthony D.Smith. Bien qu'ils fussent d'avis différent dans des questions fondamentales, ils s'entendirent parfaitement et respectèrent leurs opinions divergentes. Pourquoi cela ne serait-il pas possible en Suisse ? La gauche, qui prétend détenir la vérité et représenter le sommet de l'esprit scientifique, domine les séminaires d'histoire depuis le milieu des années nonante. Beaucoup de professeurs considèrent l'histoire comme un combat politique avec d'autres armes. Les points de vue divergents ne bénéficient que d'une représentation marginale. On ne s'émeut pas du manque de diversité des opinions. C'est admis comme parfaitement normal.
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Claude Haenggli, 20.10.2017
L’enseigemment et la gauche… il y a tellement à dire. Le plus gros problème est que ça commence avant l’université. Déjà dans les écoles primaires et secondaires. Les profs montre très vite à nos enfants qu’il faut aider son prochain d’où qu’il vienne. De plus ils enseignent très tôt aux enfants à faire des grèves et revendiquer des choses que les futures adultes ne pourront jamais avoir dans leur vie hors du système fonctionarial.
Encore un exemple du mal que peut faire cette dictature de gauche à vomir. Bien sûr avec l’aprobation des ministres de l’instruction publique. Il feraient mieux de leur apprendre à réfléchir par eux même et la vie serait bien différente pour beaucoup d’entre nous. Merci les observateurs.ch.
La gauche est une maladie mentale et les universités occidentales (pas seulement suisses) sont bourrés de malades mentaux. En fait, certaines facultés (notamment, de philosophie) sont de véritables asiles psychiatriques.
Le systeme scolaire européen et bien sur swiss est a la base de la lobotomisation de notre civilisation, depuis 1945 il a été abandonner aux socialos-communistes, combien de dictateurs exotiques formatés en ces murs? Polpot, Ho chi min, etc…les partis dits bourgeois portent une responsabilité enorme dans cette lacheté!
Les historiens ont perdu toute ma considération depuis le Rapport Bergier concernant la Suisse lors de la seconde guerre mondiale.
Un exemple: Le caporal Fernand Demierre y a été explicitement qualifié de collaborateur du 3e Reich – alors qu’en réalité il avait été condamné par un tribunal militaire pour “collaboration avec une puissance étrangère” – nommément les forces alliées !!
Ce fait étant établi – il n’a pas été question de corriger le texte du rapport….
Une inversion de la réalité qui convenait mieux à certains milieux de gauche!…
Il n’y a pas que dans les universités suisses que la bien-pensance de gauche est obligatoire. Elle règne en maître dans toutes les universités occidentales, USA compris. Un professeur qui a des idées de droite et qui ose les exprimer est immédiatement ostracisé. CF Bruno Gollnisch qui a été exclu de l’université de Lyon III pour 5 ans en 2005.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2005/03/04/bruno-gollnisch-exclu-pour-cinq-ans-de-l-universite-lyon-iii_400399_3224.html
ils font ce qu’on leur dit de faire et ce pourquoi ils ont été formatés
Si seulement c’était juste l’histoire universitaire… C’est tout le système pédagogique suisse qui est infesté par le socialisme !!!
Les historiens, les plus grands menteurs de l’humanité après les politiciens, les journalistes, les banquiers et les avocats… Les historiens, s’ils veulent bosser, ont meilleur temps d’écrire la version des vainqueurs, un peu comme les journalistes…
On peut douter de tout, sauf de l’imperative nécessité d’être du côté de ceux qui ont le pognon 😉
En ceci, elle peut se comparer à l’islam: protection absolue de toute interférence extérieure pour pouvoir continuer d’exister: la chape de plomb et le dénigrement de tout ce qui ne va pas dans son sens..
Et éveiller le sens critique des étudiants, ces esprits éclairés s’en fichent ?