RTS, 11 septembre 2017, téléjournal de 19h30 présenté par Malika Nedir
A l’occasion, sans doute, du colloque du 11 septembre sur l’islamophobie (1, 2), un reportage de Pascal Sciboz et Mathieu Fournier nous relate qu’une étude européenne conclut que les musulmans en Suisse sont bien intégrés mais mal aimés, pas acceptés.
Le décor du tournage est à l’Université de Fribourg, Faculté de théologie, Centre islam et société (3), ce lieu sacrifié à leur dernier forcing pour nous imposer (4, 5) leur idéologie attardée et nocive.
Et toujours la même rengaine : les musulmans sont cible de discriminations.
D’abord, interview de cette chouchou tant exhibée par nos médias, Nida-Terrah Menajmi, alias Nidonite (6), en train de dessiner ses gribouillis à la noix, toujours très engagée pour la cause des musulmans, victimes de discrimination en Suisse.
Puis l’incontournable docteure en sociologie à l'université de Fribourg et fondamentaliste militante, Mallory Schneuwly Purdie, qui passe à la moulinette les nerfs des téléspectateurs : « Les musulmans sont bien intégrés en terme d’accès à l’éducation, scolarité, accès au marché de l’emploi, de la maîtrise de la langue.» Le rejet, c’est la face cachée, ils ne sont pas acceptés. Les Suisses sont les plus nombreux dans l’enquête européen à répondre qu’ils n’aimeraient pas avoir un musulman comme voisin de palier ou dans la famille.
Puis c’est le tour de Mme Martine Brunschwig-Graf : les gens mélangent le terrorisme « au plan international ou ailleurs » (sic) et le fait de rendre les musulmans responsables de quelque chose dont les musulmans vivant en Suisse ne sont absolument pas responsables.
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Madame Brunschwig-Graf, avez-vous déjà mesuré la quantité de haine absolue vis-à-vis les juifs que véhiculent les musulmans vivant sur notre sol ? C’est absolument généralisé parmi eux, dans toutes les couches sociales et toutes les origines. Le juif, c’est l’ennemi absolu, quelque chose d’infrahumain.
Quant aux musulmans qui ne sont pas « paisibles », on n’a plus le droit de les nommer. Les médias gomment encore trop souvent l’origine des musulmans criminels. Les attentats sont commis par des cas psychiatriques qui se sont auto-radicalisés devant l’internet. Le reportage déplore que la parole des Suisses se soit libérée sous l’anonymat d’internet ? Mais c’est tout ce qui a été laissé comme liberté au peuple, et encore....
Il n’y a pas de jour où nos médias ne la ramènent sur les revendications et les larmoiements des musulmans. Depuis 15 ans, nos statistiques parlent de 450'000 musulmans en Suisse alors qu’ils arrivent par milliers par le biais de l’asile ou de la libre circulation. Cette invasion est insupportable pour le peuple suisse. Parler d’overdose n’est pas suffisamment fort pour exprimer notre ras-le-bol.
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A la fin du reportage, Nida-Terrah Menajmi nous fait la leçon sur ce qui fait la beauté du foulard islamique, dont nous sommes trop stupides pour comprendre la signification personnelle, profonde et multiple.
Conclusion de la TSR : il faut plus de dialogue.
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Rassurez-vous, « l’artiste » bâchée, madame la papesse de la discrimination, madame la spécialiste de la religion de paix. Le peuple suisse a tout compris sur l’islam, il n’y a aucun problème d’amalgame. Vous avez simplement réussi, comme partout et toujours sur vos 1400 ans, par la terreur et la barbarie, à imposer la peur d’en parler librement.
La population suisse adore être prise pour des crétins finis par ces défenseurs de l’islam et elle hoche la tête en vous écoutant:
Mais oui, chez nous les musulmans sont tous de vrais agneaux (7). Mais oui, leur mentalité ne pose aucun problème. Mais oui, ce sont les Suisses qui ne sont pas assez accueillants, pas assez généreux, pas assez aimables...
La population suisse SAIT que nos prisons n’ont pas assez de place pour loger les délinquants, où les musulmans sont surreprésentés. Nous cédons chaque jour un peu plus de notre liberté, ils remplissent les services sociaux, vivent de notre travail, et font des rejetons sans limite. Nous sommes devenus leurs esclaves, nous les entretenons, nous subissons leur criminalité et nous sommes en train de disparaître car il ne nous reste plus la possibilité financière de faire des enfants.
C’est en abusant de la naïveté et de la gentillesse du peuple suisse que l’establishment est arrivé à imposer les musulmans chez nous.
La cohabitation avec les musulmans pose problème sur tout le globe terrestre. Il ne faut pas retourner la réalité et nous accuser d’intolérance. Il y a 52 pays musulmans qui pourraient accueillir les migrants musulmans. Ils se déchirent également entre eux mais ceci n’est pas notre souci.
Repartez, car le peuple suisse n’en peut plus. Nous avons payé, nous avons donné, et plus que de raison. Nous ne voulons pas sacrifier l’avenir de nos enfants, de notre pays, de notre civilisation.
(3) http://www3.unifr.ch/szig/fr/
(5) https://lesobservateurs.ch/2017/04/12/operation-intox-sur-le-voile-a-fribourg/
(6) https://lesobservateurs.ch/2017/04/12/nidonite-humoriste-hidjab-suis-quelquun-dexplosif/
https://lesobservateurs.ch/2017/09/10/le-matin-des-petits-suisses-de-lei-prennent-du-galon/
https://lesobservateurs.ch/2017/03/05/suisse-lombre-du-djihad-sur-les-centres-dasile/
https://lesobservateurs.ch/2016/06/17/djihadistes-partis-de-suisse-ont-augmente/
Cenator, 12 septembre 2017
Bien intégré ,encore une fois c`est du n`importe quoi ,des fillettes voilées ,et vous parlez d`une intégration ,mais cela ne tourne plus rond du tout dans ce pays.
le musulman aime se faire passer pour une victime,
c’est un pleurnichard et revenchard
il est toujours selon lui victime de
discrimination ( alors que c’est eux qui trop souvent discriminent les autres en les affublant de noms tel que mécréants , infidèles …)
de racisme ( et ce alors qu’il savent bien qu’ils ne font pas partie d’une race distincte)
et de rejet ( alors que ce sont eux qui vivent dans leur coins comme des troglodytes )
Qui dit intégré dit accepté. Apparemment, on ne craint pas les contradictions chez ces diminués du cerveau.
A moins que la norme du langage soit devenue celle de “1984” .
Du moment qu’ils sont bien intégrés je ne comprends pas où est le problème ou alors nous ment-on sur cette dite intégration ?
Si, comme l’affirmait le regretté Michel Audiard, les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît, à quoi reconnaît-on les traîtres ? Peut-être à leur appartenance à certains conseils d’administration.