Comment lutter contre l’immigration illégale ?

Comment lutter contre l’immigration illégale ?

 

En juillet 2017, je me promenais dans la rue piétonnière, le mall de Pearl street, à Boulder au Colorado. Parmi la foule de badauds, une manifestation attira mon attention : des portraits géants barrés du mot WANTED et sous-titrés du mot CRIMINALS trônaient sur le trottoir au regard de tous. Ces individus n’étaient ni de dangereux repris de justice, ni des prêcheurs de haine, ni des terroristes mais de simples militants servant la cause de … la circoncision !

 

Si de tels individus sont traités de criminels pour un «crime » de ce type, de quoi ne devrions-nous pas traiter nos immigrationnistes forcenés de ce côté-ci de l’Atlantique ? Il est temps de mettre face à leurs déclarations tous ces grands donneurs de leçon, notamment ceux qui ont publiquement fait une profession de foi d’aide personnelle aux migrants. Qu’ils expérimentent dans leur vie quotidienne ce que le vivre ensemble avec cette immigration représente !

 

Depuis quelque temps, on assiste en France à un double phénomène opposé : d’une part une véritable folie immigrationniste et d’autre part une résistance à ce phénomène qui se durcit de plus en plus. Dépourvus de bon sens et de toute logique saine, les immigrationnistes ne font qu’ahaner des slogans sur le vivre ensemble, l’accueil de l’autre, la richesse de l’apport migratoire … sans jamais répondre à la  question : de quel droit imposer cette aberration alors que le peuple n’en veut

manifestement pas ?

 

Ces immigrationnistes se permettent, sans aucun droit, d’empoisonner la vie des autres. Aujourd’hui, on sent que s’installe une opposition sans complexe, en particulier contre les décisions unilatérales des conseils municipaux. Si la pression s’exerce sur ces fauteurs de trouble, si l’on pourrit la vie de ces semeurs de sédition comme eux-mêmes pourrissent celle de leurs concitoyens, si l’on mène en groupe des actions publiques, manifestations devant les lieux de travail ou de résidence des immigrationnistes, visites impromptues, etc. les choses pourraient se passer autrement.

 

Le simple citoyen opposé à la frénésie immigrationniste qui se demande ce qu’il peut, lui, faire pour influer sur le déroulement de ce phénomène doit toujours se rappeler qu’il est du côté de la loi dans sa résistance à l’immigration illégale. Il lui faut d’abord identifier les immigrationnistes proches de lui (régionaux ou communaux) favorisant cette immigration. Les inconditionnels de l’immigration les plus en vue appartiennent essentiellement aux catégories suivantes :

- Les politiciens (membres du gouvernement et élus : députés, maires, sénateurs, etc.)

- Les journalistes par l’intermédiaire des médias (presse audio-visuelle et écrite)

- Les célébrités du monde du spectacle (chanteurs, acteurs, comédiens, écrivains, sportifs, etc.)

 

Une fois ces identifications accomplies, chacun peut ensuite appliquer, parmi les idées ci-dessous, les plus appropriées à sa situation :

 

  • Exiger un referendum national en toutes occasions sur la question migratoire, et des referendums locaux pour les décisions communales ; mettre en évidence cette revendication partout : sur les T-shirts, badges, pancartes, slogans, dans les réunions et les discours, dans les écrits, etc. Ne pas accepter un non comme réponse sans argumentation.
  • Diffuser (sur les réseaux sociaux, cercles d’amis et de connaissances, vitrines de magasins et boutiques de sympathisants, etc.) les photos et les coordonnées publiques professionnelles et personnelles des élus et des journalistes locaux (courrier électronique, adresse postale, téléphone, blog, etc.) afin que chacun puisse les contacter facilement pour imposer le débat localement.
  • Exercer une pression constante 1. sur les élus pour les décisions concernant leur circonscription ; 2. sur les journalistes immigrationnistes. Faire connaître les positions des uns et des autres, exiger d’eux une justification argumentée de leur position sur l’immigration et une implication financière personnelle exemplaire en cas d’immigrationnisme forcené.
  • Animer le débat en impliquant directement les promoteurs de l’immigration illégale d’un point de vue financier, en appelant à la création d’une « charte des devoirs des immigrationnistes » incluant des mesures comme : accès au logement gratuit des migrants illégaux dans les propriétés vides des immigrationnistes, participation financière automatique de ceux-ci à l’entretien de migrants illégaux au-delà d’un certain seuil de revenus ou de l’ISF, prise en charge complète d’une famille de migrants illégaux, etc.
  • Favoriser le vivre ensemble des migrants illégaux et de leurs sponsors immigrationnistes en diffusant les coordonnées personnelles et professionnelles de ces derniers auprès des migrants eux-mêmes, canaliser ces derniers vers les personnes (et leurs propriétés) qui ne parlent que de leur faire du bien (avec l’argent des autres). Cibler particulièrement les nantis possédant plusieurs propriétés (comme BHL qui, en juillet 2017, est en train de vendre une des ses propriétés pour six millions d’euros !).
  • Boycotter les produits et les spectacles des célébrités du sport et du show business qui se déclarent immigrationnistes, en particulier ceux qui vivent à l’étranger et se permettent, de leur résidence dorée, de donner des leçons de morale (Jannick Noah, Omar Sy, etc. Voir la liste des 66 artistes qui, avec Alex Lutz, ont signé une tribune en faveur des migrants et n’ont toujours apparemment rien donné en dépit de leurs promesses).
  • Résilier les abonnements aux medias qui divulguent de fausses nouvelles et affichent un parti-pris outrageant concernant l’immigration illégale. Et bien faire connaître les raisons de résiliation.
  • Financer les organismes qui luttent contre l’immigration sauvage (Defend Europe, Génération identitaire, etc.) ainsi que les médias alternatifs (TV Libertés, radio courtoisie, les Echos, Valeurs actuelles, Présent, etc.) et les sites de réinformation (Riposte laïque, Boulevard Voltaire, fdesouche, LesObservateurs.ch, les moutons enragés, le salon beige, Dreuz, etc.). Adhérer à des organisations de lutte contre l’immigration sauvage. Se rapprocher des partis politiques ou d’élus qui luttent contre l’immigration illégale.
  • S’engager en signant les pétitions contre l’immigration sur la toile (voir par exemple la toute récente pétition de Renaud Camus et de Karim Ouchikh intitulée « Stop invasion ». Faire connaître ces mouvements d’opinion et ces actions autour de soi.
  • Acheter et promouvoir les produits de ceux qui prennent position pour une immigration maîtrisée (le chanteur Aramos ; le groupe les Brigandes ; le chanteur italien Giuseppe Povia, etc.)

 

Aujourd’hui, les immigrationnistes, à partir d’une noble cause à l’origine, ont créé une situation incontrôlable aux conséquences erratiques et débridées qui constitue un casus belli à l’encontre de nombre de leurs concitoyens.

 

J’aimerais dire à toutes ces belles âmes immigrationnistes qu’il est certes beau d’avoir la main sur le cœur, mais la preuve de la vraie charité est quand on a le cœur sur la main.

 

 

Bertrand Hourcade, 19.8.2017

7 commentaires

  1. Posté par Tickle Rebecca le

    A propos d' »immigrationisme illégal, forcené, sauvage » et consort, je serais curieuse de voir comment l’auteur de cet article qualifierait les crimes néocolonialistes (contre l’humanité) pratiqués aujourd’hui en Afrique par des multinationales telles qu’Areva, Bolloré, Glencore, Total-Elf, Shell et tant d’autres. Ces crimes ne sont pas une invention de gauchistes hystériques et sont largement documentés dans la littérature ad hoc, donc consultables par tout citoyen.
    Pourquoi ne condamner que les conséquences visibles pour les uns sans jamais mentionner au moins certaines causes (toutes ne sont pas de la responsabilité de l’entreprenariat occidental d’aujourd’hui) qui concernent tout autant le citoyen lamda occidental, victimisé à outrance par certains immigrationnistes soi-disant légalistes.
    Pourquoi ne voit-on jamais un de ces citoyens-là protester contre les félicitations formulées par leur gouvernement à l’encontre de vainqueurs d’élections grossièrement truquées – souvent dans une violence totalement illégale -, dont le résultat est connu d’avance, – en tout cas depuis la modification unilatérale de la Constitution parfois des années auparavant -, et imposés par la force (intimidation, répression, tortures et assassinat, bref du pur non-droit) aux « électeurs »?
    Tant de responsabilités occidentales, en Afrique notamment, sont acceptées silencieusement par le citoyen occidental lamda, au nom d’une prédation effrénée pour parer à la survie politique de son gouvertement et socio-économique de son pays.
    Pourtant l’immigration que nous vivons aujourd’hui peut aussi être considéré comme le signal fort qu’une profonde remise en question à faire, plutôt que comme un signal de repli derrière des slogans suprémacistes et protectionnistes. Car ces voix-là ne font que prôner encore et toujours la justification d’un pouvoir de vie et de mort sur une partie du monde dont on extorque par tous les moyens les ressources naturelles et géo-stratégiques sans la moindre considération pour les populations locales.
    Les « immigrationnistes » dont parle l’auteur de façon méprisante ne font que réclamer la protection des droits humains les plus fondamentaux, que d’autres préfèrent ignorer et violer, tel que le droit à la vie et à la dignité, en ce qui concerne des événements qui ne sont que des conséquences.
    Et les élus sensés organiser la résistance contre l’immigration – et les immigrationnistes – ne sont pas encore assujettis à un régime autocratique de type nazi. Ils ne sauraient bafouer des droits dont certains figurent dans les lois fondamentales de la Nation qu’ils sont appelé à servir. Ce sont tous les électeurs, toutes opinions confondues, qui les choisissent, pas seulement les démagogues « anti-immigrationnistes » qui aiment favoriser par intérêt les droits humains à deux vitesses.
    Même si l’on s’accorde sur le fait qu’une immigration – soudaine en apparence – est un « danger » pour les pays de destination par son effet déséquilibrant en tout cas dans un premier temps, il est indispensable d’opter pour une vision élargie sur le monde pour trouver des solutions satisfaisantes, surtout sur le long terme.
    L’Occident ne peut pas continuer par intérêt économique à cautionner la violence socio-politique chez les uns, estimant que la valeur d’un être humain change naturellement d’un côté à l’autre de la planète, sans ensuite en assumer les conséquences.
    Aime Césaire écrit en 1955:
    « Une civilisation qui s’avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente.
    Une civilisation qui choisit de fermer les yeux à ses problèmes les plus cruciaux est une civilisation atteinte. »
    Rebecca Tickle

  2. Posté par B. Hourcade le

    Cher Aldo,
    Ce sont des centaines, des milliers, des millions de « petits » gestes semblables qui peuvent influer sur la marche du temps.

  3. Posté par aldo le

    Aujourd’hui, France Inter fait de la pub depuis quelques temps pour verser des fonds à une association qui va à la pêche aux migrants. Dans le même registre je reçois une grande enveloppe par la poste de MSF Médecins sans frontières, qui sous prétexte de me tauper m’envoie une carte du monde pas commandée. Retour à charge de l’expéditeur avec la mention refusé.

  4. Posté par Jiff le

    Malheureusement, tout ceci est à rapprocher de ce qui s’est récemment passé pour l’ingénieur de google qui s’est fait virer après un rapport (interne !) décrivant les inégalités diverses entre hommes et femmes; une fois la levée de bouclier du kandubien un peu calmée (et, comme d’habitude, absolument pas étayée par de quelconques arguments scientifiques), je ne sais plus quel canard US a fait intervenir 4 vrais scientifiques sur la question et les 4 ont déclaré que le papier était très bien documenté, tout à fait conforme aux connaissances actuelles et que, par conséquent, le rédacteur avait du beaucoup lire et se renseigner (silence radio de la part des détracteurs là-dessus, bien évidemment). Cet article posait une très bonne question finale, d’où mon parallèle: le monde n’est-il pas en train de basculer de la science vers le scientisme ?
    Car ce qui est décrit dans le présent article revient à la même chose de la part de ceux qui trahissent leur peuple: « faites-moi confiance ou bien vous êtes un salaud d’extrême-droite, etc »; rhétorique bien connue pour avoir été affûtée durant les années d’avant-guerre par le parti national-socialiste ainsi qu’utilisée par le débile de service (G.W.Bu$h: « vous-êtes avec nous ou contre nous ».)

    Cependant, la plupart des gens se trompent en taxant ces façons de faire de socialisme, car si on scrute les choses de très près, on s’aperçoit que ça n’est pas du côté historique Allemand qu’il faut aller chercher leurs racines, mais bien du côté Italien: c’est du pur fascisme à peine déguisé – et bien entendu, c’est encore et surtout, conformément à la doctrine, un excellent moyen de déposséder les citoyens du peu de pouvoir et de libertés qui leurs restaient- et d’ailleurs, le socialisme n’a jamais été que son précurseur légèrement atténué. Pour faire écho à ma phrase ci-avant et la compléter: « faites-moi confiance ou bien vous êtes un salaud d’extrême-droite et les juges vous contraidront à penser de la façon qu’il faut, la mienne », version longue et sensiblement plus perverse de: « se soumettre ou se démettre ».

    Alors, en plus de tous les excellents conseils par Bertrand Hourcade, n’oubliez surtout pas de leur mettre le nez dedans à chaque fois que l’occasion s’en présente, car au même titre qu’on nous serine les mêmes inepties depuis plusieurs années dans l’espoir que nous les intégrions, la répétition systématique finit par ouvrir les yeux de ceux qui ont un peu plus de mal que vous.

  5. Posté par pierre frankenhauser le

    Comme mesure supplémentaire, on pourrait également ajouter l’aide et l’encouragement à la formation professionnelle, en exportant notre modèle suisse de formation duale, afin de contribuer à développer l’économie africaine en n’y formant pas uniquement des cols blancs et des élites.

    Exemple d’initiative personnelle au Burkina Faso:
    https://www.laregion.ch/cree-cpnv-bis-burkina-faso/

    Exemple d’initiative étatique:
    http://www.bicweb.vd.ch/frame.aspx?pPage=/communique.aspx?pObjectID=626722

    Ainsi, au fil du temps, peut-être que le rêve européen des Africains deviendra un jour le rêve africain tout court, et que les contribuables européens n’auront enfin plus à payer pour entretenir les autres.

  6. Posté par Bussy le

    J’ajoute : ne plus faire de dons aux ONG immigrationnistes !
    Et viendra le moment où il faudra remettre en cause les subventions et charges diverses payées par l’Etat dans le cadre de l’immigration, étant entendu que les impôts doivent servir au bien commun, pas à détruire le cadre de vie de ceux qui triment dur pour les payer !

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