Election au gouvernement : La Suisse devrait prendre exemple sur la combativité politique des pays d’Europe orientale plutôt que de discuter du sexe des anges
Election d’un nouveau conseiller fédéral à la suite de la démission du PLR Didier Burkhalter.
L’enfumage bien-pensant sur le thème de la parité politique des sexes.
Pendant tout l’été nos médias tentent de nous conditionner avec un feuilleton qui consiste à nous imposer un agenda politique qui se résume à nous faire croire que l’essentiel de cette future élection qui aura lieu le 20 septembre 2017 se réduit à choisir entre les critères de sexe ou de région : faut-il une femme ou un tessinois (de la minorité italophone du canton du Tessin qui n’est plus représentée au Conseil fédéral depuis bientôt une vingtaine d’années.
Les médias sont tout sauf neutres dans cette affaire. L’unique candidat tessinois est plutôt « de droite » dans l’acception de la bien-pensance. La gauche, l’extrême gauche, les Verts (pastèques), les bien-pensants du PLR et du PDC ont en réalité un objectif semblable : éviter un candidat vraiment de droite. Donc on insiste pour dire qu’il faut une femme plutôt que l’homme désigné par le PLR tessinois à qui revient en principe, selon la formule magique, ce siège ; puisque c’est un PLR qui a démissionné.
Cela en sachant très bien qu’il n’y a en ce moment aucune femme clairement de droite qui pourrait faire l’affaire. Premier enfumage.
Pire, une grande partie des partis dits de droite se laissent déjà intimider et deviennent hésitants, voire approuvent cette manœuvre de leurs adversaires de gauche.
En réalité, ce qu’il nous faudrait c’est une élection basée sur d’autres critères : enfin une personnalité (le sexe n’étant absolument pas prioritaire) clairement de droite, conservatrice, patriote, susceptible de défendre inconditionnellement le modèle suisse original et historique et surtout osant s’imposer face à l’UE et aux organisations internationales totalement anti-démocratiques, dirigées souvent par des personnes qui ne respectent pas elles-mêmes les valeurs qu’elles devraient défendre, et qui en plus tentent de nous imposer une politique qui va souvent à l’encontre de nos intérêts et de nos valeurs ancestrales, historiques et politiques fondamentales.
Bref, il nous faut une personnalité qui sache s’opposer clairement au nouveau courant inter-parti « progressiste », bien-pensant, politiquement correct, partisan des « avancées » dites sociétales , même les plus folles, en matière de moeurs et de morale.
Précision capitale : une telle personnalité, conservatrice, incarnant les valeurs historiques constitutives de nos sociétés, désirant le rester et refusant de se soumettre au Zeitgeist des élites actuelles mondialisées faisant fi des souverainetés nationales, est souvent tout sauf bêtement réactionnaire, passéiste, « rance », nationaliste bornée, etc. Ces personnalités au caractère trempé savent mieux que les soumis à la mode intégrer les changements et s’adapter à ce qui paraît nécessaire et acceptable à tout pays qui a une identité et qui tient à la garder tout en étant prêt à vivre avec son époque et à intégrer ce qui est acceptable pour un pays qui veut continuer à vivre et à survivre dans le cadre de ses acquis originaux, toujours d’une grande richesse singulière. Cela veut dire par exemple être favorable à une Europe (et non à une UE autoritaire, voire totalitaire en puissance) des nations souveraines disposées évidemment à continuer à se coordonner avec des ensembles plus vastes dont elles font partie (nous sommes plus européens par nos valeurs et nos pratiques que les dirigeants non élus de l’UE), mais sans jamais se renier ni se soumettre comme des animaux partant à l’abattoir.
Nos ancêtres ont su faire face à des dangers bien plus grands sans jamais se soumettre comme sont prêts à le faire en ce moment certains membres de notre gouvernement. On pense évidemment et immédiatement à la socialiste Simonetta Sommaruga, qui n’a même pas juré fidélité à notre Constitution, seulement promis, une promesse qui semble valoir autant qu’un serment d’alcoolique. Elle représente l’exemple même de la soumission, voire de la trahison pure et simple de bien de nos valeurs essentielles, comme le crient tous les jours un nombre de plus en plus important de citoyens.
C’est un contrepoids de taille qu’il nous faut à ce genre de « responsables » politiques, peu importe que ce soit un homme ou une femme ou la région de provenance.
Cela permettrait aussi et enfin de rapprocher quelque peu nos autorités de la population qui bouillonne de révolte, un sentiment précisément de plus en plus exprimé en termes de trahison, ce qui est tout de même un terme fort et qui devrait sonner l’alarme, même pour les sourds. Le passage à des tensions encore imprévisibles nous guettent s’il n’y a pas prise en compte de cette immense insatisfaction et révolte rentrée.
Pendant ce temps on semble plutôt discuter du sexe des anges.
A propos des équilibres régionaux, je suis un fervent partisan de leur respect. Mais il y a d’autres régions qui n’ont pas eu de Conseiller fédéral du tout ou depuis très longtemps. En Suisse romande on ne semble même pas y penser. Oui à un Conseiller fédéral tessinois sous peu ou un peu plus tard mais n’oublions pas les autres encore plus démunis et depuis plus longtemps.
Finalement, oui à une personnalité qui ne tente pas d’atténuer, voire de cacher sa vision à la fois patriotique, conservatrice et ouverte, et inconditionnellement prête à défendre la Suisse dans cette période où la volonté de nous soumettre et de gommer nos traits fondamentaux les plus essentiels n’a jamais été aussi forte, envahissante et constante ; une personnalité qui ne passe donc pas son temps à tenter de gommer les aspects qui ne plaisent pas à la gauche et autres bien-pensants pour rejoindre au plus vite des autorités supranationales et se soumettre à des législations qui entraîneraient précisément la disparition de ce qui a fait et doit continuer à faire notre singularité, singularité qui n’empêche nullement une coordination, collaboration, voire l’insertion dans une unité plus large respectueuse des différentes singularités nationales.
Pour faire encore plus court, et plus imagé : il nous faut une autorité, une personnalité (plusieurs en fait) qui ressemble aux autorités de plusieurs pays d’Europe orientale, comme la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie, etc. qui, tout en étant membre de l’UE, contrairement à nous, défendent et luttent quotidiennement et inconditionnellement pour défendre et maintenir leurs spécificités, même en s’opposant à cette UE autoritaire et coupée des peuples. Ils méritent notre admiration.
Faut-il vraiment avoir connu le communisme et le nazisme pour se battre comme ces pays le font de manière exemplaire ? La question se pose quand on observe le peu de combativité de nos autorités et la disposition à se soumettre, désireuses même de limiter nos droits populaires historiques tant enviés dans le monde.
Je cherche toujours des noms de futurs conseiller fédéraux pouvant correspondre à un tel modèle, également ardemment désiré par une très large partie de la population, qu’il soit représenté par une femme ou un homme.
Uli Windisch, 16 août 2017
@ Unours, entierement d’accord, nous devons tout faire pour demolir ce systeme, nettoyer nos ecuries et repartir sur de nouvelles bases, notre principal ennemi est LE systeme, noyauté depuis des decennies par les mondialistes et maintenant en plus les islamos-collabos! Tant que les patriotes croiront que l’on peux encore inverser le destin par des initiatives ou elections, ce sera helas peine et energie perdue, y a qu’a voir les deux de l’udc a Berne….une honte!
Problème…la grande majotrité du peuple Suisse ne vous suis pas ! J’en veux pour preuve les choix des citoyens lors des élections et votations de ces dernières années qui, à une ou deux exceptions près, ne marquent pas un soutien majoritaire aux idées que vous défendez sur votre site.
Oskar for CF ! Un Valaisan, un poil plus à droite que Sa Majesté Couchepin, un poil plus drôle, vachement plus intelligent et un vent frais (une tornade ?) à la tête de ce pays.
“En 2013, les votants ont refusé l’élection du CF par le peuple à 76,3% …”
J’en étais et j’avoue que je me suis trompé. A l’époque, j’imaginais que le système actuel faisait partie de l’identité suisse.
Mais il faut aussi se méfier de la démocratie directe. Le jour où nous ne serons plus les plus nombreux, minoritaires face au groupe associé des gauchistes de souche et des allogènes naturalisés, on l’aura aussi “dans l’os” et cela très démocratiquement.
Non, la seule chose que nous devons espérer, c’est un effondrement du système.
Il est trop tard pour sauver ce système en Europe occidentale.
Si la Pologne ou la Hongrie peuvent mener une autre politique, c’est en raison de leur cohérence ethnique encore préservée.
En Europe, en Suisse, aucun politique visant un exécutif national, même de “notre bord”, n’osera jamais aborder la question ethnique qui est pourtant centrale: un avenir pour les enfants blancs d’Europe.
“Ne pas retenir quelque chose qui tombe”, comme disait Evola.
Au besoin accélérer l’effondrement, tout en préservant les forces vitales encore saines.
En 2013, les votants ont refusé l’élection du CF par le peuple à 76,3% …