Le président du Niger, Mahamadou Issoufou, s’est inquiété de la démographie galopante dans son pays, Etat très pauvre qui détient le plus fort taux de natalité au monde avec 7,6 enfants par femme.
« Au rythme actuel, la population de notre pays doublerait en moins de 18 ans et pourrait atteindre plus de 40 millions en 2035 et environ 75 millions en 2050. Le bon sens nous commande de réfléchir dès à présent à ces horizons », a prévenu le président mercredi soir dans un message à l’occasion du 57ème anniversaire de l’indépendance du Niger.
La croissance démographique du Niger est une des plus fortes au monde (3,9% par an), selon les statistiques officielles. Un niveau que ce pays, abonné aux sécheresses et aux crises de malnutrition, ne pourra pas supporter.
« Si nous n’arrivons pas à éduquer, former, soigner notre jeunesse et à lui offrir des opportunités d’emploi », elle « sera un handicap, pire, une menace (pour) la cohésion sociale et la prospérité », a mis en garde M. Issoufou.
Courrier International via Fdesouche.com
Pas trop grave en réalité pour le Niger: s’ils sont trop nombreux et que le pays ne peut ni les nourrir, ni les éduquer, ils viendront en Europe où parait-il , on a besoin de main-d’oeuvre ! Ils viendront donc nous enrichir financièrement et culturellement !Paroles de multiculturalistes !
@monde tombé sur la tête
Tout médecin a le devoir de tout entreprendre pour soigner les gens et donc essayer de sauver des vies. Cependant, il est certain qu’il faut tout entreprendre pour limiter la procréation en distribuant gratuitement des contraceptifs, des pilules du lendemain et amender les familles qui ont plus de deux enfants, tout en récompensant celles qui limitent les naissances. Les pays riches devraient financer cette forme d’aide sur place, car sous sommes tous concernés par la surpopulation.
Cette natalité correspond à un environnement difficile et précaire avec un taux élevé de mortalité infantile – mais évidement que lorsque les « humanitaires » auto-proclamés se croyants sauveurs du monde comme « Médecins du monde » s’acharnent à sauver la vie de chaque pré-mature ou bébé malade, sans accompagner cette mesure d’une campagne de contrôle de la natalité, voire à prodiguer des FIV à des femmes qui ont déjà 12 enfants, le déséquilibre ne tarde pas d’arriver, et la catastrophe avec.