L'UDC est déçue par la décision peu courageuse de la commission de politique médiatique du Conseil national. Celle-ci a en effet décidé de soumettre l'initiative "NoBillag" au peuple sans contreprojet et avec la recommandation de la rejeter. Toutes les propositions de réduire les redevances Billag ont été refusées: la commission s'entête à vouloir maintenir le statu quo et ne veut pas économiser un centime. Face à cette décision, l'UDC a déposé un contreprojet qui demande la réduction de moitié de la redevance radio/TV. Le Parlement sera ainsi confronté à une alternative dont il pourra débattre durant la prochaine session d'automne.
Le Conseil national et le Conseil des Etats débattent depuis des mois du service public. Le rapport du Conseil fédéral sur ce thème est arrivé à la conclusion que le mandat de service public de la SSR devait être revu et précisé. Même le Conseil fédéral estime que la SSR doit se distinguer plus clairement des producteurs commerciaux et renoncer parfois à des prestations qui sont déjà produites par des entreprises médiatiques privées. Cette discussion n'a cependant pas eu de résultat jusqu'ici: tous les projets de réforme ont été refusés, tout comme les contreprojets à l'initiative NoBillag présentés aujourd'hui.L'initiative NoBillag interdit le prélèvement de redevances de réception et exige de surcroît que le marché médiatique soit organisé de manière totalement privée. A l'opposé de ce projet, la SSR, le Conseil fédéral, le Conseil des Etats et la majorité de la commission du Conseil national veulent maintenir le statu quo et refusent toute économie concernant la SSR. Le fait que même la proposition de limiter les moyens financiers de la SSR à 1,1 milliard de francs par an, ce qui équivaut à une économie de 8,5% par rapport à aujourd'hui, ait été refusée en dit long sur l'entêtement des partisans de la SSR. Un effort qui va de soi pour n'importe quel PME semble tout à coup impossible pour la SSR.
L'UDC se bat pour les intérêts des consommateurs et des payeurs de la redevance radio/TV. Il n'est pas tolérable que dans le tournant technologique actuel, qui permet à internet d'offrir une diversité médiatique plus grande que jamais, des chaînes de télévision et de radio étatiques touchent de plus en plus de moyens financiers. Cette politique accroît les distorsions sur le marché médiatique au détriment des producteurs privés. L'UDC est déçue d'être le seul parti de droite à défendre une position libérale en politique médiatique en s'engageant pour une baisse de la redevance Billag.
La proposition de la minorité de réduire de moitié la redevance radio/TV donne au Conseil national la chance de trouver l'automne prochain un compromis entre la suppression de la redevance et la règlementation actuelle. Si cette idée échoue aussi, l'UDC devra se demander sérieusement si le soutien à l'initiative NoBillag n'est finalement pas la seule manière de s'engager en faveur d'un paysage médiatique libéral et divers. |
Ceux qui proposent des demi-mesures ont peur d’être boycottés totalement. Mais c’est déjà le cas. La propagande médiatique choisi prioritairement des socialo-islmo-fascistes que ce soit chez Tamedia-Pravda ou à la TSR. La méthode est toujours la même, favoriser l’expression des dynamiteurs de la Suisse, aux bonnes heures et valoriser les médiocres de l’opposition en toutes circonstances. Finalement le moteur du fascisme c’est l’argent de la publicité qui est un véritable racket à l’achat, et peut être aussi une cause de la crise économique. NO-BILLAG c’est un acte de libération contre l’arbitraire et le totalitarisme anti-Suisse au service de l’U€RSS de Bruxelles, mais payé par tous. Or dans toute l’Europe les courants politiques de gauche représentent moins de 30% des électeurs. S’ils s’approprient le pouvoir en permanence c’est par la corruption, les compromissions avec le faux-culs de la droite molle style PDC, le noyautage de ces médias pervers et des tribunaux pour maintenir un semblant de légitimité.
Du matin au soir, la TSR empiffre les payants contraints de séries amerloques débiles (style Top Models, les Feux de l’amour) ou perverses/malsaines dont les “héros” sont des criminels, des assassins, des psychopathes. Tout ceci mâtiné de propagande multiraciale et féministe stéréotypée jusqu’au grotesque. Les “infos” quant à elles se résument à un formatage en règles des “cochons de payants” selon les règles de l’ingénierie sociale. Avec un présentateur “star” devenu d’une arrogance sans pareille et de journalistes – fonctionnaires à qui l’on attribue le droit d’influencer les masses dans le sens souhaité par la Nomenklatura franc-maçonne sans aucune retenue. En ce qui concerne la RSR, on a affaire au même bourrage de crâne politiquement correct, donc systématiquement orienté vers la bienpensance socialiste, à peu près 24h sur 24. Conclusion : No billag !
https://www.tvlibertes.com/
Payer la Billag pour un continu de téléfilms américains ? Regardez sur la télé tessinoise le bouche trou grotesque « tic tac » avant le JT… Payer pour ça ??? Et le JT politiquement orienté ? Payer pour ça ?
Je préfère contribuer à TV Libertés.
NO BILLAG un point c’est tout!
C’est un monopole d’Etat , il devrait disparaître .on devrait déduire les revenus de la publicité.
L’UDC fait fausse route ou fait les choses à moitié encore une fois.
L UDC doit soutenir NO BILLAG intégralement.Ne pas refaire l’erreur Ecopop !!!
A force de demi compromis et demi mesure , les électeurs se fatiguent….
NO BILLAG. Couper les vivres à ces collabos gauchistes. Rien d’autres.
OUI : Appliquer la devise, faire mieux avec moins ! Nous ne voulons pas une TV d’ Etat.Encore moins une TV donneuse de leçons politiques.
On ne veut pas une réduction de billag, on veut la disparition pure et simple de l’USSR !
Chaque année, payer cette facture m’arrache les coui.les. Devoir financer cette propagande est digne d’un état totalitaire. Devoir être obligé de payer pour “contempler” les mêmes abrutis gauchiste-socialiste invités par la TSR est tout simplement scandaleux, sans compter la dégoulinante “information” pro-parasites. D’ailleurs, je ne regarde quasi jamais la sacro-saint télé, je suis trop vite écoeuré. Payer la moitié? C’est déjà trop, mais c’est un pas vers la liberté.
No Billag !