(image d'illustration: Vendeurs à la sauvette à Paris).
Le Parisien rapporte que dans le quartier parisien de la Chapelle-Pajol, les femmes, harcelées par les hommes (dealers, migrants, passeurs) n’ont plus le droit de circuler, entrer dans les bars, les restaurants, porter les vêtements qu’elles souhaitent…
Harcèlement de rue, sexisme, injures et parfois même violences... Comme le raconte Le Parisien, les habitantes du quartier La Chapelle-Pajol, quartier du nord de la capitale, se mobilisent pour dénoncer les agressions dont elles sont victimes depuis plusieurs mois. Un quartier qui devient ingérable pour les forces de l'ordre selon Nicolas, auditeur des Grandes Gueules et ancien policier, qui travaille dans le quartier.
"Quand je vais au commissariat du 18ème, c’est incroyable, je me prépare. Avant j‘y allais en moto mais je me sentais trop vulnérable. Les femmes qui passent en jupe là-bas, c’est de la folie, du suicide. La première solution serait que Madame Hidalgo prenne conscience de ce qui se passe là-bas. On va la mettre en jupe tailleur et lui faire traverser le quartier. Je fais 1m80, 90 kilos mais quand je vais là-bas, je me prépare physiquement, logistiquement et psychologiquement. La voiture est verrouillée, je ne laisse rien dépasser parce qu’ils brisent les vitres pour voler".
Pour cet ancien policier, le quartier est devenu tellement dangereux, qu’il interdit à ses amis de s’y rendre. "J’ai voyagé dans des ghettos à Saint-Domingue, et quand j’ai des amis qui viennent à Paris, je leur dis de ne pas aller là-bas. Les trottoirs sont bondés. Il y a un feu au bout de la rue avec une file d’attente de 400 mètres, et des gens zigzags entre les voitures pour faire du repérage. Une fois, un type est passé quatre fois devant et derrière ma voiture. C’est un chasseur, ils sont sur un territoire et ils chassent. C’est pire qu’une zone de non-droit, ce n’est plus la République. Les policiers? Si vous mettez une patrouille et qu’ils sont pris à partie par une centaine de personnes, ils sont morts".
C’est un récit dont on a peine à imaginer qu’il se déroule en France, en 2017. Le Parisien raconte ce jeudi le quotidien des femmes dans le quartier de la Chapelle-Pajol, situé à cheval sur le Xe et le XVIIIe arrondissement. Aux alentours de ces deux rues de la capitale, les femmes n’ont plus le droit de vivre. Les cafés, les bars, les restaurants, leur sont interdits. Le port de robes, de jupes, de pantalons serrés, prohibés. Elles ne peuvent marcher 200 mètres sans subir les injures et les menaces de groupes d’hommes agressifs, migrants, dealers, passeurs, vendeurs à la sauvette…
Violée à 80 ans, elle reste cloitrée chez elle, terrifiée
Le quotidien interroge les femmes confrontées à ce quotidien invivable : “Ce sont des injures, des réflexions incessantes. L’ambiance est angoissante, au point de devoir modifier notre itinéraire, notre tenue vestimentaire. Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles” explique l’une d’entre elle. “Le simple fait de circuler est devenu problématique. Le café, en bas de chez moi, un bistrot autrefois sympa, s’est transformé en repaire exclusivement masculin et en permanence bondé : j’ai droit à mon lot de remarques lorsque je passe devant, d’autant plus qu’ils boivent énormément : il y a quelques jours, le simple fait de me mettre à ma fenêtre a déclenché un flot d’injures, et j’ai dû m’enfermer dans mon appartement. Il y a quelque temps encore, j’empruntais le boulevard de la Chapelle depuis Stalingrad, même tard le soir… C’est impensable aujourd’hui” poursuit une autre, qui habite là depuis quinze ans et qui a donc vécu cette terrifiante transformation.
Cette peur ressentie par les habitantes n’est pas de la paranoïa. Le stade de l’injure est souvent dépassé. Comme cette dame de 80 ans, dont le journal explique qu’elle a été violée en rentrant dans son immeuble, et qu’elle n’ose désormais plus en sortir. Ou cette mère apeurée qui raconte son calvaire : “Ces dernières semaines, j’ai été prise au milieu d’une bagarre de vendeurs à la sauvette. Affolée, je me suis mise à crier, et deux d’entre eux ont sorti des couteaux pour me menacer. J’ai cru que ma dernière heure était arrivée. Et ça fait des mois que ma fille de 12 ans ne va plus seule au collège, ni nulle part dans le quartier, d’ailleurs”. Le Parisien poursuit en expliquant que ces femmes savent que porter plainte n’aurait aucune chance de faire bouger les choses. Elles n’ont donc pas d’autre solution que d’organiser une “marche expiatoire”, dans les lieux où elles n’ont pas le droit de cité. En espérant que le rapport qu’elles remettront à la mairie d’arrondissement sera lu et pris en compte.
Seul le délinquant intégré à la culture du lieu transgresse la loi, car, au fond de lui-même, il la considère comme légitime. Ce qui le différencie de tous ces autres résidents qui sèment la pagaille: ceux-ci ne se situent pas dans la transgression de la loi pour la simple raison qu’ils ne la légitiment pas. C’est pourquoi il est aisé de remettre à l’ordre les citoyens qui le représentent et donc obtempèrent, et impossible de cadrer tous ceux qui se réfèrent à d’autres logiciels qui les justifient et qu’ils justifient.
C’est donc bien une confrontation entre divers systèmes “culturels” qui n’a d’issue que la déflagration, et une menace pour la bonne marche de l’économie du pays. J’ai mis entre guillemets le mot culturel, on comprendra pourquoi.
On oublie que l’économie repose profondément sur la composante civilisationnelle d’une population, n’en déplaise à Macron. Et lorsque cette cohérence éclate par la diversité des modes culturels et des codes, c’est tout qui s’effondre.
Le logo Swissmade n’a pas attendu les réglementations de Bruxelles pour générer des produits de qualité; mais la rigueur et la fiabilité de sa population.
https://www.youtube.com/watch?v=uUNKdTLQr3A
Il a bien eu tout le monde le macron… Genre je ne dis rien tant que je ne suis pas élu… Comme cela les gens n’y comprennent rien et vont voter sans savoir ce qui les attend. Je n’ai pas menti… J’ai rien dit…. Et maintenant, il rigole bien l’Emmanuel. Il est où? Ah oui en Afrique pour aller chercher la mafia africaine
Et dire que Paris espère sérieusement accueillir les JO en 2024. Macaron devra déployer des trésors d’ingéniosité et de baratin s’il compte avoir une chance de convaincre le CIO. J’imagine déjà une jolie gymnaste toute fine ou une championne de tir à l’arc se déplacer dans la jungle parisienne en 2024. Concernant les championnats du monde hockey sur glace qui se tiennent actuellement dans la capitale, ces scarabées doivent rencontrer plus de difficultés face à des groupes de hockeyeurs de 100 kg puissants et combattifs.
Vous l’avez tous et toutes bien profond….. vous avez élu l’autre crétin eh bien profitez en bien parce que ça fait que de commencer et la suite dans quelques mois ce sera le repas principal…. encore plus profond…. et qui durera bien des années, pour ensuite passer au dessert non sans auparavant les années fromage. Je me marre de vous lire, vous ne bougerez jamais, car vous êtes bien trop lâches.
Parisien de naissance d’avant 1968 , j’attends l’age de la retraite avec impatience pour quitter définitivement la ville qui ma vue naitre mais qui ne me verra pas mourir a regret. Cette ville , je dirais plutôt le cloaque nauséabond me dégoute un peux plus chaque jour qui passe ; l’insécurité , la saleté , la prolifération des rats , l’indifférence des politiques envers la population dite autochtone ; pendant qu’eux ce gobergent , font la nouba en évitant soigneusement les quartiers populaires, font des promesses sans font a qui veux bien les écouter , le petit peuple lui doit subir sans mots dire faute de police , faute d’une justice aux ordres des politiques quand elle ne frais pas avec eux .
Une Marche exploratoire!!!!
Ah oui….et tout de suite….toutes les femmes socialistes et Hidalgo en tête…en jupes et incognito…..et avec quelques bijoux….
Bande de lâches….perso…Paris j’oublie…..Paris va devenir un ghetto Mondial de la délinquance….et les bobos vont fuir les premiers tout en excusant cette racaille….Une folie!!!!
Et que fera Macron et son staff…ils iront encore jouer au foot….entourés de caméra…pour prouver qu’il y fait bon vivre……on hallucine!!!!!
tout ça a cause de traitres depuis 40 ans qui ont defait la france voila ou nous en sommes si rien n’est fait politiquement pour regler ça,la seule solution nous allons vers une guerre civile
Connaissant bien Paris, je peux témoigner que le décor et l’ambiance ont clairement changé dans bien des quartiers “Hors circuit grand tourisme”. J’ai tellement aimé cette ville… Je ne sais pas si j’y retournerai.
CE N’EST PAS DE L’IMMIGRATION. Ce serait trop beau comme terme.
C’est de l’importation de la crapulerie, la voyouserie, la mafia de l’Afrique musulmane.
DE QUEL DROIT SONT-ILS CHEZ NOUS ?
Je hais cette bien pensance qui dans sa tour d’ivoire abandonne les gens honnêtes et travailleurs à ces hordes sauvages.
Cette bien pensance va forcer les français “libanisés” à devoir constituer des groupes d’auto-défense comme ce fut le cas au LIBAN.
Je propose à Mme MARLENE SHIAPPA secrétaire d’état à l’égalité de se promener dans cet endroit, dans la même tenue que celle qu’elle porte dans le reportage “non à la messe à la télévision, oui au voile”.
Et si elle a une mamie, qu’elle ose la laisser se promener seule quelques secondes dans ce quartier (avec quelques gardes du corps pas trop loin) pour voir comment ces voyous peuvent mépriser les femmes de TOUS AGES.
Après nous pourrons voir si “son respect pour le voile” peut se maintenir dans sa gentille conscience.
MERCI la gauche au pouvoir depuis le 2eme guerre mondiale …quelle CATASTROPHE , les blanches ne savent plus sortir de chez elles ,elles doivent déménagé pour survivre dans cette jungle imposé par les traitres de l Elysée…
Tout d’abord, ça sent la stigmatisation et l’islamophobie. Le cran et la ldh doivent saisir leurs amis de la XVIIe chambre correctionnelle. Pas de pitié.
Ensuite, c’est un quartier qui vote à gauche et qui a donc le vivre-ensemble et les valeurs de gauche : de quoi se plaignent-ils ? Enfin, il faut bien que Nicolas Bedos et ses amis se fournissent en drogue quelque part (cf le témoignage de Tristane Banon), ils vont aller où sinon les pauvres chéris ?
voila le résultat du bien pensant vivre ensemble de la gauche depuis delanoé , des quartiers qui sont maintenant devenue des zones ou seul les hommes du continent Africain on le droit de vie ou de mort sur le sexe féminin ou de tout autres communauté que la leur, ou sortir seul le soir si vous n’êtes pas de cette communauté peux vous valoir des problèmes .
Quand on nous dit : ” il faudra changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus….” d’après histoire love story “les corps indécents”. C’est bien le cas. Et ce n’est qu’un début !