L'auteur présumé de l'attentat meurtrier au camion bélier perpétré le 7 avril dernier à Stockholm serait passé aux aveux selon le quotidien Expressen. D'origine ouzbèke, l'homme aurait déclaré aux enquêteurs être «satisfait de ce qu'[il a] fait» et avoir «accompli ce qu'[il] voul[ait] accomplir».
L'homme, dont la presse suédoise rapporte qu'il s’appellerait Rakhmat Akilov, serait un ouvrier en situation illégale âgé de 39 ans. Interrogé par les policiers, il aurait reconnu avoir été au volant du camion de livraison volé qui a foncé dans la foule et fauché une vingtaine de passants sur l'artère piétonne principale de Stockholm. Il aurait également avoué avoir effectué un repérage quelques temps auparavant.
La police suédoise a également annoncé que l'individu affichait «des sympathies pour des organisations extrémistes, dont l'État islamique», sans toutefois préciser si l'attaque en question avait été revendiquée. Selon Jan Evensson, un haut responsable de la police suédoise, le suspect, s'il est reconnu coupable, aurait de fortes chances de «passer le reste de sa vie derrière les barreaux».
Le meurtrier présumé a été arrêté le 7 avril au soir à Märsta, une petite ville située à 40 kilomètres au nord de Stockholm. Les enquêteurs ont rapidement confirmé qu'il s'agissait d'un Ouzbek de 39 ans, débouté de sa demande de permis de séjour présentée en 2014. «L'Office des migrations l'a débouté en juin 2016 et a émis un avis d'expulsion : en décembre 2016, l'Office des migrations l'a informé qu'il avait quatre semaines pour quitter le pays», a révélé un responsable de la police, Jonas Hysing, au cours d'une conférence de presse. «En février 2017, la police a été saisie pour faire exécuter la décision parce qu'il n'était plus localisable», a-t-il ajouté. Depuis, l'homme était introuvable.
L'attaque terroriste perpétrée le 7 avril dans la capitale suédoise a fait quatre morts et 15 blessés, dont plusieurs enfants. Après avoir encastré le poids-lourd dans la façade d'un grand magasin, l'homme s'était engouffré dans la station de métro la plus proche, profitant de la panique pour se fondre dans la foule.
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Extrait de: Source et auteur
Donc quand on apprend à un migrant qu’il n’est plus accepté sur le territoire du pays d’accueil, il est préférable de LE PLACER DANS UN ENDROIT DE RETENTION et de le reconduire aussi vite que possible chez lui.
Donc de ne pas le laisser dans la nature puisque le risque de voir germer en lui des idées de destruction est possible, surtout s’il a fréquenté des sites islmo-fachistes.
L’autre problème est l’immense frustration que cette religion sème dans l’esprit de ses adeptes, en leur donnant un goût du pouvoir (de détruire) alors qu’ils sont dans la vie de simples gens dont les droits sont bien plus limités que ceux du citoyen européen. EDUCATION A LA TOUTE PUISSANCE et ECRASEMENT DU DROIT A LA PENSEE. Cela crée des fous, s’ils ont vécu dans des milieux très imprégnés par la religion et s’ils fréquentent des sites dangereux. Il suffit donc d’une contrariété, UN REFUS DU PAYS D’ACCUEIL, pour que la bombe humaine explose et détruise.
L’Europe doit donc être très prudente et prendre des mesures de sécurité quand elle refuse à un migrant de rester sur son territoire.
Il va bénéficier d’un asile provisoire de quelques années!
“En décembre 2016, l’Office des migrations l’a informé qu’il avait quatre semaines pour quitter le pays” En d’autres termes, ayez la gentillesse de partir puisque nous vous le demandons poliment. On est entre gens civilisés ou quoi?