Comment gérer la crise en syrie ? Cette question occupera une place importante dans le quinquennat à venir. Alors que Donald Trump a lancé une offensive sur une base militaire en Syrie, le futur président français devra avoir une véritable stratégie diplomatique. Tour d’horizon des candidats.
Quelle posture adopter face à la guerre en Syrie ? Les accusations d’utilisation d’armes chimiques par Bachar el Assad et le bombardement de la base militaire proche de Homs par des missiles de croisière américains replacent la question au coeur de la politique française. Pour autant, cette question est complexe. D’ailleurs en 5 ans, François Hollande n’y a jamais répondu clairement. Mais les candidats à la présidentielle, eux, doivent se prononcer. Dans ce cadre, on peut considérer que deux camps s’opposent.
Nouvelle attaque meurtrière en Europe ! Ce vendredi, un camion a renversé plusieurs piétons à Stockholm. Selon les premiers communiqués, au moins 3 personnes sont mortes et plusieurs autres blessées. Les services de sécurité affirment qu’il s’agit d’un attentat. Un individu aurait été arrêté.
Au sommaire de ce journal :
International / Les Etats-Unis frappent la Syrie
International / La Libye entre divisions et chaos
Économie / La ville de Laguiole récupère sa marque
Politique / La fin du cumul des mandat
L’actualité en bref.
D’une part, les souverainistes, de l’autre, les interventionnistes. Chacune des deux positions peut être, certes, nuancée, mais tout est basé sur l’un des deux principes. L’autre facteur concerne la conception des relations avec la Russie, engagée sur le théâtre syrien contre le terrorisme, quel qu’il soit.
Le favori des médias, héritier de François Hollande, (ILLU ) Emmanuel Macron, plaide pour une intervention internationale sur le sol syrien. Comme à son habitude, le banquier tente de ménager la chèvre et le chou. Il réclame ainsi des sanctions exemplaires à l’encontre de Bachar el Assad s’il est avéré qu’il est responsable de l’utilisation d’armes chimiques, et ce, en affirmant que le départ du président syrien ne peut être considéré comme un préalable à toute négociation. Un grand écart rhétorique impossible à appliquer. Dans son gloubiboulga diplomatique, Macron souhaite que la France revienne dans le jeu pour discuter des transitions politiques possibles. Marqué par son passé d’affairiste, il souhaite également rétablir de meilleures relations avec la Russie… En bref, Macron ne propose pas véritablement de vision de politique étrangère mais n’exclut rien non plus… Pratique ! Son ancien collègue, Benoît Hamon tient à peu près les mêmes propos. Il estime qu’il faut discuter avec Bachar El Assad, pour mieux en finir avec son pouvoir… Les deux candidats issus de la “socialie” considèrent que Bachar el Assad ne peut plus être une solution pour un retour à la paix en Syrie. C’est d’ailleurs désormais la position majoritaire chez les candidats à la présidentielle française. Du côté de Jean-Luc Mélenchon, on est favorable à un rapprochement avec la Russie pour lutter contre le terrorisme mais on se garde de se prononcer clairement quant au président syrien, estimant que c’est au peuple syrien de choisir son destin.
Nicolas Dupont-Aignan s’affiche plus concret. Pour lui, la priorité est de venger les morts du Bataclan et de l’attentat de Nice, dont Bachar El Assad n’est pas responsable. Le président de Debout la France a déploré la réaction de Donald Trump qu’il juge trop rapide, puisqu’aucune preuve de la provenance des armes chimiques n’avait pour l’heure été apportée. Nicolas Dupont-Aignan plaide pour une alliance avec la Russie pour éliminer Daech et éviter de reproduire les erreurs commises en Libye. Du côté de Marine Le Pen, on souhaite également un rapprochement avec Vladimir Poutine, que la présidente du Front National a d’ailleurs rencontré il y a quelques semaines. Pour sceller ce rapprochement, les sanctions prononcées à l’égard de la Russie par l’Union Européenne devraient être levées. La candidate patriote explique également depuis longtemps que la France doit discuter Bachar El Assad, seule solution viable pour la Syrie. Une solution qui n’a pas fait l’unanimité lors du voyage de Marine Le Pen au Liban. Sur ce dossier, François Fillon apparaît moins constant. Alors qu’il avait longtemps plaidé pour des discussions avec Bachar El Assad dans le cadre d’une puissante initiative diplomatique européenne, il décide désormais de prendre un tournant à 180 degrés… un peu à la manière de Donald Trump. En effet, après avoir eu des remontrances dans les rangs centristes de son parti, François Fillon a dû revoir ses positions. Comme pour donner quelques gages et faire taire la bronca, il a déclaré à plusieurs reprises que la Russie était un pays dangereux. Toutefois, il estime qu’il faut discuter avec les Russes, les Iraniens et les Turcs… mais désormais, pour trouver un moyen d’éliminer Bachar el Assad… Il refuse en revanche toute intervention occidentale… précisant que cela n’a pas été une bonne solution en Irak… un exemple plus commode à manier que celui de la Libye quand il était premier ministre de Nicolas Sarkozy.
Et François Fillon justement, était en meeting à Strasbourg jeudi soir… Une réunion dont le candidat va se souvenir… Après Manuel Valls et la gifle de Lamballe, après Emmanuel Macron et l’oeuf du Salon de l’agriculture, le troisième épisode de la série “Fais toi un politique” est arrivé… avec Fillon et le jet de farine… Une opération visiblement préméditée puisque l’individu portait un t-shirt des jeunes avec Fillon pour s’approcher du candidat facilement…
Cerise sur le gâteau, l’agresseur, placé en garde à vue avec un possible complice, serait fiché S… et reviendrait d’Afghanistan. Mais le service police-justice de France Info précise que cela n’a rien à voir avec la mouvance islamiste…Pour autant, son petit plaisir serait de voyager sur les terrains de guerre…
Heureusement, François Fillon avait un costume de rechange et le meeting de Strasbourg a pu se tenir sans encombre. Il est revenu sur l’agression avec ironie et humour.
Le candidat les Républicains peut se consoler avec une nouvelle démonstration de soutien de la part de l’ancien président de la République. En effet, dans une longue lettre publiée sur sa page Facebook (ILLU Facebook Sarkozy sur NAS), Nicolas Sarkozy exhorte à soutenir François Fillon… comme pour rappeler au bercail les brebis égarées après les différentes affaires du candidat. L’ancien chef de l’Etat affirme que Fillon est la seule solution pour redresser la France et l’alternance dont elle a besoin… considérant Marine Le Pen et Emmanuel Macron comme deux aventures sans issue, fin de citation.
Le banquier, de son côté, était à l’honneur jeudi soir dans l’émission politique. Face à David Pujadas et Léa Salamé, l’ancien banquier devait préciser son programme… sans grande réussite. Légèrement raillé par les journalistes sur ses approximations, Macron n’a pas pour autant levé les ambiguïtés… toutefois, les petites attaques ont permis de tempérer la connivence apparente de la classe médiatique avec le poulain de François Hollande. Avec l’économiste François Lenglet, Macron a pu faire montre de ses talents de fiscaliste… De quoi comprendre pourquoi sa déclaration de patrimoine est si modeste. Confronté à un chauffeur de VTC, le père de l’uberisation est resté droit dans ses bottes… L’invité surprise, le réalisateur césarisé François Ruffin, a ensuite voulu bousculer le loup de la finance en dénonçant le sort des ouvriers de l’usine Whirpool d’Amiens qui luttent contre la délocalisation de leur entreprise en Pologne… Mais un reportage de France 2, diffusion en amont dans l’émission avec des syndicalistes de Vivarte, le groupe notamment propriétaire de La Halle aux chaussures, s’était attardé sur un Macron humain, compréhensif, mais réaliste… La dénonciation du capitalisme sauvage de Ruffin a donc fait un demi flop.
Bruno Retailleau, proche de François Fillon était également invité pour porter la contradiction au jeune banquier. Le sénateur de la Vendée a insisté sur la ligne toute tracée entre François Hollande et Macron… niant l’idée qu’il serait un candidat du renouveau… le comparant au passage aux bécassines, volant en zig zag… un coup à gauche, un coup à droite.
Et juste avant de se quitter, un dernier point sur les sondages… qui valent ce qu’ils valent… L’institut Odoxa vient de publier une nouvelle étude. Emmanuel Macron arrive en tête avec 23,5 %, juste devant Marine Le Pen à 23 %… Le plus étonnant arrive ensuite avec François Fillon et Jean-Luc Mélenchon au coude à coude… Ils sont respectivement à 18,5 % et 18 %. En 5e position, Benoît Hamon est à 9 %.
Du côté des études de tendance sur le net de Filteris… Les résultats sont différents. Marine Le Pen est en tête avec 23,30 %, devant François Fillon 22,72. Emmanuel Macron est juste derrière avec 22,09 % et Jean-Luc Mélenchon est cette fois distancé par le trio avec 17,51 %. Hamon est toujours sous les 10 %, il poursuit sa baisse pour atteindre 7,83 %… A noter que les “petits” candidats gagnent tous les jours quelques points… sauf Jacques Cheminade.
1) International / Les Etats-Unis frappent la Syrie
Moins de 24 heures après avoir dénoncé la prétendue “attaque chimique” de l’armée de Bachar Al-Assad, Donald Trump a mis ses menaces à exécution et a frappé une base militaire de l’armée régulière syrienne tuant au passage des civils dont des enfants. Dans la lignée de ses prédécesseurs, le président américain fait dans l’interventionnisme et prouve que le monde n’a pas franchement changé depuis son arrivée à la Maison Blanche…
Donald Trump frappe la Syrie ! Le président américain a mis à exécution ses menaces contre Damas. Jeudi, les forces armées américaines ont tiré 59 missiles sur une base aérienne du gouvernorat d’Homs faisant au moins 4 morts parmi les soldats syriens mais aussi 9 civils dont des enfants, provoquant donc l’effet inverse du but visé. La base attaquée a été presque entièrement détruite.
Le président américain a lancé son attaque sans mandat de l’ONU renouant avec la tradition interventionniste de ses prédécesseurs et se cachant derrière la “sécurité nationale”.
Préserver la “sécurité nationale” en attaquant l’armée régulière syrienne contre le terrorisme islamique, le calcul peut paraître approximatif d’autant que l’Etat syrien a toujours lutté contre le terrorisme. Les raisons du bombardement américain sont à chercher du côté des alliés de Washington. La Turquie a salué cette attaque tout comme l’Arabie Saoudite et Israël… En France, le président François Hollande, favorable à une intervention contre la Syrie de Bachar Al Assad depuis 2013, se félicite des bombardements américains.
… dans le cadre des Nations Unies si c’est possible… et si ce n’est pas possible, les Etats-Unis feront sans, comme pour le bombardement de jeudi. Cet épisode met une nouvelle fois en relief l’inutilité de l’ONU. De son côté la Russie, alliée du président Bachar Al Assad, a condamné ces frappes.
Moscou a d’ores et déjà demandé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations Unies. Reste à savoir si Donald Trump entend se servir de la prétendue attaque chimique pour légitimer une guerre contre la Syrie ou si le bombardement américain n’est qu’une simple démonstration de force pour affirmer la force étatsunienne.
Une chose est sûre, les attentes démesurément enthousiastes à l’égard de Donald Trump ont déjà été partiellement déçues. Pour ceux qui s’attendaient à un bouleversement géopolitique, rien de tel, les Etats-Unis sont toujours bien accrochés à leurs alliances avec l’Arabie Saoudite, la Turquie et Israël …
2) International / La Libye entre divisions et chaos
Le pouvoir libyen attise les convoitises ! Alors que l’accord de Tunis prévoyait l’installation d’un gouvernement d’union nationale, plusieurs factions luttent afin de récupérer le pouvoir. Le général Haftar a profité de la défaite de l’Etat Islamique mais la ville de Misrata résiste.
La Libye en plein chaos ! Alors que l’accord de Tunis, signé en décembre 2015, devait installer un gouvernement d’union nationale avec à sa tête un premier ministre, la situation a bien évolué. En effet, plusieurs factions réclament le pouvoir, à l’image du général Khalifa Haftar qui a profité de la défaite de l’Etat Islamique en Libye pour s’emparer du croissant pétrolier libyen. Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, nous résume la situation actuelle.
Alliée historique du gouvernement d’union nationale et opposée au général Haftar, la ville de Misrata représente un enjeu primordial afin d’obtenir une stabilité libyenne.
Cependant, l’ONU, qui avait dirigé l’accord de Tunis, souhaite également s’exprimer dans cette affaire. Mais selon Bernard Lugan, l’organisation fait fausse route.
Des représentants du monde arabe, d’Afrique, d’Europe et des Nations Unies se sont réunis le 18 mars afin de trouver une solution. Les émissaires ont une nouvelle fois apporté leur soutien au gouvernement d’union nationale.
3) Économie / La ville de Laguiole récupère sa marque
Dans la bataille du pot de terre contre le pot de fer, pour une fois, le pot de terre a remporté une victoire. La ville de Laguiole, dans l’Aveyron, a récupéré le droit d’utiliser son nom, qui avait été déposé par un homme d’affaires équivoque. Retour sur l’affaire, Natasha Koenigsberg.
C’est l’histoire d’un petit village de 1300 habitants dont le nom est connu mondialement pour ses couteaux… depuis le XIXe siècle, on fabriquait en effet à Laguiole, dans l’Aveyron, des couteaux dont la marque de fabrique était la fameuse abeille sur le manche… Même si dans les faits, elle n’est apparue qu’au début du XXe siècle. En 1993, un homme d’affaires du Val-de-Marne, Gilbert Szajner, réussit un coup de maître… qui est aussi un coup de Jarnac : il dépose la marque commerciale Laguiole, non seulement pour tout ce qui a trait à la coutellerie, mais aussi pour labelliser des objets de décoration d’intérieur, ou encore du linge de maison.
En somme, il capitalise sur la notoriété de Laguiole et de ses couteaux, de la fameuse abeille qui en est devenue le symbole pour faire du business plantant un couteau dans le dos de la Forge de Laguiole qui a relancé la production localement en 1987. L’entreprise se voit aussitôt interdite du droit d’utiliser le nom de la ville de Laguiole et son symbole, l’abeille, ce qui devrait pourtant en toute logique, être son seul apanage… Commence alors une bataille juridique épique avec dans le rôle du pot de terre, la petite commune de Laguiole, aux moyens forcément limités, seule habilitée à agir en droit pour défendre l’utilisation de son nom… et dans le pot de fer donc, l’entrepreneur val-de-marnais, qui a entre temps lancé une production massive de produits à l’effigie de Laguiole, dont des gammes complètes de couverts, production bien évidemment délocalisée en Chine. Il monétise également l’utilisation de la marque en vendant des licences à tout va.
Finalement, c’est la Cour de Justice de l’Union Européenne qui vient de rétablir dans ses droits Laguiole, après des décennies de bataille judiciaire. La marque commerciale Laguiole est annulée, tout au moins pour tout ce qui a trait à la coutellerie et aux arts de la table… La justice française avait déjà donné raison en cassation au village de Laguiole, mais l’entrepreneur indélicat a simplement utilisé la justice européenne pour gagner du temps. Reste que le droit est ce qu’il est : la justice a aussi estimé que Laguiole était devenu un nom commun, synonyme de couteau… Gilbert Szajner pourra donc continuer à fabriquer des couteaux Laguiole, mais ne pourra plus empêcher les Forges de Laguiole de le faire aussi… elle ajoute, pour se distinguer, la mention “authentique”, ou véritable couteau de Laguiole. La procédure engagée par la commune de Laguiole pour pratiques commerciales et dépôts de marque frauduleux est elle, toujours pendante devant la cour de cassation, elle devrait aboutir cette année… La commune espère pouvoir interdire à l’homme d’affaires d’utiliser son nom, pour vendre des produits prétendument “de Laguiole” sur la planète entière.
4) Politique / La fin du cumul des mandats
Le cumul des mandats, c’est terminé ! La loi entrée en vigueur le 31 mars dernier interdit aux parlementaires d’exercer toute fonction exécutive locale. Le texte prendra effet à partir des élections législatives de juin.
Les fonctions exécutives locales interdites aux parlementaires. Il a fallu trois ans pour que la loi, promulguée en février 2014, devienne effective. Le cumul des mandats était pourtant assez habituel chez les élus.
En 2012, sur les 577 députés, 476 étaient “cumulards”. Ils ne sont aujourd’hui plus que 134. En juin prochain lors des législatives, il faudra donc choisir. Au moins 110 députés devraient ne plus retourner au Palais Bourbon pour cette raison.
Depuis l’entrée en vigueur de la loi le 31 mars dernier, un député, un sénateur et un eurodéputé ne peuvent plus être président d’un conseil régional, départemental ou même
maire. Ils auront toutefois le droit d’avoir un mandat non exécutif local comme conseiller régional ou départemental.Il y a toutefois des exceptions : les mandats intercommunaux ne sont pas pris en compte. Un parlementaire peut donc être conseiller d’agglomération, s’il est déjà conseiller municipal. Il peut également cumuler un deuxième mandat local à celui de conseiller municipal s’il exerce celui-ci dans une commune de moins de 1 000 habitants.
Pour les élus qui ne sont pas parlementaires, il n’y a pas de changement. Deux mandats au maximum, interdiction d’être chef de deux exécutifs différents et de cumuler des mandats de même nature.
Le député Les Républicains Hervé Mariton nous explique pourquoi il s’oppose à cette réforme. A l’opposée, Lionel Tardy est l’un des 5 députés Les Républicains avoir voté “pour” l’interdiction.
Et justement, parmi les candidats à l’élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan et Emmanuel Macron annoncent vouloir réduire le nombre de députés à 385. Jacques Cheminade opte pour 400. De son côté, François Fillon propose un référendum pour réduire le nombre de parlementaires à 400 députés et 200 sénateurs contre 348 actuellement.
Marine Le Pen souhaite pour sa part voir le nombre de député réduit à 300 et le nombre de sénateurs à 200 !
5) L’actualité en bref
Le bilan s’alourdit après l’attentat de Londres. Jeudi, plus de deux semaines après le drame, une jeune femme roumaine de 31 ans est décédée à l’hôpital des suites de ses blessures. Son décès porte à 5 le nombre de personnes tuées lors de cette attaque terroriste.
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Les chantiers navals de Saint-Nazaire ne sont plus français. C’est l’annonce qu’a fait le gouvernement jeudi. Les chantiers STX France de Loire-Atlantique passent sous pavillon italien. L’Etat, qui conserve 33 % du groupe, détient toujours un droit de véto…
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Fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim dans le Haut-Rhin ! Le conseil d’administration d’EDF a voté la fermeture jeudi soir. Une fermeture qui ne prendra effet qu’en 2019. Toutefois, selon le ministre de l’environnement, le décret sera signé avant la fin du quinquennat…
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La France condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme ! Paris était mise en cause pour avoir obligé les personnes transgenres à subir une intervention stérilisante pour obtenir un changement d’état civil. La CEDH estime qu’une telle pratique va à l’encontre du droit au respect de la vie privée.
Cet article International / Les Etats-Unis frappent la Syrie – Journal du vendredi 7 avril 2017 est apparu en premier sur TVLibertés - 1er media de Réinformation de France.
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