Qui pour le Valais ?
Une fois n'est pas coutume. Normalement, SwissGuns ne fait pas de politique, mais cette fois, devant le risque de voir nos ennemis acharnés s'imposer en Valais, il faut rappeler quelques petites choses.
L'un des candidats encore en liste fait partie de ces gens. Le socialiste Stéphane Rossini avait fait campagne en faveur de la fameuse initiative contre la violence des armes, heureusement balayée par le peuple, le 13 février 2011.
A l'inverse, un autre candidat toujours dans la course: Oskar Freysinger. Il y a 4 ans, la conseillère d'Etat en charge de la sécurité, Esther Waeber Kalbermatten (socialiste et également candidate) avait décrété une variante personnelle de la loi fédérale sur les armes: désormais, en Valais, une arme seulement par permis d'achat, au lieu des trois autorisées par la LArm.
Quelques jours à peine après son élection, Oskar Freysinger était intervenu: la loi, c'est la loi. Elle prévoit 3 armes par permis ? Le Valais n'a pas à se distinguer en violant une loi fédérale. Et il a aussitôt réinstauré la règle un permis-3 armes, malgré l'opposition de certains membres de la police cantonale.
Autre particularité valaisanne: la direction de Justice et police avait décrété que tout demandeur de permis d'armes devait présenter un certificat de bonne mœurs et se présenter personnellement devant les autorités, pour que celles-ci puissent se rendre compte de visu des mœurs du requérant.
Alerté, le nouveau conseiller d'Etat Freysinger a également fait sauter cet idiotisme.
Alors aujourd'hui, quel bulletin avez-vous l'intention de glisser dans l'urne aux 13 étoiles ? Celui qui fera passer au gouvernement deux de nos ennemis avérés... ou celui qui permettra à notre défenseur infatigable de continuer à nous épauler ?
Réfléchissez, Valaisans !
Frank Leutenegger, SwissGuns, 9 mars 2017
Il pouvait bien militer à hauts cris lors de l’émission infrarouge, lors de la votation contre la violence des armes, M. Rossini ! Un vrai politicien de gauche, faites comme je dis et ne dites pas comme je fais. Cette loi, ainsi que la toute proche directive européenne sur les armes ne porteront préjudice qu’aux tireurs de loisir, tireurs sportifs et collectionneurs. Donc ce monsieur veut nous déposséder des armes que nous utilisons pour tirer sur des cibles en carton, mais de son côté, cela ne le gêne aucunement d’ôter le vie à des animaux, en famille. Cela m’apparaît comme un bel exemple d’hypocrisie voire de duplicité.
Référence : http://www.chassenature.ch/du-national-a-la-chasse-au-chamois/
C’est tout réfléchi. Voter et faites voter Freysinger !
qDe toutes façon vu l’avenir très incertain en Suisse et en Europe, la subermersion par l’immigration, la vague galopante de violence et d’insécurité qui ne va aller qu’en augmentant, les suisses n’auront d’autre choix que d’entrer dans l’illégalité à savoir s’armer au marché noir puisque les politiques sont incapables d’assurer la sécurité de leur concitoyens. Mieux vaut être dans l’illégalité et n’avoir aucun permis de port d’armes et en posséder une sur soi plutôt u’attendre le prochain déséquilibré ou Allah Akhbar venir vous trouer la peau avec un couteau, une hâche, une kalach, un cutter ou autre joyeuseté. Faites votre choix…
Heureusement que vous ne faites pas de politique alors….
Ah ces salauds de flics qui demandent à ce que l’on ne puisse pas vendre des armes à n’importe qui…ils y connaissent rien aux armes et à leur utilité…. Ils y sont jamais confronté c’est bien connu.
Malheureusement les Valaisans ne connaissent pas votre site! Et l’issue du scrutin est trés incertaine !
Swissguns a bien raison. Votons pour Freysinger et l’histoire de notre patrie.
Machiavel a écrit en 1833: «gli Svizzeri sono armatissimi e liberissimi» (les Suisses sont les plus armés et les plus libres). Ne l’oublions pas et soyons fiers de nos traditions, de nos vertus et de nos armes de service à domicile ou mieux sur nous. Tell dans « Wilhelm Tell » de Schiller a dit: « Celui qui veut se frayer un chemin a travers la vie doit avoir une arme pour la défense et pour l’attaque.” … « Le bras me manque quand l’arme me manque. »