JT du jeudi 26 janvier 2017 – Sécurité / Le contrôle au faciès légal

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Voici les titres de l’actualité de ce jeudi 26 janvier 2017 :

1) Sécurité / Le contrôle au faciès légal

2) Société / Le mensonge bientôt hors la loi

3) Finances / Le désastre de l’Etat actionnaire

4) International / Grèce : l’échec Tsipras

5) L’actualité en bref

 

Cap sur l’Elysée !

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Point de non retour pour le Parti Socialiste. Lors de l’ultime débat, Benoît Hamon et Manuel Valls ont exposé leur “programme” respectif laissant apparaître une fracture béante au sein du Parti Socialiste. Deux gauches irréconciliables débattaient mercredi et les aspirations d’unité pour se resserrer derrière le candidat élu dimanche prochain relèvent de plus en plus de l’utopie.

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Tout les oppose. Seule leur condition d’apparatchik socialiste les rapproche. Mercredi Benoît Hamon et Manuel Valls s’affrontaient pour la dernière fois avant le second tour de la Belle Alliance Populaire. Devant 5,5 millions de téléspectateurs, soit 3 millions de moins que pour le débat final entre Alain Juppé et François Fillon, les deux candidats de gauche incarnaient à eux deux l’explosion du parti de la rue de Solférino. D’un côté, Manuel Valls tentait de défendre un bilan calamiteux, distillant au passage ses propositions sociales démocrates, de l’autre Benoît Hamon, promettant des cadeaux sociaux à qui veut l’entendre, sans jamais parvenir à justifier les financements.

Malgré cette utopie irréalisable, Hamon a surpris et semblait plus convaincant que son adversaire, pourtant davantage rompu à l’exercice. Fréquemment attaqué pour son manque de charisme, Benoît Hamon voulait convaincre et il est d’ailleurs parvenu à persuader 61 % des téléspectateurs, contre seulement 37 % pour Manuel Valls, des chiffres laissant présager la tournure future du Parti Socialiste.

En réalité, Manuel Valls est crédible quand il se tait, Benoît Hamon convainc quand il parle… car pour enrober ses dispendieuses propositions, il s’y entend.

Le débat a permis d’oublier les incertitudes sur le scrutin du premier tour de la primaire… dont les chiffres définitifs étaient tombés quelques dizaines de minutes avant l’émission. Selon les résultats de la Haute autorité de la primaire – qui valent ce qu’ils valent – plus d’1,6 millions de personnes se seraient exprimées au 1er tour de la primaire. Les 350 000 votes ajoutés dans la soirée de dimanche ont donc bien été comptabilisés… à croire qu’ils existaient vraiment. Le résultat final permet d’atteindre l’objectif du million et demi en dessous duquel les socialistes n’auraient pu faire bonne figure.

Pour expliquer les cafouillages, des bureaux de votes auraient été annulés et des résultats fusionnés… D’ailleurs, alors que les organisateurs avaient annoncé 7530 bureaux de vote, seuls 7208 auraient véritablement existé…

Bref, si les résultats définitifs validés par la primaire sont désormais connus, la certitude quant à l’exactitude des chiffres n’est toujours pas au rendez-vous. Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France Insoumise a d’ailleurs déclaré qu’il s’agissait d’un trucage de masse.

A trois jours du 2e tour de la Belle Alliance, l’enjeu n’est plus vraiment de désigner le candidat socialiste à l’élection présidentielle sinon de décider de l’avenir du PS. Un avenir compromis qui pourrait finir, après la perfusion médiatique entretenue par la primaire, dans un gouffre sans retour.

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Fillon au coeur de la polémique. Après les révélations du Canard Enchaîné sur la rémunération de son épouse comme assistante parlementaire, le candidat les Républicains est au coeur de la tourmente… Un coup dur qu’il faudra dépasser pour ne pas anéantir ses efforts de campagne.

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François Fillon ne faiblit pas, lance le couplet égalité homme/femme, et continue de plaider sa bonne foi. Son entourage répète en chœur que les preuves attestant du travail fourni par Pénélope Fillon ne vont pas tarder. En effet, une enquête préliminaire a été lancée dès mercredi pour faire toute la lumière sur cette affaire. La très grande rapidité avec laquelle la justice s’est saisie de la polémique alerte toutefois sur les véritables raisons de l’affaire. Manœuvres politiques pures et simples ou dénonciations sincères…le mystère reste entier pour le moment et les opposants politiques le savent bien… Ils en profitent pour tirer à boulet rouge.

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Pour l’heure, aucune preuve n’a donc été fournie et la mayonnaise monte. Les médias se sont donc emparés de la polémique, et s’interrogent en cœur sur la nécessité d’une réforme pour interdire aux élus d’employer des membres de leur famille. Car bien entendu, le cas Pénélope Fillon, fictif ou non, n’est pas isolé. En 2014, une enquête avait révélé que 52 épouses, 28 fils et 32 filles de députés étaient rémunérés par l’Assemblée Nationale… Soit plus de 20 %… Une pratique abusive bel et bien répandue chez nos chères élites…

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Et conscient de sa position difficile dans l’affaire déjà renommé Pénélope Gate par les medias, François Fillon sera sur TF1 ce jeudi soir pour tenter de s’expliquer. S’il n’est pas convaincant, beaucoup de cartes pourraient être rebattues.

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Loin des querelles politiques, il y a aussi des réalités à affronter. C’est le cas de cette France périphérique décrite par Christophe Guilluy de plus en plus en difficulté économique. Charles Beigbeder, cofondateur de l’Avant-garde a publié une tribune dans le Figaro pour redonner de l’éclat au tissu économique de ces régions oubliées. C’est notre rubrique porte-Voix

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Et voilà, c’est le moment de se quitter… jusqu’à demain. Tout de suite, retrouvez le reste de l’actualité avec Pierre Bergerault. A demain, bonsoir.

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Merci Elise ! Et maintenant, retour sur les titres de l’actualité !

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Sécurité / Le contrôle au faciès légal

Le contrôle au faciès est légal ! C’est en tout cas, le sens de la décision rendue mardi par le Conseil Constitutionnel. Plusieurs associations militant pour les droits des étrangers avaient sollicité l’institution afin de mettre fin à ces pratiques jugées discriminatoires. Le Conseil Constitutionnel émet toutefois quelques réserves.Thibault Bastide

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Le Conseil constitutionnel s’est prononcé et le contrôle au faciès n’est pas illégal ! Les dispositions encadrant les contrôles d’identité ont été jugés conformes par l’institution présidée par Laurent Fabius. Elle a tout de même émis des réserves d’interprétations, ainsi les sages invitent les magistrats à un strict contrôle de la légalité des contrôles d’identité. Dans un élan de bonté, le Conseil constitutionnel a rappelé que les bons usages des réquisitions permettant les contrôles doivent être limités dans le temps. Pour faire simple, la loi est bonne mais la pratique est mauvaise et trop souvent utilisée.

Même si ces réserves d’interprétations ont été déposées, il s’agit tout de même d’un véritable pied de nez aux associations qui avaient sollicité le Conseil Constitutionnel. En effet, le Syndicat des avocats de France et plusieurs associations de défense des droits des étrangers avaient demandé à l’institution de mettre fin à ces pratiques qu’elles qualifient de discriminations raciales. La décision du Conseil a donc un goût amer pour ceux qui attendaient une censure totale des textes. Pourtant, le 9 novembre dernier, la Cour de cassation, plus haute juridiction de l’ordre judiciaire, leur avait donné un espoir en condamnant l’Etat pour des contrôles d’identité “au faciès”, des contrôles qualifiés de “faute lourde” engageant la responsabilité de l’Etat. Mais ce parfum de victoire s’est arrêté mardi suite à la décision du Conseil Constitutionnel. Ce verdict pourrait maintenant déboucher sur plusieurs recours contre les contrôles d’identité. Désormais les associations s’appuient sur un rapport du défenseur des droits publié il y a quelques jours qui abonde à ce sens. Il indique que les jeunes hommes perçus comme noirs ou arabes ont une probabilité 20 fois plus élevée que les autres d’être contrôlés. Cette étude n’a pas pesé dans la décision du Conseil Constitutionnel qui devra simplement mieux justifier la raison de ces contrôles.

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Société / Le mensonge bientôt hors la loi

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Peut-on mentir devant un tribunal ? Ce qui est normalement interdit pour les témoins pourrait bientôt le devenir aussi pour les prévenus. Une proposition de loi en ce sens va être examinée prochainement au Sénat. Enquête Natasha Koenigsberg

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Les amateurs de séries ou de films américains connaissent par cœur cette phrase prononcée par les policiers au moment de l’interpellation :”vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous”… Ce principe, pourtant de droit anglo-saxon, est aussi désormais la règle en France… Depuis 2011, un prévenu a le droit de garder le silence y compris lors de son procès. Seulement voilà : des sénateurs ont estimé que cela pouvait empêcher la justice de faire son travail. Ils ont donc déposé une proposition de loi visant à contraindre un prévenu à prêter serment lors de son procès… l’obligeant de facto à dire la vérité.

A défaut, s’il ment, il sera condamné pour parjure, en plus de l’éventuelle condamnation pour les faits qui lui sont reprochés.

Si une telle proposition de loi venait à être adoptée, un prévenu n’aurait donc d’autre choix, théorique, que de se taire, ou de dire “rien que la vérité, toute la vérité”, lors de son procès, ce qui pourrait le conduire à témoigner contre lui-même. C’est pourtant contraire à la convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme, qui s’applique aussi à la France… Mentir, ou mentir par omission est reconnu comme faisant partie des moyens de défense lors d’un procès… à charge pour l’accusation de démontrer qu’il y a eu mensonge afin de faire éclater malgré tout la vérité. Aujourd’hui dans le monde, seuls les systèmes judiciaires des Etats totalitaires contraignent des prévenus ou des accusés à dire la vérité, même si cela peut les faire condamner.

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Finances / Le désastre de l’Etat actionnaire

L’Etat actionnaire, boulet des entreprises ! Mercredi, la Cour des comptes a publié un rapport choc pointant l’incapacité de l’Etat à gérer correctement de son portefeuille d’actions. Floriane Jeannin

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“carences persistantes”, “contradictions entre les objectifs”, “l’Etat continue souvent de confondre tutelle et actionnariat”… voilà pêle mêle comment la Cour des comptes perçoit l’Etat actionnaire. Son portefeuille d’actions était évalué fin 2015 à 100 milliards d’euros, l’un des plus élevés des pays de l’OCDE. La Cour des comptes le juge “peu mobile et dispersé”. La preuve, ses sociétés côtées en bourse ont dévissé de 30 % entre 2010 et 2016 quand dans le même temps, celles du CAC 40 ont progressé de 30 %. EDF en est un bel exemple. La décision idéologique de fermer la centrale de Fessenheim est évidemment à l’opposée des besoins de l’énergéticien. Dans le nucléaire, Areva ne déroge pas au constat de nullité de l’Etat en matière de gestion. Bilan de son action, les pertes cumulées atteignent 9,5 milliards d’euros. Les fonctionnaires de l’Agence des participations de l’Etat ont bien tenté de tirer la sonnette d’alarme mais les pouvoirs publics sont restés sourds. Début 2016, le gouvernement s’était engagé à investir 7 milliards dans les deux groupes mais pour la Cour, l’injection de capitaux est arrivée trop “tardivement”. Concernant Alstom et la fermeture de son site de Belfort, les sages de la rue Cambon dénoncent les conflits d’objectifs. Chez le constructeur automobile Renault, l’État n’a réussi “ni à préparer la succession de l’actuel PDG, ni à limiter sensiblement sa rémunération”.

Pour sortir de l’ornière, la Cour des comptes propose donc de baisser le niveau des taux de participation dans certaines entreprises afin de ne conserver que le niveau minimum pour que l’Etat garde son influence ou de procéder à des privatisations. Face aux recommandations, Bercy assure lui aussi avoir voulu limiter sa participation là où elle est nécessaire affirmant que tout privatiser d’un coup aurait conduit à une catastrophe industrielle. Les contribuables peuvent donc se rassurer, ils ont évité le pire.

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International / Grèce : l’échec Tsipras

Alors que le Parti Socialiste est sur le point d’élire Benoît Hamon, un candidat d’extrême gauche, en Grèce, cela fait déjà 2 ans qu’un tel individu est aux manettes. Résultat : malgré une croissance en hausse, le pays a complètement perdu son indépendance économique. Les politiques de matraquage fiscales sont stériles et le premier ministre Alexis Tsipras impuissant. Olivier Frèrejacques

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Janvier 2015, les extrêmes gauches européennes sont en liesse, la Grèce voit la victoire du jeune candidat gauchiste du mouvement Syriza Alexis Tsipras. Deux ans plus tard c’est la désillusion, avec plus de 23 % de chômeurs les grecques déchantent et voient leur pays encore un peu plus sous le joug de pouvoirs étrangers. En deux ans le pays a multiplié les plans d’aide financière infantilisants et Athènes s’est engagé à consulter systématiquement ses créanciers pour utiliser ses excédents.

Et des excédents il y en a ! Avec la mise en place de mesures impopulaires d’austérité imposées par le Fonds Monétaire International et l’Union Européenne, la Grèce a dégagé en 2016 un excédent budgétaire de 3 milliards d’euros par rapport à l’objectif initial. Une somme que le premier ministre Tsipras à utiliser sous forme de primes pour certains retraités et en suspension de hausse de la TVA sur certains territoires. Une redistribution qui lui a valu des remontrances de la part de ses créanciers. Très vite son ministre des finances Euclide Tsakolotos s’en est platement excusé auprès des créanciers donneurs d’ordre.

De mesures impopulaires en mesures impopulaires, Alexis Tsipras ne cesse de voir sa cote d’opinion dégringoler lui qui a imposé six fois plus de taxes que ce que lui demandait Bruxelles et le FMI. S’agissant des réformes plus structurelles, le règne de Tsipras est un échec, incapable de juguler le travail au noir et d’imposer aux professionnels l’équipement de terminaux de paiements, il n’a pas su mettre fin aux économies parallèles… Malgré un retour de la croissance les deux derniers trimestres de 2016 et une prévision de + 2,7 pour 2017, les observateurs économiques ne sont pas dupes, ces chiffres favorables sont normaux après le niveau qu’avait atteint la récession. Tsipras devra donc répondre du chao économique de son pays mais pas seulement. La Grèce en situation de faiblesse n’est pas en mesure d’affirmer une voix forte face à Erdogan dans le cadre des négociations en cours concernant Chypre… L’échec Tsipras n’est donc pas seulement économique mais global. Les pays tentés par l’extrême gauche pourront en tirer les conclusions.

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L’actualité en bref

3 ans de prison pour Paul Giacobbi ! Mercredi, le député Divers Gauche de Haute-Corse a été condamné pour détournement de fonds publics dans l’affaire dite des gîtes ruraux. Il a également écopé de 5 ans d’inéligibilité et de 100 000 euros d’amende. Selon le procureur, le système de fraude dont il aurait été le premier bénéficiaire a coûté près de 500 000 euros au département de Haute-Corse entre 2007 et 2010, à l’époque ou il en était le président. Paul Giacobbi doit faire appel de cette décision qualifiée d’assassinat politique par son avocat.

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Forte hausse de la délinquance dans les transports ! Selon les statistiques du ministère de l’Intérieur, en 2016, les agressions ont bondi de 14 %. Chaque jour en moyenne, 330 voyageurs ont été détroussés. De leur côté, les viols ont augmenté de 7 % et les vols sans violence de 17 %, soit 121 000 pour ces derniers en un an. Le réseau parisien détient le triste record en raison de la saturation de ses lignes souterraines. Le Rhône, les Bouches-du-Rhône et l’Hérault ont également connu une hausse significative de la délinquance.

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Un bidonville rom bientôt détruit. Le tribunal a ordonné l’expulsion des occupants du camp situé dans le 17ème arrondissement de Paris avec l’assistance des forces publiques dans les 3 prochaines semaines. 16 adultes et 6 enfants y vivent dans des conditions d’hygiène inacceptables.

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Samedi 28 janvier, l’association Guillaume de Provence organise une marche de la fierté Aixoise ! Deux semaines après la marche de la fierté parisienne qui a rassemblée un millier de militants, c’est au tour des Aixois de descendre dans la rue pour fêter leurs traditions au son des chants traditionnels. Son président Jérémy Piano nous en dit plus sur cet évènement !

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C’est la fin de notre édition. Dans un instant, notre Zoom du jour. François Bousquet est journaliste et écrivain. Il vient de publier un ouvrage qui fait déjà du bruit :”La droite Buissonière”. La démarche de l’auteur consiste à dépasser la caricature d’un Patrick Buisson, pygmalion ou gourou, affublé des habits de la réaction, sorte d’Edmond Dantes des droites qui viendrait venger les bannis de 1789, 1945 et 1962. Dans un style alerte et brillant, François Bousquet décrit un homme authentiquement intelligent, porteur d’une vision du monde, qui a libéré la droite classique des interdits qu’elle avait intériorisés. L’auteur décrit les grandes dates qui ont marqué la jeunesse et la vie d’adulte de Buisson : l’Algérie, Minute, Sarkozy, la droite hors les murs. Il démontre que le véritable combat du président de la chaîne Histoire, un combat mais aussi sa hantise, c’est la dislocation de la nation. Et pour exorciser cette crainte, il faut refaire France !

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Et tout de suite, une nouvelle chronique de la France de Campagnol avec Christian Combaz. Quant à nous, on se retrouve demain. Merci de votre fidélité, bonsoir !

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