La propagande anti-Trump : nouvel exemple du dévoiement des médias et du journalisme

Uli Windisch
Rédacteur en chef

Les médias sont un pouvoir bien plus important que le prétendu quatrième pouvoir ; ils sont néanmoins et constamment en train de se plaindre et d’appeler les pouvoirs publics à les aider, à les soutenir et cela toujours avec les mêmes arguments démagogiques et mensongers.

Sans une aide marquante des pouvoirs publics, le journalisme de qualité serait gravement menacé, ainsi que la cohésion nationale, le débat public et la formation de l’opinion. Ils osent encore …Alors que le fossé entre les médias et la population se creuse de plus en plus comme celui entre les autorités et le peuple des citoyens.

Les politiciens de quasiment tous les partis accourent, tiennent  le même discours et se regroupent pour aider ces médias à la peine ; certains sont effectivement sérieusement menacés. Cette  fraternisation est éminemment suspecte ; en fait elle montre simplement l’osmose entre les médias et le monde politique, soit plus précisément la dépendance réciproque et malsaine  entre ces deux univers. Certes il est de bon ton du côté des médias de donner l’impression de critiquer de temps en temps les politiques , avec toutefois une énorme surreprésentation des critiques adressées à la vraie droite, à savoir l’UDC. Tous unis contre l’UDC ! Ce n’est pas un fantasme mais bien un facteur d’union entre les politiques et les médias.

Jamais on ne s’interroge sur les vraies raisons de la désaffection du public envers les médias. Ce n’est bien sûr pas uniquement la faute à l’internet, à la publicité, qui migre sur le NET, toujours évoqués, toujours avancés, comme excuse.

La cause première est autre : c’est l’arrogance, la partialité politique et idéologique des médias que les publics ne supportent plus. De simples polémistes prétentieux, moralisateurs,  devenus militants politiques, de gauche, ont massivement remplacé  les grands éditorialistes qui faisaient référence et étaient écoutés et discutés.

Cette cause-là n’est jamais évoquée, sauf du côté des publics qui n’en peuvent plus de ces tentatives multiples et généralisées d’imposition d’un prêt-à-penser orienté idéologiquement. Plus bien-pensant tu meurs.

C’est de là que vient le succès de l’info et de l’analyse politique sur l’internet, des sites d’information plus libres, ouverts et pluralistes et de ceux de la Réinformation. Ce succès est tellement massif que seuls des médias attardés et déconnectés du réel,  coupés des graves et inquiétantes réalités qui préoccupent profondément de très  larges couches de la population, peuvent encore prétendre ne plus pouvoir faire de l’investigation et de la qualité, à cause du manque d’argent et de la place prise par l’internet !

Ce n’est pas par hasard que l’internet est flamboyant. Il est plus facile de vouloir censurer ce dernier que de se remettre fondamentalement en cause.

En ce sens, je me réjouis, oui je me réjouis, de la baisse d’audience massive de nombre de médias audio-visuels et de la presse écrite. On dirait qu’ils préfèrent crever plutôt  que de se remettre fondamentalement en cause. C’est en effet la chose la plus difficile pour des individus qui sont sous l’emprise de croyances sociales, morales ou idéologiques ; c’est pourtant une condition sine qua non.

La qualité, la qualité… Mais qui est encore capable d’en produire. ? Cela existe toujours mais elle se trouve surtout chez ceux qui savent être au-delà des divers alignements sociaux, politiques et idéologiques convenus. Mais ces derniers sont souvent écartés par le pouvoir que détiennent encore largement les antiquités du politiquement correct. D’où la fuite vers l’internet, le privé ou ailleurs encore, mais ces dernières solutions ne permettent guère de vivre, une condition pour beaucoup. Tous ne peuvent pas vivre avec des moyens nettement moindres.

L’association malsaine entre les pouvoirs publics et les médias a encore de beaux jours devant elle, principalement parce que les premiers disposent de l’argent public et ont besoin de médias à leur solde ou disons pour le moins bien disposés à leur égard, nonobstant quelques  petits coups de boutoirs symboliques et rituels  permettant de garder la face.

Oui vous êtes en sursis, journalistes bien-pensants. On peut se plaindre un certain temps mais à la longue le public décèle de plus en plus vos partis pris, votre partialité, votre désinformation, qui va jusqu’à la propagande clairement orientée.

Un pas supplémentaire est encore franchi. A la fameuse bien-pensance et orientation idéologique dominante s’ajoute maintenant carrément une tendance à la pure et simple propagande politique, au recours à la grossièreté, à la vulgarité, et au dénigrement systématique, sans scrupule, sans gêne aucune, avec fierté même.

Une  illustration exemplaire de cette nouvelle étape du journalisme réside ces temps dans l’attitude envers les candidatures de politiques dits  populistes dans de nombreux pays. Le cas de Donald Trump en est certainement l’illustration la plus significative dont « le populisme » représente  l’envers total de la bien-pensance. C’est ce qui le rend  insupportable pour ceux qui incarnent le mieux cette bien-pensance attardée et autre moraline de gauche. Or le populisme n’est rien d’autre que la traduction politique des graves et insupportables problèmes dont souffrent des couches de plus en plus larges de nos populations.

Pas étonnant donc que les médias et les journalistes se trouvent en porte-à-faux à la fois avec le peuple et les populistes ; mais en osmose avec les élites, toutes aussi bien-pensantes et coupées de ces couches de la population les plus gravement touchées.

Triste destin pour ceux qui se veulent les gardiens de la qualité, du débat public, de la démocratie et du pluralisme politique et médiatique. A défaut de chercher à censurer la machine internet, il ne vous reste  plus qu’à vous souvenir de ce qu’était comme magnifique métier le journalisme et d’en prendre modèle plutôt que de continuer à suivre les directives elles aussi très orientées de la grande partie des écoles dites de journalisme. Il vous faut prendre acte du travail de militantisme politique qu’elles vous ont inculqué, souvent à l’insu de votre plein gré. Tout n’est sans doute pas perdu si vous faites ce que tant de gens actifs doivent faire aujourd’hui, changer du tout au tout, quitte à déplaire à ceux qui vont devenir des antiquités et pour lesquelles on ne créera même pas de musée.

Revenons concrètement à ce nouveau seuil franchi par le journalisme et auquel hélas le terme de journalisme d’égouts convient clairement. Remarquons au passage  que le même terme convient aussi aux bassesses atteintes par certaines pratiques du monde politique traditionnel, lui aussi sur la défensive et prêt à tout pour empêcher le renouveau de la politique et incapable de retrouver le lien avec des populations en désarroi profond et révoltée comme jamais, créant ainsi le fameux populisme qu’ il attribue à d’autres.

Je l’avais dit et prédit, alors que je n’ai pas cette prétention : tout absolument tout  sera fait de la part des médias pour discréditer, diaboliser ce « populiste » de Donald Trump.

Tous les jours des journalistes font de la surenchère par rapport  au sale travail fait par leurs collègues, en étant encore plus sales, vulgaires et grossiers ; ils pensent même être exemplaires,  espérant être félicités et portés aux nues par leurs confrères. Le travail de basse besogne a rarement atteint un tel niveau.

Donald Trump n’est certes pas exemplaire de tous points de vue ( qui l’est ?) mais il se trouve qu’il a aussi un vrai programme politique extrêmement intéressant, réaliste, prometteur, nécessaire et susceptible de résoudre bien des problèmes et d’éviter des catastrophes.

Mais de toutes ses propositions, vraiment importantes, pas un mot , que du « cul » pour être aussi vulgaire et grossier que ces « journalistes ».

Une seule illustration : même Le Temps, journal qui se veut de référence, vient en rajouter d’une manière elle aussi indigne, grossière et vulgaire. Cette basse besogne est certes effectuée par une journaliste, J. Kuntz, Le Temps, 12 .10.2016, à la longue tradition gauchiste, prétentieuse, moralisatrice et justicière. Elle sort de temps en temps de son statut de retraitée, pensant sans doute  représenter encore l’avant-garde d’un journalisme bien-pensant mais dont presque plus personne ne veut. Elle a dû penser que elle seule pouvait « se faire » Trump comme il le fallait, comme cela se faisait à l’époque des basses besognes du gauchisme.

J’ai dû lire et relire  ses propos car je n’arrivais pas à y croire.

Très brefs extraits de son grand journalisme : « Donald Trump, cet authentique vaurien révélé dans sa lubricité » ; «  Les femmes et les filles… éloigneront un prédateur de la Maison-Blanche » ; « …un homme moralement débraillé…. ». Elle sait même ce que pense son épouse : « chéri, non là, je ne peux plus, pense à nos filles », etc.,etc.

Pas un mot bien sûr à propos de Hillary Clinton la corrompue, fautrice de guerre et donc responsable de milliers de morts, menteuse mécanique, tricheuse, vénale, prête à tout et avide d’argent comme personne tout en étant de gauche, bref la totale. Cela valait vraiment la peine de sortir de sa retraite pour rendre ce magnifique service à la réputation du journal. Elle oublie simplement qu’en écrivant ainsi elle en dit plus sur elle-même que sur son Donald Trump haï.

Il en va de même d’un très grand nombre de médias partout où la bien-pensance de gauche et autre politiquement correct sévissent encore. Tous sortent du bois à cette occasion peut-être sans se rendre compte qu’en pensant faire leur devoir ils font davantage penser à un chant du cygne qui va malheureusement être encore très long jusqu’au dernier souffle.

Un rapide autre exemple :  le gratuit 20 Minutes réussit la performance suprême de sortir plusieurs articles de suite ne parlant que de la vidéo d’il y a 11 ans et de « cul », désolé mais il faut une nouvelle fois s’adapter à ce niveau de vulgarité pour bien faire sentir ce climat journalistique délétère ; et toujours rien évidemment sur le programme politique.

Cela ne va empêcher les médias de quémander l’aide publique pour survivre, en prétendant que c’est donc au nom de la qualité , de la cohésion nationale, de la démocratie, de la vivacité du débat public, du pluralisme et de la formation de l’opinion qu’ils crient au secours.

Je pourrais donner des centaines, des milliers d’autres exemples de ce traitement journalistique et médiatique indigne, ce qui indique la gravité et la généralité du problème. Personne ne demande une apologie de D. Trump mais à cette occasion le journalisme en dit long , très long sur lui-même ; c’est cela le plus grave. Il fallait Trump pour faire apparaître l’ampleur du désastre et du dévoiement de l’un des plus beaux métiers.

Un espoir, sans doute un pur rêve : que Trump gagne, d’abord pour qu’il puisse mettre en pratique son programme politique, largement accessible notamment sur tous les sites de la Réinformation, contrairement aux médias traditionnels (leur but n’est-il pourtant pas l’information) et ensuite pour que les médias prennent une vraie leçon. Mais il est vrai qu’ils n’ont de leçon à recevoir de personne, tant ils sont exemplaires.

Il est déjà possible de prévoir un scénario de même nature, qui a d’ailleurs déjà commencé, avec l’élection du président autrichien le 4 décembre 2016, soit quelques semaines seulement après l’élection présidentielle américaine. Vous pouvez déjà imaginer comment les médias vont tout faire pour participer à l’échec du candidat « populiste » Norbert Hofer. Mais là ils devront être encore plus pervers, grossiers, vulgaires et menteurs , etc… car les chances dudit populiste semblent assez bonnes, même si ses adversaires tant nationaux, qu’européens et de l’UE européenne travaillent à son échec depuis des mois, aidés en cela par le report de deux mois.

Qui nous livrera une analyse de l’immense travail souterrain entrepris pour le faire échouer ?

Probablement pas des journalistes. Parce que trop concernés, de conserve avec les politiques bien-pensants qui militent eux aussi avec des méthodes que l’on devine déjà, et que l’on va découvrir sous peu, pour le candidat de gauche qui se dit écologiste ?

Uli Windisch, 13 octobre 2016

 

 

 

 

 

 

15 commentaires

  1. Posté par meulien le

    les femmes qui jouent les vierges effarouchees,me font rire,surtout quand on voit toutes les filles se jeter aux pieds de leurs idoles du cinema ou de la chanson,pour essayer de se les « faire » N’oublions pas les kennedy(democrates) qui faisaient un grande consommation de filles. L’un deux ,laissa ,meme mourir sa secretaire dans le ruisseau ,ou ils etaient tomber,pour aller se coucher. Ne parlons meme pas de bill clinton,qui mentit, au peuple americain,devant les cameras sur ses relations extra conjugales

  2. Posté par alt57 le

    Je souscris tout a fait à votre analyse, merci et bravo.

    Le bon sens est en effet absent de nos cervelles politiques et de leurs courtisans médiatiques.
    Suiveurs intrigants faiseurs et conformistes, ils soulignent cette nouvelle féodalité dans laquelle nous somme entrés depuis une quarantaine années et dont personne ne se soucie, tant les serfs « individualistes » sont nourris, roulent en auto et … téléphonent, dans un monde d’irresponsables de plus en plus virtuel où plus personne ne se remet en question, accusant « l’autre » de ses propres erreurs et manquements.
    Procédurier irresponsable et inconséquent, il cherche un responsable à ses propres manquements.
    Aspirant servilement à être à la droite de dieu, de peur d’être accusé de ce dont il accuse les autres, il suit la doxa, pointant du doigt l’autres « hérétique » qui ne se conforme pas, celui qui veille , ouvre les yeux et se demande pourquoi il en est lui même là et se demandant quelle connerie il aura faite pour en arriver, lui aussi, là où nous en sommes, bien que voulant voter pour qqn de capable et probe, que l’on ne trouve désespérément pas, et pour cause, dans les listes de candidats que les partis en collusion proposent après avoir confisqué les élections et la filière de sélection. Niant ce droit fondamental que la république préconise et réglemente, la société civile, devant faire partie du jeu, en est exclue , de même que le « bulletin blanc » devrait et doit être considéré comme exprimé est écarté, confondu avec les nuls .

    Aussi Trump est-il cassé, car il semble défendre un sursaut de fermeté pragmatique , même si qq outrances médiatiques dans un combat de campagne électorale peut paraître populiste voire déplacées, son discours semble être au diapason avec une majorité de citoyens excédés par une politique inadaptée, contre productive, coûteuse qui semble de surcroît mener tout droit vers un chaos annoncé.

  3. Posté par Mike le

    « Donald Trump n’est certes pas exemplaire de tous points de vue ( qui l’est ?) mais il se trouve qu’il a aussi un vrai programme politique extrêmement intéressant, réaliste, prometteur, nécessaire et susceptible de résoudre bien des problèmes et d’éviter des catastrophes. »…oui oui, comme Obama avait promit de fermer Guantanamo, sortir d’Iraq et d’Afghanistan, de modifier les accords type NAFTA, et puis tout l’monde il est beau tout l’monde il est gentil…Heureusement que Trump ne nous donnera pas l’occasion de constater davantage de son bullsh*t.

  4. Posté par Udressy le

    Merci Mr Windisch pour votre exposé , pour votre vérité qui dévoile la lâcheté de ces menteurs qui nous harcèlent quotidiennement .
    Je vous suis reconnaissant , mes meilleures salutations. Udressy Jean-François.

  5. Posté par Alain le

    Merci M. Windisch excellente analyse de nos médias.

  6. Posté par coocool le

    Comme pour le Brexit, la propagande des médias bien-pensants se retournera contre eux !

  7. Posté par Vernet Jean le

    Le problème des journalistes est simple à résumer: ils veulent écrire le BIEN plutôt que le VRAI. Evidemment il s’agit du BIEN selon leur propre définition, en clair du « politiquement correct ».

  8. Posté par Dominique Schwander le

    Il n’y a pas que le mari Clinton qui a fait et fait encore des frasques, il y a aussi Hillary… Pire, complice elle menaçait les femmes séduites par son mari à la maison blanche pour qu’elles ne parlent pas.

  9. Posté par JeanPaul Costantini le

    Si j’étais Américain, donc en droit de voter, je serais bien emprunté. Madame Clinton traîne une quantité de casseroles: il est certain que je ne voterais pas pour elle, surtout que c’est une va-t-en guerre avérée. Quant à Trump, il ne m’inspire aucune confiance: il est trop vulgaire pour être crédible. Conclusion: je m’abstiendrais.

  10. Posté par aline le

    Et si ce Trump-bashing surréaliste et ridicule servirait finalement à Donald Trump? Les médias ne parlent jamais des frasques de Bill Clinton qui avait un comportement absolument abominable vis-à-vis des femmes pendant sa présidence. Et cet homme voudrait à nouveau entrer dans la Maison Blanche en tant qu’ époux de la présidente des USA? Quelle couple caricatural pour le pays le plus puissante!

  11. Posté par marambat le

    Tout ceci est bien vrai et bien dommage .mais les journalistes n’ont pas le choix s’ils veulent être payés ! Comment est financé ce journal ? Est ce viable ? Si je pouvais je deviendrais actionnaire d’un journal .c’est peut-être une solution ? Car l’argent est indispensable .

  12. Posté par FrançoisB le

    Cet article me fait immanquablement penser à l’émission Infrarouge de la TRS, qui sous la férule d’Esther Mémèrebachée nous livre, semaine après semaine des « collectors » de pensée orientée, de manipulation gauchiste et de bienpensance dégoulinante. Je me force à regarder l’émission jusqu’au bout, non pas par masochisme, mais pour repousser chaque fois plus haut l’indice de servilité sur l’échelle vertigineuse de la connerie humaine. J’espère, si nous réchappons au sinistre avenir concocté par ces décérébrés « journalistes », que des enregistrements de ces « messes bisounours » seront toujours disponibles pour édifier la jeunesse qui nous succédera. Un peu comme les discours d’Hitler qui nous ont ouvert les yeux sur le National Socialisme…

  13. Posté par Jean-Francois Morf le

    Les ordinateurs des « bien pensants » permettent de créer n’importe quelle « preuve avec film et voix de Trump » pour détruire Trump. Il ne faut donc croire que Trump vu en chair et en os.
    Le staff de Trump doit truquer les films truqués par les démocrates pour que tout le monde comprenne que ces films anti-Trump ont été conçus par les ordinateurs des « bien pensants »!

  14. Posté par Pierre-Alain Tissot le

    La haine de Joëlle Kuntz envers D. Trump et tous ceux qu’il représente, une société où les hommes seraient des peloteurs à gifler, pousse cette journaliste à s’abaisser bien plus bas que les écarts de langage dudit candidat, qu’elle qualifie de vaurien et de prédateur. Son féminisme castrateur est vraiment dégoutant !
    Par contre les frasques de l’ancien président Clinton, « un quinquagénaire plein de verdeur », sont absoutes.

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