Michel Garroté - Le Cardinal Raymond Burke estime que dans certaines parties du monde les chrétiens sont persécutés et aussi expulsés de leur terre. Cela advient dans des pays historiquement importants du point de vue religieux, comme l’Irak, où arriva Abraham, terre des Chaldéens. Mais aussi dans des pays du nouveau monde, par exemple dans mon pays, les États-Unis, il y a une tentative de nier aux chrétiens le droit de suivre leur propre conscience, ajoute Cardinal Raymond Burke. Et de résister à l’avortement, à la stérilisation ou à d’autres pratiques médicales qui procurent la mort. Les problèmes pour les chrétiens ne concernent pas seulement le Moyen-Orient mais aussi l’Occident. Ci-dessous, je publie la traduction d'une interview -- a propos de l'islam et des chrétiens persécutés -- donnée par le cardinal Raymond Burke, patron de l’Ordre de Malte et membre de la Congrégation pour la cause des saints, interview accordée au quotidien italien Il Giornale.it.
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Francesca de Villasmundo - L’Union Européenne elle-même, au nom du politiquement correct, souvent ferme les yeux sur les menaces envers les chrétiens. Qu’en pensez-vous ?
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Cardinal Raymond Burke - C’est clair que les musulmans ont comme objectif final de conquérir le pouvoir sur le monde. L’islam à travers la charia, leur loi, doit gouverner le monde et il permet des actes de violences contre les infidèles, comme les chrétiens. Mais nous avons peine à reconnaître cette réalité et à réagir en défendant la foi chrétienne.
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Francesca de Villasmundo - Pensez-vous que nous fermons les yeux ?
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Cardinal Raymond Burke - Oui et je pense que les raisons en sont multiples. Beaucoup ne comprenne pas ce qu’est vraiment l’islam. Et ils créent ces slogans, que nous croyons tous au même Dieu, que nous sommes tous unis par l’amour et ainsi de suite. Ce n’est pas vrai. Une autre raison est que les chrétiens ont beaucoup négligé une vérité fondamentale : il n’y a qu’un Sauveur du monde, Jésus-Christ. Nous ne devons pas faire de prosélytisme en imposant la chrétienté, mais si nous croyons en Jésus c’est notre devoir d’en porter témoignage. Je pense aussi que ce témoignage n’est plus très fort dans les pays qui dans le passé étaient appelés chrétiens, comme les nations européennes.
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Francesca de Villasmundo - Vous avez récemment écrit un livre, « Espoir pour le monde : Unir toutes choses en Christ », qui parle aussi de l’islam.
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Cardinal Raymond Burke - L’islam est une menace dans le sens, que pour un vrai musulman, Allah doit gouverner le monde. Le Christ dans l’Évangile a dit de rendre à César ce qui est à César. Au contraire la religion islamique qui se base sur le loi du Coran veut gouverner dans le pays où se trouvent les musulmans. Tant qu’ils sont une minorité, ils ne peuvent pas insister, mais quand ils deviennent la majorité ils doivent appliquer la charia. Aujourd’hui il y a des enclaves, des quartiers entiers, en Europe où de fait le régime musulmans s’impose.
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Francesca de Villasmundo - Vous vous référez à Molenbeek, aux banlieues, aux quartiers en Angleterre et dans les pays du Nord, à des villages de Bosnie. Est-ce qu’ils représentent l’échec des tentatives d’intégration ?
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Cardinal Raymond Burke - C’est un échec parce qu’il s’agit d’un État dans l’État. Le problème c’est que les musulmans travaillent à leur expansion. Toute l’histoire de la présence islamique en Europe est une tentative de la conquérir. Nous avons à peine célébré le 8 septembre la victoire des chevaliers de Malte après trois mois de siège par les musulmans en 1565. Malte aurait été leur tremplin de lancement vers l’Europe. Sur les murs de Syrte, ex-bastion des drapeaux noirs en Libye, il y avait de nombreuses inscriptions sur la conquête de Rome par l’État islamique. C’est une danger réel. L’islam se réalise dans la conquête. Et quelle est la conquête la plus importante par rapport aux chrétiens ? Rome.
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Francesca Villasmundo - En Syrie et en Irak, les chrétiens risquent-ils de disparaître ?
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Cardinal Raymond Burke - Certainement. Il existe un plan pour les déraciner. Les pays soi-disant chrétiens insistent sur la liberté religieuse pour toutes les religions, mais dans certaines nations musulmanes on ne peut même pas construire une église ou professer son credo en public.
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Francesca de Villasmundo - Contre l’État islamique faut-il intervenir militairement ?
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Cardinal Raymond Burke - Il faut arrêter l'EI avec les justes moyens mis à notre disposition en les considérant comme des criminels de la pire espèce.
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Francesca de Villasmundo - Notre journal a lancé une campagne avec le soutien de ses lecteurs pour raconter la tragédie actuelle des chrétiens. Qu’en pensez-vous ?
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Cardinal Raymond Burke - J’apprécie ce que Il Giornale est en train de faire pour faire connaître la persécution des chrétiens. Le vrai service des médias n’est pas de répéter les choses qui plaisent à la majorité, mais de chercher la vérité des faits. Aux États-Unis, mais pas seulement, les gens n’entendent jamais une voix différentes, à contre-courant.
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Francesca de Villasmundo - L’immigration est-elle une ressource ou un danger ?
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Cardinal Raymond Burke - J’ai entendu plusieurs fois des islamistes qui expliquaient : ce que nous n’avons pas réussi à faire avec les armes dans le passé nous sommes en train de le faire avec la natalité et l’immigration. La population est en train de changer. Si on continue ainsi, dans des pays comme l’Italie, la majorité sera musulmane.
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Francesca de Villasmundo - Si c’est ainsi est-ce parce que nous sommes trop faibles ?
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Cardinal Raymond Burke - Tout cela arrive à cause de la corruption de l’Occident. Il n’y a plus de familles suffisamment nombreuses. De manière passive, nous acceptons des praxis qui sont contraires à la loi naturelle comme l’avortement ou les soi-disant mariage entre personnes de même sexe. C’est la démonstration que nous ne sommes plus forts dans la foi. Et une proie facile pour la conquête.
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Francesca de Villasmundo - Vous êtes américain. Vladimir Poutine, le président russe, ex-officier du KGB, est-il une menace ou l’ultime défenseur des valeurs traditionnelles ?
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Cardinal Raymond Burke - Je suis très satisfait de sa défense de la vie et de la famille, que Dieu a créé dès le début avec un homme et une femme. Nous ne pouvons pas nier à une personne comme Poutine la conversion. C’est possible qu’aujourd’hui il ait compris ce qu’il ne comprenait pas il y a 30 ans, au temps du KGB, conclut le Cardinal Raymond Burke.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.ilgiornale.it/news/politica/lislam-pericolo-vogliono-sottometterci-armi-e-i-figli-1314051.html
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http://www.medias-presse.info/cardinal-raymond-burke-lislam-est-un-danger/62022
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Note to Obama: ISIS chief makes list of top Muslims
While President Obama and his administration continue to insist that ISIS has nothing to do with Islam, a prominent Islamic institute headquartered in Jordan puts ISIS leader Abu Bakr al-Baghdadi on its annual list of the world’ s 500 most influential Muslims along with Hillary Clinton aide Huma Abedin, Council on American-Islamic Relations Executive Director Nihad Awad and U.S. Reps. Andre Carson, D-Ind., and Keith Ellison, D-Minn.
LIEN : WND
http://www.wnd.com/2016/10/note-to-obama-isis-chief-makes-list-of-top-muslims/
Allah et Mahomet doivent gouverner le monde:
Traduction: Satan et AntiChrist doivent gouverner le monde!
googlez, en images: Allah Satan
googlez, en texte: mahomet antéchrist
Le Cardinal Raymond Léo Burke, de son nom exact a toujours tenu ce discours de vérité sur le sujet , “sans haine et sans reproche “. Peut-on espérer que ce n’est pas à cause de cela qu’il a été écarté, assez brutalement au demeurant, de la fonction qu’il exerça à Rome,à la demande du vigilant Pape Benoît XVI ,en tant Préfet de la Signature apostolique, soit en quelque sorte ministre de la justice ecclésiale.
Quant à la “tolérance” fille du relativisme , c’est justement à cause de cette esprit délétère qui, on l’a vu récemment peut amener- même un Pape hélas heureusement non infaillible en ce domaine, qui n’est pas le sien , faut-il le rappeler – à comparer la violence ordinairement humaine, si j’ose dire des catholiques, à celle inouïe et relevant en effet d’une démarche politique et militaire de conquête perpétrée au nom de l’Islam ces temps-ci que ce soit au Moyen-Orient ou de part le monde , et en bien d’autres occasions au cours de l’histoire. Ce qui n’est pas une opinion au demeurant, mais un constat de faits, qu’un faux esprit de “tolérance” est par essence incapable de discerner.
Sur cette question encore, et au risque de me répéter, on remarquera la source de cette tragique confusion : la révolution née des obscures Lumières qui nie toute réalité, qu’elle soit métaphysique ou physique, puisque , pour seul exemple, “l’homme est né bon, partout il est dans les fers”.
Si ce discours avait été tenu il y a 2000 ans, l’Europe ne croirait pas en Jésus. On ne peut pas savoir quel est le bon Dieu. Laissons les gens faire leurs choix et n’imposons que la tolérance.
Il nous faut appeler les choses par leur nom. Un étranger qui arrive dans un autre pays sur la demande de ce pays (par exemple suite à une demande d’une entreprise qui a besoin de ses qualifications professionnelles) ou après en avoir fait la demande lui-même (par exemple un vrai réfugié d’un pays voisin bien évidemment) et que sa demande ait été acceptée est un immigré. Il doit s’intégrer dans sa nation d’accueil en acceptant et en pratiquant les us et coutumes, l’histoire, les traditions, les moeurs, les valeurs, les vertus et la langue de ce pays. Un étranger qui arrive dans un autre dans l’illégalité est un clandestin. Un ou des étrangers qui arrivent dans un pays pour y imposer leur mode de vie par persuasion, militantisme, revendications, exigences et force sont des colonisateurs et cette colonisation appelle l’invasion ou suit l’invasion. Des étrangers qui y arrivent en masse sont des envahisseurs et leur invasion nourrit la colonisation. Clandestins, colonisateurs et envahisseurs doivent être refoulés sans état d’âme. Un pays, son souverain et ses dirigeants sont coupables de ne pas se défendre, de tolérer, de s’accommoder de faire des concessions alors qu’ils doivent non seulement réagir à ce défi politique, démographique, culturel, civilisationnel, et financier mais aurait du l’anticiper.
Voilà un discours sur l’islam bien différent de nos églises officielles.
Oui affirmons le Christ seul Sauveur du monde !
@Antoine Gayet
Magnifique!
Néanmoins, les Colons de cette époque apportaient une certaine avancée technologique, est-ce que l’on peut en dire autant de nos envahisseurs actuels? qui ponctionnent NOS finances publics, financées par NOS impôts, payés par la sueur de NOS fronts.
Quatre Amérindiens discutent autour d’un tipi, un calumet à la main.
Amérindien 1: Je vous répète que je ne suis pas raciste. Je sais que les Blancs connaissent la famine en Europe et cherchent un nouveau foyer. Mais ils font bien plus d’enfants que nous et arrivent en grands nombres par bateau. Des tribus ont déjà dû migrer à l’Ouest pour être tranquilles. De plus, on me rapporte que certains d’entre eux s’en prennent à nos femmes voires tuent certains des nôtres et qu’ils cherchent à imposer leur culture. Si cela continue, nous finirons par ne plus être majoritaires et ce pays sera le leur.
Amérindien 2: Tu n’es qu’un xénophobe inculte. Tes propos reflètent tes peurs et ta haine. Tu es possédé par l’esprit du mal. Il est évident que les Blancs sont encore très peu, je n’en croise pas souvent dans la grande Plaine. Nous habitons tous dans le même pays et ils sont donc autant Sioux que nous. D’ailleurs, ils s’adapteront à nos coutumes avec le temps. Dans le pire des cas, ils travailleront pour nous et nous les dirigerons.
Amérindien 3: Tu parles comme si les Blancs étaient tous les mêmes. Ils sont très peu et tous regroupés dans les villes. Ils sont gentils: il y a 1 mois, l’un dleux m’a offert de l’eau-de-feu.
Amérindien 4: Tu es effectivement raciste. Je parie que tu soutiens ce nationaliste Geronimo. Le danger vient de toi et non des Blancs. La tribu devrait voter pour t’enlever ton tomahawk.