Interview de Peter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères, sur Al Jazeera.
Vidéo en anglais, 26 mn.
Présentateur :
As the refugee crisis in Europe continues to divide the continent, world leaders gather in New York for the annual United Nations General Assembly, and the issue of refugees tops the agenda.
Among European nations, there is a lack of consensus on how to proceed. One of the countries that very early decided to go its own way was Hungary, and it has been severely criticised for its approach.
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Peter Szijjarto :
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The right to a safe life is a fundamental human right, but picking a country where you would like to live in is not among fundamental human rights. So that's why I raised the issue whether you can consider anyone as a refugee, who crosses at least four peaceful countries, like Turkey, Greece, Macedonia, Serbia, and then arrives to Hungary, because these people who seek for asylum had already at least four opportunities before Hungary to ask for asylum
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It's not only us, it's also the migrants as well who have to respect international and national regulations.
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Les pays de l’est avaient perdu leur souveraineté, mais ont su garder leur identité, ce qui leur a permis de se reconstruire comme nation. A l’ouest, on a perdu notre souveraineté et on est en train de perdre totalement notre identité et cohésion sociale à cause d’une immigration massive de populations Arabo-Africano-musulmanes.
J’ai beaucoup d’admiration pour ces pays de l’est pauvres mais tellement attachés à leur identité, histoire, valeurs, liberté, mode de vie, sécurité etc… qui nous donnent une belle leçon.
Ce qui est inacceptable, c’est les technocrates Européens comme Junker et Schultz qui ont menacé ces pays jusqu’à leur imposer des amendes colossales ( 250.000 Euros par immigré illégal refusé). Pourtant , à l’ouest, nous nous sommes déjà suicidés par une immigration qui est en voie de nous submerger, et de nous détruire. C’est effrayant et révoltant de voir que nos politiques veulent étendre ce processus mortifère dévastateur aux pays de l’est où ils n’ont aucun problème avec l’Islam et ce qu’il enfante naturellement là où on le laisse s’implanter comme le terrorisme islamique, les mosquées, le foulard, les burqa, le halal, le ramadan, les revendications déraisonnables et la gangrène sociale etc…sans oublier le fait que tout citoyen qui ose critiquer l’Islam….se retrouve en danger de mort chez soi, en Europe, dans son propre pays qui n’a rien à avoir avec un pays Arabe