Christian Hofer: Suite de l'article publié avec une explication des chiffres.
Évidemment, l'article n'évite pas la bien-pensance, l'OFS prétendant "qu'il n'y a pas de conclusion à tirer" alors que la violence a éclaté avec la venue de certaines ethnies, d'où une destruction de notre sécurité, des agressions sexuelles immondes, une hyperviolence gratuite. Et cela est irréfutable.
Enfin, on ne sait pas dans quel registre sont classés les naturalisés. Or de nombreux migrants ont bénéficié de notre passeport, pour le plus grand bonheur de certains cantons de gauche comme Genève et Vaud ou encore à Zurich.
**********
L’OFS a considéré deux populations distinctes d’étrangers. Elle s’intéresse d’abord aux personnes résidant en Suisse, et les détenteurs d’un permis B ou C. Dans cette catégorie, il apparaît qu’en chiffres absolus ce sont les Suisses qui sont le plus souvent condamnés, de par la loi du nombre. C’est pourquoi les statisticiens ont calculé un «taux de condamnation» par rapport à l’ensemble du groupe des Suisses, qui est de 2,7 condamnations pour 1000 habitants. Pour certaines nationalités, l’OFS a regroupé les ressortissants par régions. Par exemple, pour l’Afrique méridionale occidentale, ses ressortissants ont été condamnés 61 fois, mais leur taux de condamnation atteint le record avec 32,8‰.
L’OFS a aussi regroupé les ressortissants de l’ex-Yougoslavie dans une même catégorie qui cumule 2064 condamnations avec un taux de 8,9‰. Dans une seconde statistique, l’OFS s’est penché sur les condamnations qui ont frappé les étrangers sans statut de résident. Pour eux, le taux des personnes en délicatesse avec la loi sur les étrangers est évidemment très élevé, autour des 90%.
Source et article complet
@ Cenator
Je ne suis pas étonné par le constat de ces moins de 17% qui ont leur 4 grand-parents Suisse.
Quand on voit ce que Lausanne et Genève sont devenu en même pas 30 ans, c’est dégueulasse et honteux. S’ils étaient au moins respectueux, mais non, c’est cracher sur la Suisse à longueur de discussion. On peut plus ce promener un soir sans se faire accoster par les dealer, quand c’est pas l’agression dans certains coins.
Il y a pas loin de 1000 sans abri à Genève, même si on sait que se sont presque que des étrangers, qui n’ont en définitive rien à faire ici. Les bobos gauchos sont si navrant, mais c’est tellement facile d’être altruiste avec l’argent des autres, aujourd’hui.
J’avais lu une étude sur la Suisse romande, qui disait déjà entre 2005 et 2010, je ne sais plus exactement, que 53% des résidents étaient soit naturalisés, double national, enfants de seconde génération d’étrangers, ou enfants de cette seconde générations d’étrangers, et avec ce qui est arrivé ces dernières années, ont doit être à plus de 60%. c’est navrant.
Mais les choses semblent partir dans une prise de conscience qui va renversez la donne, et on le sent dans le discours des bobos bisounours, on sent que tout est entrain de leur échapper, et je pense que la grande re-migration va bientôt commencer. Il faudra se tenir prêt à faire le nécessaire quand le moment sera venu.
Et on ne parle que de ceux qui sont condamnés, pas de ceux qui sont libérés, pas inquiétés pour un sou et qui doivent bien rigoler de notre mansuétude!
Et les Kosovars, Albanais et Tunisiens naturalisés, on les classe où?
Ce qu’il serait intéressant d’analyser, ce sont les coûts directs et indirects engendrés par tous ces criminels étrangers ainsi que les préjudices aux victimes. Est-ce qu’un professeur en sociologie ou en criminalité aurait envie de s’y attaquer ? Je pense que les contribuables doivent passer à la caisse pour plusieurs milliards de nos chers francs annuellement…
Les vraies statistiques concernant la population étrangère, la criminalité et le nombre des musulmans en Suisse seront connues lorsqu’il sera possible de voir le lieu de naissance des grands-parents de chaque Suisse. En effet, il y a 50 ans, notre population se composait majoritairement de Suisses de souche. Dans une ville comme Lausanne, c’est moins de 17% de la population qui a quatre grands-parents suisses.
Et parmi les Suisses, combien de double nationaux ? Et quelle est leur autre nationalité ?
Et ce sont justement ces populations hautement criminogènes qui sont les protégés du Collectif R ou de Jean Dutoit.
Il serait très intéressant d’établir des chiffres concernant l’appétence au crime en fonction de la religion!