04 septembre 2016 :
Ce qui s’est passé ce dimanche matin, à l’occasion de la rentrée des classes, au lycée de la cité 1 600 logements à Sebbala (Draria) est très grave. Les lycéennes ne portant pas le voile n’ont pas pu accéder à l’établissement où elles sont inscrites. L’agent qui se trouvait au portail d’entrée a carrément interdit aux jeunes filles ne portant pas le voile d’accéder au lycée !
Si certaines d’entre elles ont dû rebrousser chemin pour aller chercher un foulard à la maison, d’autres qui étaient accompagnées par leurs parents ne se sont pas laissées faire. Elles ont protesté et ont demandé à voir le directeur de l’établissement, lequel était «absent». Pis encore, les parents de ces lycéennes ont été outrés par le comportement de cet appariteur qui scrutait les têtes de ces adolescentes qu’il aura, somme toute, terrorisé.
Sûr de lui, il a sommé les parents, qui accompagnaient leurs enfants, de «bien éduquer leurs filles». Les parents de ces élèves ont juré de ne pas se laisser faire et de remuer ciel et terre pour que cet énergumène soit sanctionné, tout en déplorant la nonchalance du directeur de l’établissement.
Ils ont considéré que le port ou non du voile relève des libertés individuelles et qu’il n’appartient pas à un «ignare et frustré qui n’a certainement jamais mis les pieds dans un lycée d’imposer le port du voile ou quoique ce soit aux élèves». Il s’agit en somme d’un grave dérapage dans un établissement scolaire !
Salim Bey
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Avertissement d’une lectrice musulmane à ceux qui se laissent faire:
Avec l’islamisme, il faut retenir cette équation : surprise, acceptation, généralisation, obligation, mort.
Toute chose qu’ils ramènent et qui te surprend aujourd’hui, ils te tueront pour dans 10 ans.
Au départ, ils ramènent un truc qui choque ou surprend. Ils te demandent de l’accepter au nom de tes principes de liberté. Puis, ils vont le généraliser. Dans les années à venir, ce “truc” qui te semblait si singulier, devient la nouvelle normalité. Un standard. Après, ils devient obligatoire pour les dernières poches de résistances. Les derniers qui résistent encore jusqu’au bout son tués.
Voici en 2016 un lycée public algérien qui refuse l’entrée aux jeunes filles qui ne portent pas le voile. Puis quand leurs parents viennent se plaindre, des gardiens bêtes et vicieux leur font “la morale”.
Je me souviens la première fois que j’ai vu ce sac odieux arriver en Algérie. Il choquait. Aujourd’hui, passée la généralisation, ils devient obligatoire.
Cette culture nous l’avons héritée du calife Omar Ibn al-Khattab. Demi-Dieu, demi-prophète, il haïssait les femmes et passa sa vie à les battre à toute occasion. Nous le vénérons en Algérie. Nous ressemblons a nos seigneurs.
Il y a 7 ou 8 ans certains journalistes émettaient l’hypothèse que les épreuves du baccalauréat seraient déplacées quand le ramadan tomberait au même moment. Ce qui fut fait cette année au sujet des oraux de rattrapage comme si tout était normal.
En un an, on aura eu également le “hijab day” à Sciences Po, le séminaire de 3 jours à Reims interdit aux Blancs, le salon des musulmans où on s’interroge s’il faut battre sa femme, les “bâches” sur les plages au nom de la liberté, les juges qui considèrent que les “boutiques” de la jungle de Calais (pas de TVA ou d’impôt, nourriture avariée…) doivent passer au-dessus des lois de la République au nom de la convivialité…
Plus c’est gros comme une maison, plus cela passe.
Qu’en disent nos bigotes Cesla Amarelle et autre Savary, Brunschwig-Graf, spécialistes du fleuret moins moucheté qu’assassin de nos valeurs ?
http://lesobservateurs.ch/2016/09/06/brochette-contrer-statu-quo-chez-socialistes-vaudois/