L’agression à Paris, y compris face ou contre les enfants de 3 ans, est devenu un mode normal de fonctionnement qui ne suscite plus aucune réaction normative de la police, ni de la ville de Paris, bien entendu.
L’agression à Paris, un mode de vie à la mode
En cette fin d’après-midi, j’étais content de pouvoir emmener ma fille de 3 ans au parc. Ce n’est pas tous les jours que je peux m’offrir ce petit luxe. Et ce n’est pas tous les jours que ma fille peut profiter de son papa dans son parc habituel, rue du Télégraphe, dans le 20è arrondissement de Paris.
Mais ce soir… pas de chance, une bande d’adolescents africains et maghrébins traîne ses savates dans le parc réservé aux enfants de moins de six ans, et deux adolescents belliqueux commencent à se battre à quelques dizaines de centimètres de ma fille de trois ans…
Non! non! et non! je n’accepte pas cela et je leur demande d’arrêter. J’ai immédiatement droit aux sarcasmes, aux insultes, aux accusations de racisme (demander à des adolescents issus de l’immigration de respecter des règles de bon sens, c’est forcément aussi raciste que de ne pas sélectionner Benzéma en équipe de France), aux menaces. Le ton monte.
Ma fille de 3 ans se réfugie derrière moi et je suis entouré par une bande de quinze adolescents et jeunes adultes menaçants
Je ne me laisse pas faire, et les gamins s’impatientent. Je ne quitte pas le parc comme ils le souhaiteraient. Ma fille se réfugie derrière moi et je me retrouve donc face à cette scène surréaliste où un petit caïd de quartier commence à me bousculer:
https://youtu.be/Vmc8a96GuPA
Comme je tiens tête et que j’explique à ma fille qu’il ne faut jamais abandonner la partie, même face à la loi du nombre, les agresseurs utilisent une autre arme. Ils envoient un enfant de dix ans se jeter sur ma fille avec sa trottinette. Se dire victime et agresser. Dénoncer le racisme et haïr les blonds aux yeux bleus.
Voilà le résultat:
https://youtu.be/h8jNzSjSjJ0
La police reste inerte
Au bout d’interminables minutes, le parc (dans le quartier où les Kouachi se sont radicalisés rappelons-le, et dans la circonscription de Jean-Christophe Cambadélis) qui n’est pas gardé par un agent de la ville de Paris (trop occupés dans les beaux quartiers sans doute) est finalement atteint par une patrouille de police qui renvoie tout le monde dos à dos.
Les policiers partis, j’ai droit aux pires insultes de la part des jeunes mamans maghrébines qui étaient là.
Il est vrai qu’une bande d’adolescents africains qui s’attaquent à une famille française, ce n’est ni de la violence, ni du racisme, c’est une juste réparation de nos torts coloniaux.
C’est insoutenable ! Mais les Américains commencent à les tuer sur leur sol, cela va venir en France… dans très peu de temps …
Y en a marre d’être modéré, dès qu’on critique ces gens-là, on est taxé islamophobe. rentrez dans vos pays respectifs, vous verrez si vous ferez les marioles.
ILS sont forts parce que nous sommes faibles.
Ces individus ne comprennent que la force ! Pourquoi y avons-nous renoncé ?
Il faut cesser de geindre et… agir !
c’est frustrant d’etre modéré mais que voulez- vous la clique de la brunscwig- grave nous surveille et au moindre commentaire passible de pousuites, le site sera fermé, dictature vous dites ?
Oui je le pense !
Le Ministère public zurichois a classé les enquêtes contre les auteurs des agressions sexuelles de la nuit du Nouvel-An. En Suisse la justice est tout aussi pourrie qu’en France. Les républiques bananières sont des exemples par rapport aux pays européens dès qu’il s’agit de ces pauvres migrants.
C’est consternant! Et on nous prie encore de transmettre des commentaires modérés, sans doute pour ne pas froisser la susceptibilité de ces racailles! Non mais!
Ces types sont des branleurs frustrés, aucun projet d’avenir , aucune formation, aucun centre d’intérêt, aucune dignité, aucune morale, aucune prise en charge, aucune intelligence.
J’avais appris à l’école que c’était le sens moral qui différenciait l’homme de l’animal.
Le vote de protestation et tout de suite les journaleux appellent cela du populisme, du racisme et un refus du vivre-ensemble !
Bientôt des stages de reformatage pour ceux qui l’ouvriront ?
Quand on regarde les journaux télévisés, en France, on ne voit et n’entend que des journalistes qui dénigrent la France et les Français de type caucasien. on a presque honte d’être français et le seul choix face à ce racisme c’est la révolte.
Les lois ant-racisme, pardon, anti-blancs, ne servent qu’à conforter ces minables […], dans leur certitude qu’on peut faire tout et n’importe quoi avec la conviction de bénéficier ensuite d’une assurance casco complète face aux tribunaux.
S’en prendre à dix contre un dénote bien de la tactique habituelle de cette racaille importée.
Et évidemment, la lutte doit se concentrer sur les « populistes ». Pendant que nos enfants sont sacrifiés. Dégats collatéraux disait Merkel. Je me demande quel sera le seuil de tolérance de nos adeptes de l’Eglise de la bien-pensance en Suisse. Combien de victimes tolérées ? Aucune vous diront-on entre deux psaumes. Et pourtant, depuis le scandale des enfants anglais, les victimes sont quotidiennes, à l’échelle européenne.
Aussi longtemps que nous accorderons au nom de nos valeurs des droits à ces gens qui nous les refusent au nom des leurs, nous serons perdants…
*Les policiers partis, j’ai droit aux pires insultes de la part des jeunes mamans maghrébines qui étaient là.*
Des questions sur ce qui se passe en France, sur ceux qui sont les véritables racistes?
Il est plus facile et moins dangereux de blâmer nos propres sociétés et nos conditions socio-économiques que d’accuser les concepts religieux et culturels avec lesquels les terroristes islamistes empoisonnent leurs cœurs et leurs esprits et sèment la mort dans nos pays. Aussi longtemps que la communauté musulmane refusera de s’adapter à l’esprit occidental, elle continuera à éprouver du ressentiment et à perpétuer une culture de violence tout en poursuivant sa stratégie de victimisation. Ce qui inévitablement créera des tensions, des cassures que nous sommes de moins en moins enclins à accepter.