Christian Hofer: En clair, après avoir eu l'arrogance de prétendre à notre passeport suisse alors qu'ils ne partagent pas du tout nos valeurs, ils veulent à présent agir contre la décision de l'école, utilisant nos lois et nos libertés contre nous. Le multiculturalisme tant prôné par la gauche est même repris par le père comme argument, prétendant qu'il faut ainsi accepter toutes les cultures et que la culture suisse ne prédomine donc plus!
Toujours les mêmes et toujours des problèmes. Imaginez bien ce qui va se passer avec tout ceux qui arrivent à présent grâce à S. Sommaruga, le rapport de force démographique étant un facteur clé dans ces cas de figure.
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L'étudiant musulman qui a refusé de donner la main à son institutrice a donné une interview à la chaîne d'information Al-Jazeera.
Dans l'interview, l'affaire de la poignée de main, qui a fait les manchettes du monde entier, est abordée. L'adolescent de 15 ans, Amer Salhani, déclare, entre autres, qu'il ne comprend pas pourquoi cette histoire a provoqué un tel drame. Selon lui, ses camarades penseraient la même chose. Cependant, son frère et lui continueront à ne pas serrer la main à leurs professeurs pour des motifs religieux.
Son père Ibrahim se manifeste dans une interview sur la culture suisse. Pour lui, il est incompréhensible que sa culture soit ignorée. Il ne peut pas accepter qu'une tradition soit au-dessus d'une autre.
L'élève d'école secondaire et son frère ne voulaient pas serrer la main à leurs enseignantes pour des raisons religieuses. L'école ne voulait pas accepter un tel comportement. Il y a deux mois, la décision a été prise que les étudiants ne pouvaient plus refuser la poignée de main. Néanmoins, les frères ont continué à montrer leur incompréhension. Dans ces circonstances, la famille veut agir contre la décision de la Direction de l'Enseignement bâlois.
La vidéo sur Facebook a été partagée plus d'un millier de fois et a été beaucoup commentée. La plupart ne comprennent pas le comportement des élèves. "C'est juste une poignée de main, passe par-dessus" écrit un contributeur. «Suis les règles du pays dans lequel tu vis" écrit un autre.
Source et article complet Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
Renvoi par Colissimo, en courrier A, chez les bédouins.
Ils ne se plaisent pas chez nous, on ne les veut plus. Tout le monde y gagne. C’est win-win.
Ces gens veulent à tout prix, par des contorsions mahométanes, faire céder les autorités et ainsi le pays dans son entier!!! Ce n’est que de la provocation, avec derrière eux, le… BLANCHOT de service, comme dans l’affaire du Tessin. Puisqu’ils prétendent que c’est toute une histoire pour pas grand chose!? Alors pourquoi dans ce cas, ne cèdent-ils pas???Allé oust, ils nous fatiguent, pas de tergiversations et retour aux origines…
Ces jeunes sont à plaindre. Ils ont l’esprit tellement formaté depuis le plus jeune âge qu’ils sont irrécupérables. Ils doivent être très malheureux dans nos sociétés et le pire c’est qu’ils ne pourront jamais s’intégrer. Le meilleur service que nous puissions leur rendre c’est de leur offrir un billet d’avion (sans retour) pour un pays où ils seront heureux car il pourront vivres selon leurs profondes convictions.
Dehors,certainement pas céder,si on accepte on est plus CRÉDIBLE.
Bah… le fait de se vanter de continuer à ne pas serrer les mains des enseignantes prouve que les autorités concernées ont abdiqué et laisseront faire. Pas plus compliqué que cela. Et pour la petite histoire, sachez que par chez nous si les signes patriotiques sont interdits à l’école, le drapeau albanais est accroché au fond d’une classe depuis le début de l’Euro…
Retour chez eux ,car très dangereux ,ici on est en Suisse ,si cela ne leurs convient pas : retour chez eux.
Ah ah ah elle n’est pas belle la crédibilité des institutions Suisses!
Les écoles disposent de règlements et ont la possibilité de renvoyer les élèves ne les respectant pas!
Et bien non, c’est du ” on cause, on cause”….jusqu’à se soumettre aux règles des nouveaux arrivants!
Il faut vraiment être aveugle ou stupide pour ne pas se rendre compte de la détérioration de qualité de vie que nos autorités nous font subir depuis les années 90!
Le multiculturalisme est possible avec tout le monde sauf avec eux. Ces gens ne sont pas fait pour vivre ni en Suisse ni en Europe. Le problème c’est que nos dirigeants ne l’ont pas compris.
Bien entendu, nous ne sommes pas en guerre, quoique…. Pour ceux du sérail économico- industriel, rien de plus rentable, nous le savons. En attendant, chaque migrant enrichit le filon
de la dette. Et tourne tourne tourne … la planche à billets quel qu’en soit le prix humain, sociétal, culturel.
Ce sont les mêmes qui envoyaient sans scrupules nos aïeuls à la mitraille en 14-18.
Sachez qu’ils nous méprisent encore plus, puisqu’ils prêtent attention à ces gens qui veulent
notre mort.
Musulman, je rirais de notre lacheté, bien entendu. Les guerriers ne sont pas chez nous.
Nous sommes mous.
“l’office cantonal des migrations a convoqué la famille pour une discussion”…
Comme on ne négocie pas avec des terroristes, on ne discute pas avec ce genre d’intégristes : on les convoque pour les informer qu’ils sont indésirables sur le territoire Suisse et on les met dans le premier transport disponible à destination de leur pays d’origine.
Nous n’avons aucun besoin de ce genre d’individus chez nous !
Qu’est-ce qu’on attend pour les expulser?
Les salauds sont ceux qui ont accordé l’asile politique à ces gens. L’asile tel qu’il est appliqué est une escroquerie. Maintenant, c’est trop tard !
Deux mondes qui se côtoient mais ne se fréquentent pas.
Merci à la pianiste, le communautarisme est dans le pipeline.
[…]
De mieux en mieux… Ils osent importer leur culture amorale et rétrograde chez nous et pire… nous l’imposer !! Qu’ils partent, ils n’ont rien à faire ici… il y a plein de pays musulmans où les femmes sont asservies et dénigrées… qu’ils y aillent !
Mais qu’est-ce que les autorités attendent pour les renvoyer dans leur bled, visiblement ils ne sont pas à l’aise chez nous !