7 commentaires

  1. Posté par Christian Hofer le

    Tiens donc, pour cette PLR l’égalité homme/femme ne serait donc plus d’actualité lorsqu’il s’agit d’encenser les femmes?

    Subitement, nous ne serions plus “totalement pareils dans tous les secteurs” ni interchangeables dans tous les cas de figure? Mais je rappelle à cette femme que c’est la théorie de base des “progressistes”! Il est bien clair que tout cet enfumage n’était qu’une étape pour humilier l’homme blanc, pendant qu’hypocritement ces mêmes féministes ne se fatiguaient guère sur les chantiers et autres travaux impliquant beaucoup de force physique. Et l’on peut aisément rétorquer à cette PLR que son point de vue est un préjugé anti-homme et discriminatoire. Autant utiliser le vocabulaire de gauche contre une bien-pensante non ?

    Savez-vous ce que cela me rappelle? L’anti-racisme. C’est exactement le même procédé. « tout le monde est pariel » sauf qu’il est permis de faire l’éloge des personnes n’appartenant pas à l’Occident, de prétendre qu’elles sont plus aptes dans certains secteurs mais jamais le contraire. C’est une hiérarchisation sociale, ethnique etc. des mêmes bien-pensants qui prétendent combattre les inégalités, les préjugés et le racisme.

    Mais en outre, c’est sur cette base qu’une Anne Lauvergeon soutenait qu’il fallait tout prendre sauf le mâle blanc à compétences égales: cela s’appelle du racisme.

    https://www.youtube.com/watch?v=awEsHrthdhw

    Quant à l’évitement des véritables problèmes sociaux, c’est simple: ces gens bien-pensants au possible ne sont pas concernés. Comment voulez-vous qu’ils s’y intéressent ou qu’ils en parlent? Dès lors, leur propagande n’est pas seulement un révélateur de la cassure sociale mais aussi de leurs priorités qui n’ont plus rien à voir avec les nôtres et dont la superficialité est une insulte au peuple laborieux.

  2. Posté par lafronde le

    merci de cette tribune. la Déconstruction est en effet à l’oeuvre dans toute l’Europe, et même l’Occident. Contre la social-démocratie clientéliste, le populisme est malgré ses imperfections un recours à portée de main. Cette déconstruction sociétale est l’idéologie dans laquelle se sont reconvertis les collectivistes (même chose pour l’écologie). Il me semble que le citoyen suisse peut mieux lutter pour sa liberté, grâce à la décentralisation et à la subsidiarité de la Confédération helvétique. Y ont trouvé asile tous les sites de la ré-information francophone, merci pour cela.

  3. Posté par aldo le

    Voilà donc Monsieur Windisch qui s’intéresse aux dynamiteurs des marqueurs du passé, sous l’habit prétentieux d’une droite rénovée. Une droite aux antipodes de ses anciens objectifs. Pour illustrer le problème j’utiliserai la comparaison. On peut désosser la démarche de Claudine Esseiva en la comparant à ce qui se passe dans des entreprises de services ou industrielles.

    J’ai eu le malheur de cumuler un parcours professionnel au sein d’entreprises sur le déclin qui pensaient qu’un type de mon genre était capable à lui seul de leur faire remonter la pente. Elles avaient comme dénominateur commun un donneur d’ordres, un patron, qui avait depuis longtemps largement épuisé son stock de compétences au regard du principe de Peter applicable à tout le monde. Compétences non renouvelables faute d’intérêts intellectuels et d’intelligence en expansion, censées augmenter les compétences au fil du temps. Dans ces cas on aurait pu parler de chanceux qui ont développé une machine à faire de l’argent, tout en ayant bénéficié de circonstances très favorables, leur donnant l’illusion de l’intelligence et de la compétence. Mais malheureusement les cadeaux des circonstances sont éphémères et non renouvelables.

    Quand ces patrons avaient atteint leur sommet, leur tendance était d’engager des subalternes moins compétents qu’eux-mêmes, lesquels renouvelaient la même expérience vis-à-vis de leur propre personnel. Le but de l’exercice étant en fin de queue d’engager de parfaits imbéciles pour éviter toute confrontation. Et dans tous les partis politiques, la crise actuelle est exactement ordonnée de la même manière ce qui explique que tout le pays en pâtit. L’éviction de Chr. Blocher repose exactement sur les mêmes mécanismes, quitte à n’offrir au pays que des hordes d’imbéciles prompt à organiser le chaos final.

    Alors, à force de patauger dans les échecs ces entrepreneurs désabusés finissaient par chercher le Zoro censé rétablir la croissance et la prospérité, en ignorant superbement que la masse résistante, trop bien structurée dans le mauvais sens, comme dans tous les partis, était un challenge impossible à tenir.

    Comme le cas Eiseiva, la dérive des patrons incompétents face à cette situation, consistait alors à prendre des mesures à caractère purement cosmétique. Sans aucune cohérence, le patron se contentait de déplacer les machines, sans même les réparer et les renouveler. Il peignait le local puis les machines et il déclarait à qui voulait l’entendre qu’il avait tout réorganisé ! Les couleurs et l’odeur de peinture suffisaient à combler de satisfaction son ego, comme le parfum du détergeant de la concierge fait croire aux naïfs qu’elle a profondément récuré le corridor… Oui, le virtuel domine !

    Pour le PLR et les autres, c’est la même chose. Mais comme ils ne produisent rien, sinon du vent, la dérive esthétique n’en est que plus essentielle pour pouvoir leurrer l’idiot utile. C’est le réflexe de nouveauté qui chapeaute toute l’opération. Martelé par les techniques du marketing et profondément implanté dans le cerveau de l’idiot utile dépourvu de tout sens critique, la nouveauté est le seul moteur authentique d’une illusion purement cosmétique. Illusion temporaire, autodestructrice, valable juste le temps de quelques votations et élections avant qu’elle ne s’érode devant les échecs. Le but final pour ces pantins du pouvoir est de revendiquer a posteriori une retraite scandaleuse eut égard à l’énergie développée. Et comme il s’agit de flatter l’idiot utile, le fond du caniveau n’est pas très loin juste à côté du populisme pourtant si décrié par ses propres serviteurs.

    Les bottes roses au lieu de bleues, du laboratoire inhumain institué unilatéralement Madame Eiseiva, au détriment d’une future “victime de la société” âgée de deux ans, sont tout à fait comparables au changement de peinture opéré sur les machines. Pour le PLR, qu’importe le contenu du flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse de la nouveauté, même si elle est copiée à gauche pour ratisser large.

    Maintenant pour faire bref, il faut se rendre compte que la dérive Esseiva est due à cette partie radicale-socialiste du PLR qui a mené un OPA puis a contaminé le parti libéral, au point d’en faire squat au service de l’illusion progressiste, d’essence purement maçonnique, ce qui malheureusement explique tout. …

  4. Posté par Laurent Lefort le

    Pourquoi ne pas acheter quelques éditions de l’Illustré, et brûler ce torche-c.. sur la place publique, avant de publier tout ça sur le net. Avec toutes les mesures de sécurité nécessaires, cela s’entend.

  5. Posté par aline le

    L’interview de cette Claudine Esseiva par l’Illustré correspond au niveau de ce torchon de la maison Ringard et n’aura que très peu d’impact sur l’avenir de notre pays.

  6. Posté par Alain le

    Merci M. Windisch. Vous soulignez quelque chose de très important en parlant de déconstruction.
    En abandonnant toutes ces valeurs qui nous sont transmises depuis des générations, notre société ne peut que se détruire et être détruite.
    Les médias portent une responsabilité énorme dans toute cette déconstruction.
    Il faut vraiment implorer la miséricorde de Dieu sur notre pays .

  7. Posté par Pierre Steiner le

    Lu récemment une bonne définition du conservatisme :
    Le conservatisme n’est pas un mouvement destiné à empêcher les progrès et l’élévation d’une société, mais il cherche à lutter contre la régression de la société et la rechute vers un niveau inférieur de la civilisation.

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