Les Suisses veulent des contrôles aux frontières. La gauche n’en veut pas.

Outre une surveillance accrue aux portes du pays, les gens interrogés aimeraient restreindre la libre circulation des personnes.

Un peu plus de la moitié des Suisses souhaitent des restrictions en matière de libre circulation des personnes. Et près de 70% sont en faveur des contrôles systématiques aux frontières. Ces résultats émanent d'un sondage M.I.S Trend qui sera publié jeudi dans «L'Hebdo».

Source

Rappel:

Le socialiste Carlo Sommaruga fait tout pour s'opposer au contrôle de nos frontières

9 commentaires

  1. Posté par Fleeps le

    De toute façon c’est un crime contre les citoyens suisses……avoir prôner et laisser faire pendant des années l’installation de millions de gens en Suisse au dépend de la base ouvrière mérite une condamnation le jour venu…..avoir sacrifier tous les efforts des générations précédentes en diluant nos acquis dans la masse des nouveaux arrivants et une honte et un scandale incroyable….revenons 5,10,15 ans en arriere et forçons tous les gens installés depuis cette date à retourner chez eux…..les loyers seront abordables, les transports publics et les routes seront à nouveaux fluides…..rien ne sert de servir cette course en avant de toujours plus…..occupons nous de notre pays sans excès et apprécions ce qu’il nous donne….nous avons les capacités de relever le défi….

  2. Posté par Un observateur le

    Tous les socialistes et gauchos-verts-écolos Européens sont pour l’immigration, l’accueil ( des soit disant réfugiés dont 99% sont des immigrants en quête d’un pays riche pour s’y installer en détournant le droit d’asile) et l’ouverture des frontières.
    Si les Suisses comme les Européens ne contrôlent pas leurs frontières , ils importeront des problèmes graves ethnico-religio-socio-politico-culturels et civilisationnels sans solution.
    Ayant passé 2 décennies dans les pays d’où viennent ces immigrants , je tiens à informer nos politiques, nos responsables que ces populations choisissent un pays riche pour s’y installer définitivement, mais sont inadaptées, inintégrables .

  3. Posté par G. Vuilliomenet le

    Je reviens de Milan. Beaucoup de policiers et de militaires en patrouille. aux abords de la gare centrale, dans les parcs, en ville. Ils n’hésitent pas à contrôler les individus au faciès, très souvent des groupes de 3-4 hommes. Du côté de la gare centrale, il y a beaucoup d’envahisseurs, quasiment que des hommes, beaucoup de vendeurs à la sauvette.

    Dans le train qui me ramenait en Suisse, des policiers italiens sont montés à Domodossola. Là aussi, contrôle visuel des passagers, sans oublier les gardes-frontières suisses et leurs collègues italiens.

    Il faudrait savoir comment ça se passe dans les aéroports et aux frontières au niveau des réseaux routiers et autoroutiers.

    Que le charlot sommaruga soit contre le contrôle des frontières ne m’étonne pas. Pour moi, il fait partie de ces sinistres qui veulent la destruction de la Suisse, de l’état-nation et aimerait imposer son idéologie qui vaut autant que l’idéologie islamique, autant une idéologie de m****!

    Quant au sondage qui sera publié par l’Hebdo, une fois encore, on est en droit de se demander s’il n’est pas frelaté!

  4. Posté par Marcassin le

    Et la pianiste incontinente (avait-elle des Pampers hier à Infrarouge, elle n’a pas quitté le plateau ?) de faire exprès de ne pas comprendre l’image de M. Freysinger parlant de fermer le robinet en disant que ces pauvres gens ne sont pas des robinets.
    Quelle incompétence et quel mépris envers 70% de la population.
    Démission : http://judc-vaud.ch/wp-content/uploads/2016/04/p%C3%A9tition_d%C3%A9mission_sommaruga.pdf

  5. Posté par Nicolas le

    Faire accepter une frontière à des individus dont la bêtise ne connaît pas de limites relève de l’utopie.

  6. Posté par Anéanti le

    Il est évident que dans le contexte actuel: flux migratoires massifs, criminalité transfrontalière, immigration illégale, il est indispensable de rétablir une présence physique dissuasive: il m’est arrivé de passer les frontières désertes des deux côtés, sans brigades mobiles… bon il y avait peut-être des drones préhistoriques!!

  7. Posté par Aline le

    IL ne faut pas rêver, le cf n’a aucune envie d’écouter les préoccupations de la population suisse. Les sondages les plus sérieux n’intéressent pas nos politiciens.

  8. Posté par MichelSwiss le

    Contrôle aux frontières et aussi à l’intérieur du pays. Que soient enfin renvoyés illégaux, déboutés et criminels, quitte à les parachuter au-dessus des pays d’origine qui n’en veulent pas. Ne resteraient que quelques centaines de vrais réfugiés qui pourraient dès lors profiter d’une concentration de moyens.

  9. Posté par Nico le

    C’est une bonne chose.
    Mais ce n’est pas à un contrôle systématique qu’il faut revenir, mais bien à une présence active qui comme on là constaté sur Genève, avec une diminution significative de la délinquance venue de France depuis que la mise en application de l’état d’urgence et la présence au frontière de douaniers et policiers.
    Concernant les réfugiés, c’est stop à la frontière et demi tour. Ils ont été accepté dans le pays d’où ils arrivent, qu’ils y restent, point.

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