Une fondation genevoise a embauché deux Français alors que des chômeurs genevois correspondaient aux postes à pourvoir. L'Etat exige réparation.
En janvier dernier, l'institution pour l’encadrement des handicapés, largement subventionnée par le Canton, a ouvert deux postes. Informé en primeur ainsi que le veut une directive en vigueur depuis 2015 pour favoriser à compétences égales l’engagement des chômeurs par les collectivités publiques, l’Office cantonal de l’emploi a répercuté l'information. Une dizaine de personnes se sont présentées, dont plusieurs correspondaient parfaitement aux exigences, selon l’Office.
Mais la fondation, qui a reçu en tout une quinzaine de dossiers, a engagé deux Français établis dans le même village de Haute-Savoie qu'un directeur de l'institution, révèle la RTS.
C’est vraiment honteux ce qui se passe. Bien sûr nous avons besoin des frontaliers, mais d’abord les chômeurs genevois doivent aussi enfin pouvoir retrouver du travail. C’est tout simplement inadmissible ce qui se passe. Et on ose nous traiter de raciste, mais je rêve. A bon entendeur salut !!!! Il faut que çà change et sans attendre.
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D’ailleurs, Pontarlier sera bientôt rebaptisée Frontarlier!
Tout à fait d’accord avec ces messieurs sur les commentaires.
Mais c’est tout le système qui est gangrené. Vous parlez des hôpitaux, pas loin de 10’000 chômeurs. Je suis d’accord que tous ne peuvent peut-être pas être caser, mais au moins 5’000 pour commencer peuvent l’être, et formation pour les autres, plutôt que d’aller les chercher à l’autre bout du continent. Quel laxisme, et le pire c’est que les études international sur la formations disent toutes que la Suisse est au top niveau. Mais on nous dit qu’on est pas assez qualifié, étonnant quand même. Surtout que cela se ressent sur la qualité du service. J’ai passé deux mois au CHUV y a pas longtemps, et j’ai été surpris de voir l’hygiène qui y règne, et plus de 70% des travailleurs sont étrangers. Et c’est comme ça dans beaucoup de domaine.
Dans la construction, on peut déjà voir que les statistiques concernant les problème de feu, dégâts d’eau, voir effondrement, vont prendre l’ascenseur ces vingts prochaines années. Sur l’arc lémanique les problèmes commencent avant la fin des travaux, c’est vous dire.
Le canton de Vaud, en 2014, fanfarons qu’il y a eu 13’000 emplois créent entre 2010 et 2013, 90% de frontaliers et d’immigrés ont pris ces emplois. si c’est pas une hontes. Ah! mais ici les gens n’était pas assez formez, ou comment prendre les gens pour des cons. Mais le retour de bâton va être sec et sonnant.
Dans nos universités, vous avez un taux important de Français qui peuvent ainsi profiter de notre niveau d’instruction tout en ne payant pas les frais importants qu’une telle formation exige.
Par exemple à Genève, en première année, environ 40% des étudiants en médecine sont des Français. Je rappelle que cette formation fonctionne avec un numerus clausus (car les places de formations ne sont pas assez nombreuses). Or on manque de médecins en Suisse et on forme de très nombreux… Français.
Ce n’est qu’une partie de l’arnaque qui s’opère avec ce pays (outre les impôts que la France ne rétrocède qu’à grande peine mettant ainsi certains cantons en péril, les CFF qui financent des infrastructures françaises, la CGN subventionnée par nos impôts mais qui est au service des frontaliers etc.).
@Peter Bishop
En effet, il s’en passe, côté copinage, regroupement familial et préférence non-nationale.
Les associations et fondations membres d’INSOS et AGOEER, ainsi que les établissements hospitaliers devraient montrer l’exemple.
– Engager de préférence des résidents genevois.
– Ne pas profiter des compétences de bénéficiaires d’emplois de solidarité (3’725.-/mois en moyenne à 100%) pour faire quasiment le travail d’un aide socio-éducatif (classe 10 en principe, 8 à Joli-Mont)
– Ne pas profiter des aides socio-éducatifs pour faire quasiment le travail d’un éducateur spécialisé (classe 15)
– Ne pas profiter de remplaçants (classe 8, en général), en situation précaire, qui ne peuvent pas normalement postuler aux offres, car ne répondant pas aux titres exigés, mais suffisamment compétents pour assumer les remplacements d’aides socio-éducatifs, d’éducateurs spécialisés, de maîtres socio-professionnels et maîtres d’ateliers.
– Etc…
Et ne pas croire que c’est un cas isolé. Je suis au chômage depuis 1 ans et si je vous disait ne serait-ce que le dixième de ce que j’ai vu et entendu, ça vous ferait pousser les cheveux à l’intérieur…