Une demande de permis de construire a été demandée par la ville zurichoise pour l'édification d'un centre pouvant accueillir 360 migrants.
La Confédération et la ville de Zurich veulent construire un village pour requérants dans l'ancienne zone industrielle du Kreis 5. Les entreprises intéressées peuvent s'annoncer dès vendredi. La ville a déposé une demande d'autorisation de construire. Le peuple aura le dernier mot.
Le projet a été élaboré en collaboration avec le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Dès 2020 et pendant 25 ans au maximum, le village devrait accueillir 360 requérants.
«Nous voulons un centre ressemblant à un village», a déclaré jeudi Raphael Golta, responsable des affaires sociales de la ville de Zurich. Le nouveau centre remplacera celui installé actuellement à Zurich-Altstetten et où sont testées les procédures accélérées.
Accord en mai 2015
La ville et la Confédération ont signé en mai 2015 un accord pour la création d'un nouveau centre pour requérants. Il prévoit que la ville construise les locaux et que la Confédération les loue pour 15 ans, avec possibilité de prolonger la location pendant deux périodes de cinq ans.
Les coûts sont à charge de la Confédération, mais c'est la ville qui est maître d'oeuvre. De cette façon, la population zurichoise garde la possibilité de voter sur le projet. Le législatif de la ville et la population se prononceront sur le crédit pour la réalisation du projet.
Votation à l'automne 2017
La votation est prévue en automne 2017. Les travaux pourraient débuter au plus tôt en 2018. Le coût exact n'est pas encore connu, mais la facture sera supérieure à 20 millions de francs, selon André Odermatt, responsable des travaux publics de la ville.
Seuls les voisins directs du futur village peuvent faire opposition. La ville a déjà engagé la discussion avec le voisinage qui semble plutôt ouvert et favorable au projet, a indiqué Raphael Golta.
(nxp/ats)
Quand au “quartier noir” de Zürich, petit ensemble d’immeubles parallèle à la Langstrasse, contenant quelques bar-discos et fréquentés uniquement par des Noirs, dont les mâles se livrent au trafic de drogue et les femmes à la prostitution, la population n’a jamais pu donner son avis.
Mais connaissant la mentalité (fortement gauchiste) des Zürichois je doute fortement qu’ils s’opposent à ce camp.
et voilà comment on crée des cités de non droit en Suisse. Félicitation… rien appris de nos voisins français… ces politiques, dirigeants, bien penseurs sont toujours plus cons, mais là on atteint des sommets… ou plutôt un gouffre sans fond
Ca sera la première fois que la population pourra voter pour la construction d’un ghetto. On arrête pas le “progrès”. Un pas en avant, deux pas en arrière!
Ce club Méditerranée servira aussi à loger des déboutés, des clandestins et des personnes recherchées.
Les toxicomanes du coin auront leur hotspot sous la main.
Et lorsque, éventuellement, la police interviendra, ….raciste!
Et surtout, ce ne sera pas 360 migrants. Attendez-vous à une extension du chiffre pour diverses raisons: “on n’a plus de places ailleurs”, “c’est la seule solution”, “on peut encore construire” etc. etc.
Et cela se transformera en situation permanente. Les mensonges de nos “autorités” sont connus depuis fort longtemps.
100% problèmes à venir pour les habitants périphériques.
Mais tant qu’un seul de nos compatriotes vote à gauche, pour le PDC ou autre parti hypocrite, nous resterons dans la même problématique.
C’est triste à dire, mais il faut que la population s’en prenne “plein la tronche” pour enfin réagir.
Vous remarquerez que dans toutes la Suisse depuis les années70, les politiciens, les banques et les agents immobiliers ont conspiré pour étrangler et faire disparaître nombre d’industries afin de s’emparer des terrains industriels puis de les convertir en terrain d’habitations. Avec des plus-values scandaleuses, liées à des autorisations officielles qui ne devaient pas être dépourvues de pots-de-vins.
Les terrains industriels, pour des activités pas nécessairement polluantes, et habitats étaient proche les un des autres. Il n’y avait pas de problèmes de transports. Or aujourd’hui cette conspiration porte atteinte à l’ensemble de la Suisse. Elle a un coût phénoménal, celui des transports, des embouteillages, des routes et autoroutes, des CFF etc. avec la création du problème des pendulaires.
Là aussi, on peut dire merci à l’immigration et à la surpopulation qui a présidé à cette orchestration. Le Kreis 5 est bien le résultat de telles politiques imbéciles pour les cochons de payants, mais fort rémunératrice pour les conspirateurs susmentionnés qui étaient à l’origine un cartel similaire au PLRPS.
Allons, allons, pas de manœuvres dilatoires. La priorité absolue pour tout bon citoyen helvétique -on l’aura bien compris- c’est, le 5 juin, de faire barrage au RBI, ce danger mortel pour l’âme suisse. Tout le reste n’est qu’aléas et se résoudra grâce à ce robuste sens du consensus qui jamais ne fit défaut et à quelques minimes accommodements raisonnables. Pourquoi s’en inquiéter, puisque c’est l’état qui paie?
Un petit Molenbeek construit de toutes pièces avec notre argent ?
Un village, non, un camp retranché, avec son lot quotidien de bagarres, des femmes voilées, des immondices partout, une mosquée, peut-être ?