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"La Nuit Debout, la nuit des blancs parisiens
(...) Depuis que la Nuit Debout a pris possession des lieux, l’homme ou la femme noire n’y ont plus d’autre place que celui de témoignage de la mauvaise conscience occidentale. De temps en temps, ils ont le droit, parce qu’ils sont migrants ou figure opprimée, de monter sur scène pour expliquer leurs malheurs. C’est l’intermède coloré de la Nuit Debout. Leurs 3 minutes épuisées, ils doivent ensuite céder la place à l’interminable logorrhée des intervenants en commission, qui sont essentiellement blancs bobos.
Car le tour de force de la Nuit Debout est de babiller sans lassitude apparente sur le sexe des anges solidaires, de gauche, révolutionnaires, progressistes et autres adjectifs bisounours, dans un entre-soi ethnique et social très bien huilé. Ici, on est bien, on est tranquille, on est humaniste, mais on est d’abord Blanc des quartiers centraux de Paris. On adore dénoncer la précarité et la discrimination, mais selon l’étiquette bobo en vigueur, qui accorde une place nulle aux « minorités visibles », manifestement peu intéressées par les sujets qui se traitent (...)
La Nuit Debout n’aime pas les barbares
Mais la jeunesse qui souffre vraiment (je veux dire pas par choix) ne connaît manifestement pas l’adresse où il faut se rendre. Ces Blacks, ces Beurs, ces décrocheurs scolaires qui zonent à longueur de journée ou n’imaginent pas qu’ils pourraient un jour gagner plus de 2.000 euros par mois, ces tombereaux de sacrifiés qui sont autant de plaies ouvertes dans nos banlieues, sont invisibles ici (...)
La Nuit Debout n’aime pas les salariés
Une autre caractéristique de la Nuit Debout tient à son aversion pour le salarié. Celui-ci est comme un visage cousin de l’Africain. C’est l’Autre : on le plaint, on se bat pour lui, mais on ne le côtoie pas (...)
Dans la Nuit Debout, le salarié, le prolétaire, est une icône. On aime le voir en peinture, mais il ne faudrait pas qu’il s’imagine changer les choses au jour le jour. La preuve ? Le mouvement a finalement considéré que la résistance à la loi El-Khomri était un prétexte un peu vain, et qu’il valait mieux refaire le monde sans parler d’actualité.
La Nuit Debout n’aime pas les familles
Autre point, bien entendu, la Nuit Debout n’aime pas les familles. Avec des séances de travail interminables, des débats épouvantablement longs sur la cantine, le temps de repas et autres détails, la participation à la Nuit équivaut à un renoncement en bonne et due forme au temps passé à la maison, le soir, pour coucher les enfants.
Cette dominante sociologique s’explique par le caractère faussement improvisé du mouvement. Depuis longtemps, les indignés français sont noyautés par un petit groupe d’intellectuels auto-centrés qui n’ont nulle envie de se mélanger à d’horribles petits bourgeois qui procréent, qui s’occupent de leurs moutards et qui cultivent les relations familiales. Ceux-là sont des catholiques intégristes en puissance qu’il faut écarter.
De là le caractère extraordinairement hétérogène du mouvement. Fait par les Blancs pour les Blancs, fait par les bourgeois pour les bourgeois, fait par les bobos pour les bobos, il ne devrait pas tarder à mourir de sa belle mort, à moins qu’une mutation du virus ne conduisent à une radicalisation et une popularisation inattendue".
Extrait de: Source et auteur
Des ignares télécommandés pour déconner qui sont déjà encarté dans des partis de gauche et qui ne vont pas tarder à se faire élire, pour s’enrichir en déconnant dans le vide d’une vie et d’une expérience inexistante. Bien commode pour ceux qui croient faute de savoir. La littérature et les médias officiels de la bienpensance leur tiennent lieu d’expérience par manipulateurs intermédiaires dûment autorisés. En soutenant ces compromissions le pouvoir nous prépare le droit de vote à 10 ans. Ses complices, à la tête de l’enseignement ont déjà bien travaillé et trié les bons éléments qui conviendront parfaitement comme idiots utiles au service et à la continuité de la merdiacrassie.
@ Aude: “… c’est une tribune défouloir …où les principaux intéressés sont absents… et où on se masturbe intellectuellement parmi”.
Voilà une très exacte définition des Parlements, régionaux, nationaux comme européens.
Personnellement, je trouve l’appellation très euphonique : “nuit de boue” ou encore (je) “nuis debout”. “Debout” étant bien entendu une plaisanterie, car les bobos en question sont généralement couchés devant l’islam.
Bref : l’article décrit assez bien cette bande de dinosaures qui se croient encore au Cambrien industriel de “Germinal” et ont pris pour prétexte un projet de loi très en-deçà de ce que demande le redressement économique pour entamer une veillée funèbre, celle de tout le pays.
On remarquera que ces crânes de piafs bénéficient de toutes les mansuétudes. À commencer par celle des gouvernementaux; ah ! S’ils étaient des “Veilleurs” contre lesquels l’infâme Taubira faisait jeter les molosses de la police politique ! Non : ici, malgré l’état d’urgence, on recommence à polluer chaque nuit sans nulle tracasserie. On est de gôche ou on ne l’est pas !
La mansuétude est aussi, naturellement, celle des médias de propagande.
Bon : comme j’aime à le dire avec le vieux Cicéron : qui prodest ? Il faut de la logistique pour cela, donc de l’argent. Je ne serais pas étonné de voir derrière cette stupidité des milliardaires socialistes : Pigasse, Bergé et autres, et, derrière eux, l’infâme Soros. On me dira que je n’en ai aucune preuve : bah ! Dès qu’il y a du gauchisme, des manifestations soutenues financièrement, Soros y est sûrement pour quelque chose !
Enfin, bon : il est ahurissant de quelque quarante-huit ans après la chienlit de 1968 il y ait encore des nuisibles de cet acabit. Une battue, vite !
Ils privilégient la nuit debout, car le jour, ils dorment.
Alors que ceux qu’ils prétendent défendre, eux, roupillent pour pouvoir aller bosser le lendemain.
Tout est idéologique et politique…
Je pense finalement que c’est une tribune défouloir …où les principaux intéressés sont absents..et où on se masturbe intellectuellement parmi.
La remarque” on le plaint, on le défend, mais on ne le côtoie guère” est tout à fait exacte.
C’est ce que j’avais remarqué il y a bien quarante ans lors de tables rondes de fils de bonne famille, révoltés par la précarité du monde ouvrier, ulcérés par l’exploitation du tiers-monde, outrés par la présence de non- communistes dans le débat politique ( les fachos…) , scandalisés par l’existence de polices et de frontières .
Ces bien- pensants se réunissaient au Café de l’Eveché à Lausanne, puis regagnaient leurs auditoires universitaires ou la villa de papa sur l’arc lémanique, avec la conviction d’avoir apporté leur pierre à l’édifice de la révolution.