L’analyste hongrois Nógrádi György explique que l'UE ne dispose que de quelques jours pour stopper l’invasion qui est déviée sur l'Italie. Après, ce sera trop tard.
En effet, les passeurs qui gagnent 10 milliards d’euros par année ont acheté plein de bateaux à grande capacité pour acheminer des « migrants » vers l'Italie et cet investissement devra leur rapporter gros. Leurs rabatteurs cherchent jusqu’au Bangladesh des candidats à l'invasion.
http://www.mediaklikk.hu/video/ma-reggel-2016-04-06-i-adas/ 35’36 - 36’19
Prévisible. Et rien ne se fait, au contraire. Il suffit de lire les tweets du gros Peter Sutherland pour avoir une irrépressible envie de vomir.
il n’y a que deux solutions armée et peine de mort pour les passeurs
Nous nous réjouissons de voir comment les frontières suisses vont être gérées avec l’arrivée de milliers de migrants revendicateurs et agressifs si nécessaire.
La mollesse helvétique va être mise à rude épreuve et pas sûr, cette fois-ci, que notre élite politique s’en sorte juste avec des discours moralisateurs.
Le journal Le Monde titrait, dans son édition du 04.04.2016 à 06h44, “Augmentation inexpliquée des arrivées de migrants en Italie”…
Transhumance nécessaire et impérative de cochons ceinturés, bien roses et bien dodus partant du col du Brenner et se dirigeant à grande vitesse vers l’Italie….
Soit chaque pays reprend le contrôle de ses frontières comme avant cette Europe unie catastrophique et empêchent les migrants d’entrer, soit l’Europe se donne les moyens de défendre ses frontières extérieures. Il est tout de même incroyable que cette institution qu’est l’Europe unie décide de remettre en place des frontières entre les différents pays qui la constituent mais ne protège pas les frontières extérieures. Le barrage a cédé et au lieu de le réparer ils essaient de contenir l’eau qui se déverse avec 3 sacs de sable, il ne faut pas être un génie pour se rendre compte que c’est une solution inutile et que nous serons, dans un avenir très proche, tous sous l’eau.
Chacun savait, Merkel en tête, que l’accord UE-Turquie signifierait une modification de la route migratoire, du genre Lybie-Italie. Rien n’est donc résolu pour stopper l’invasion et au final, rien ne se fera…