Une pétition a récemment été lancée dans l’île afin d’alerter les plus hautes autorités françaises sur la situation du 101e département français : criminalité, mais également fiscalité locale et toujours et encore l’immigration. Près de 10 % de la population adulte de l’île l'a signée.
Alain Juppé lui même, pourtant peu suspect de virulence dans ses propos, s’est rendu compte de tous ces maux après une brève visite à Mamoudzou, la préfecture du département
Il a pris soin d’en alerter directement l’exécutif en utilisant les termes tels que, je cite : « Affrontements inter ethniques », « insécurité extrême », « flambées de violence à court terme ». Fin de citation. Il pointe également du doigt l’immigration débordante en provenance des Comores, de Madagascar et des autres pays africains.
La criminalité est donc le fléau majeur ?
En effet, et particulièrement chez les très jeunes. Malgré certaines mesures telles que le couvre feu pour les mineurs, les dégradations et les vols prolifèrent. Les violences, notamment celles déclenchées par les rivalités inter villageoises, sont aggravées par l’arrivée de la drogue de synthèse.
Les mauvaises langues doivent dire « Merci Sarkozy » ?
La départementalisation fut non seulement un échec complet mais une pure folie. Sarkozy avait promis à Mayotte le statut de département comme Hollande vient de promettre à Papeete les « indemnisations nucléaires ». Mayotte n’a été départementalisé que dans un but électoral : 50 000 voix d’assurées, cela compte même s’il faut y sacrifier l’intérêt général.
Une départementalisation qui a de lourdes conséquences
La Cour des comptes y a consacré un rapport au vitriol. Mayotte, maintenue à flot par l'argent public, n'en est que plus attractive pour les populations voisines. En outre, la normalisation des moeurs déstabilise une société matriarcale, islamisée, très peu francophone mais autrefois tranquille, agréable et chaleureuse.
Allez, allons-y : Décolonisons ces malheureux ,en 1974 ils ne savaient pas ce qu’il faisaient en votant les pauvres, ils n’étaient pas habitués et nous, nous savons bien que la où le méchant blanco passe le malheur s’abat ! .
Sarko ne nous a pas demandé notre avis alors aujourd’hui, soyons jusqu’au-boutiste droit-de-l’hommiste ,c’était une “colonisation à l’insu de leur plein gré”: Laissons leur retrouver leur liberté,soyons généreux !