15 commentaires

1. @Pierre Frankhauser : concernant GVE, je constate depuis le début du mois de février un changement d’attitude marqué -de même que d’origine ethnique- de la diversitude qui pullule dans certains endroits. Je sens bien qu’ils ne sont plus exclusivement dans l’attente d’une transaction quelconque mais aussi à l’affut d’un sale coup. Ces parasites nous “calculent” et sont clairement en stand-by pour l’instant, dans l’attente d’un signal qui leur indiquera qu’ils peuvent se lâcher. Actuellement je me déplace toujours librement quels que soient les endroits, mais l’idée d’être amené à “engager” simultanément trois de ces chances pour la Suisse sur le pont de la Machine ne m’enchante pas du tout.

2. Je vais souvent en Floride et dans d’autres états .Ce qui me frappe, c’est des villes comme Jacksonville qui était blanche à 95% comme tant d’autres villes. Avec le temps, la démographie et les problèmes de sécurité, les blancs sont tous partis vivre dans des quartiers pavillonnaires sécurisés, laissant la ville à la population Noire. Les gesn vivent séparés. C’est un appartheid légal et accepté. Un échec terrible pour les Usa dont on n’ose parler.
   La Suisse de ma jeunesse était belle et tranquille. Je suis revenu 20 ans après à Neuchatel…je me croyais en Afrique noire. C’est le même processus qui est en cours partout en Suisse et en Europe . En France, il y a déjà des quartiers ethniques dans les banlieues . Un changement rapide de populations. Je crains qu’avec le pourcentage d’Africains francophone qui aiment tant la Suisse, nous allons vers le même phénomène qu’au Usa…la séparation, la guetthoisation . C’est irréversible…et triste.

3. Je vais souvent en Floride et dans d’autres états .Ce qui me frappe, c’est des villes comme Jacksonville qui était blanche à 95% comme tant d’autres villes. Avec le temps et les problèmes de sécurité, les blancs sont tous partis vivre dans des quartiers pavillonnaires sécurisés, laissant la ville aux Noirs. Les gesn vivent séparés. C’est un appartheid légal et accepté.
   La Suisse de ma jeunesse était belle et tranquille. Je suis revenu 20 ans après à Neuchatel…je me croyais en Afrique noire. C’est le même processus qui est en cours pa .Un changement rapide de populations

4. Lausanne est la ville de Sodome et Gomorrhe, le résultat de 17 ans de règne des socialopes. La ville suisse où le nombre des fonctionnaires a le plus progressé ces 15 dernières années. Presque tous les postes clefs de la fonction publique sont occupés par des socialistes.
   La ville avec sa concentration de racaille de clandestins, son taux de criminalité le plus élevé de Suisse, ses dealers sans nombre.
   Les impôts, les taxes, la plus grande densité de services sociaux, d’associations pour « migrants »… et par conséquent des armées d’assistés, de clandestins et de réfugiés.
   La ville la plus polluée de Suisse, son eau « potable » également la plus polluée de toutes les villes suisses.
   Le syndic de Lausanne gagnant largement plus, par tête d’habitant, que n’importe quel autre syndic (133 897 habitants, Brélaz leur pompe 276 976 fr.).
   Je n’ai aucune preuve, mais je suis intimement persuadé que les socialopes arrivent à trafiquer les résultats des votations.

5. L’une des raisons majeurs et que nous parlons le français et devinez qui a colonisé ces pays africains? la Belgique et la France! Par conséquent, les migrants économiques de ces pays viennent plus facilement en Suisse romande parce qu’ils s’imaginent qu’en baraguignant 3 mots de français ils trouveront un travail/aide sociale.

6. Le Romand moyen vote trop à gauche, et n’a, à mon avis, pas la fibre patriotique aussi forte qu’en Suisse alémanique. La racaille peut ainsi plus facilement infester la Romandie. Genève a une grande concentration de flics, ce qui peut dissuader un peu les ratons de s’y incruster.

7. Lausanne après Paris mériterait aussi son mur des cons; des fossoyeurs de cette belle ville. On pourrait le mettre dans le pôle muséal, dans un espace voué au néo dadaisme tendance crétinisme avec une touche de pastèque pourri.

8. @ Hérodote @Aline
   Oh oui vous avez parfaitement raison … l’avenue de Morges à Lausanne devient l’avenue des Africains!

9. @ Hérodote : en simplifiant : idem que le voisin français !

10. Les Romands sont malheureusement trop attachés au socialo-gauchisme.
    Ils sont aussi trop nombreux à se vautrer dans, et se soumettre à, la mondialisation et toute la culture ordurière qui l’accompagne (cela va des casquettes inversées aux séries télévisées américaines, en passant par le rap, les habits couverts d’inscriptions en Globish (global English, une forme dégénérée de l’Anglais), l’anglais mal compris et mal écrit à toutes les sauces dans les magasins (par ex., y a plus de soldes chez nous, rien que des “sale”) et ailleurs, le culte de films idiots américains, tel Star Wars, les graffiti merdeux et stupides qui balafrent et enlaidissent nos villes, nos routes, nos ponts, nos tunnels, nos voies ferrées, les murs d’anciens quartiers et d’anciennes maisons, etc., la malbouffe, et j’en passe).
    Ils adorent, de surcroît, dégueuler sur l’UDC et prennent un plaisir pervers à soutenir les clandestins et les musulmans, sans vraiment savoir ce qu’ils font. Certains me donnent l’impression de le faire juste pour s’opposer à l’UDC – ce qui est naturellement tout à fait lamentable.
    On peut vraiment dire, et cela est regrettable, que les Romands ont cherché la m…
    NB: J’habite en Suisse romande et j’observe ce qui se passe. Cela me fait pleurer et enrager.

11. Résultat des courses, une ville a éviter.
    Tristes perspéctives, tellement dommage. Et c’est pas fini.
    Le pôle muséal ne serat jamais la gare d’Orsay. L’histoire retiendrat les fossoyeurs de cette ville,

12. C’est culturel. Les socialistes français sont trop près de nous.

13. Qui se ressemble s’assemble.

14. Je ne vois pas l’utilité de ressortir un article qui date de 6 mois : les chiffres doivent être bien pires aujourd’hui.

15. Les centres-commerciaux, les places publiques et les transport publiques à Lausanne débordent de cette racaille au point où on se demande parfois si on est encore en Suisse.