Voici l'histoire incroyable et pourtant réelle de la Communauté Thérapeutique. C'est une histoire qui ne découle pas de la propagande officielle pro-drogues, ni des mystifications de la libéralisation des drogues à tous les jeunes en crise, face à un monde vide de sens où ils ne se sentent pas à leur place. C'est pourquoi les salles de shoot ne produiront jamais les conditions du rétablissement des jeunes toxico-dépendants.
Comment des psychiatres soi-disant scientifiques ont-ils pu utiliser tous les rouages médiatiques de la société moderne américanisée à outrance, et mondialisée, pour mobiliser les politiques du monde entier et imposer une croyance dans le mythe des effets thérapeutiques de la substitution ? Comment peut-on croire dans la propagande politique de la dépénalisation des drogues, selon le modèle envahissant made in USA ?
Pourquoi devrait-on se fier à ce modèle made in USA qui décide, pour la terre entière, des attitudes politiques soi-disant scientifiques et de leurs effets pervers des vis-à-vis des personnes "dépendantes" ?
Comment des psychiatres syndiqués ont-ils pu se réunir en congrès pour décider, après des débats, disputes, compromis, conciliabules, tractations, pétitions etc. et finalement des désaccords politiques made in USA, sur un sujet hautement hypothétique : l'efficacité thérapeutique de la propagande soi-disant scientifique pour la substitution des drogues par d'autres drogues. L'efficacité thérapeutique des drogues de substitution est devenue un mythe favorable à la propagande intrusive des laboratoires pharmaceutiques et de l'industrie du médicament qui tend à agir en raison inverse de l'intérêt et du pouvoir intellectuel de la "vraie" science.
La position de domination idéologique occupée par les laboratoires pharmaceutiques, et les profits abusifs que l'industrie du médicament tire de cette domination dans le monde médical, justifie tous les abus et les prescriptions trop souvent abusives de médicaments psychotropes dans la population des pays soi-disant développés. Comment a-t-on pu mobiliser des médecins autour d'un modèle faussement thérapeutique, pour la substitution des drogues par d'autres drogues, fondé sur la propagande de l'industrie du médicament ?
La propagande des laboratoires pharmaceutiques prédisant abusivement les effets salutaires de la prescription des drogues contre d'autres drogues va à l'encontre des différentes cultures du monde entier : la belle affaire ! L'histoire chimérique des effets thérapeutiques de la substitution, qui découle de la propagande publicitaire des laboratoires pharmaceutiques, nous montre tous les dégâts des drogues de substitution dans le domaine du rétablissement, de la réhabilitation et de la réinsertion des personnes "dépendantes".
La propagande des laboratoires pharmaceutiques agit pour mettre en avant la promotion d'un monde virtuel, soi-disant thérapeutique, fait pour des jeunes gens placé sous "dépendance chimique".
Au contraire de ce monde virtuel pour des jeunes placé sous "dépendance chimique", l'approche relationnelle de la Communauté Thérapeutique est fondée sur la confrontation responsable au "déni" toujours associé à la "dépendance". Le programme de rétablissement par l'abstinence s'inscrit dans la continuité des "Centres de réhabilitation" pour toxicomanes fondés, depuis 1958, dans plusieurs villes des États-Unis.
Le modèle Thérapeutique n'est pas de type militaire, hiérarchique et médical, car les membres de la Communauté ont choisi librement de s'entraider (self-help) pour retrouver une "vie saine" et sans "drogue".
Le modèle de la Communauté Thérapeutique est fondé sur l'entraide et rejoint l'humanisme social en matière de développement personnel. La Communauté Thérapeutique agit dans le respect du principe de vérité et d'honnêteté. C'est pourquoi la Communauté Thérapeutique est aujourd'hui l'un des plus importants lieux du non-conformisme en matière de rétablissement et de réhabilitation, non seulement de l'aliénation tyrannique par l'obsession de l'alcool et de la "drogue", mais aussi vis-à-vis de certaines maladies mentales.
Si le Programme de rétablissement par l'abstinence des Alcooliques Anonymes est unanimement respecté comme l'une des plus hautes réalisations morales des groupes d'entraides, il est considéré comme le précurseur de la Communauté Thérapeutique. Aujourd'hui, quoi qu'il en soit des opinions sur la situation des personnes alcooliques ou des jeunes toxicomanes, le Programme de rétablissement de la Communauté Thérapeutique continue à proclamer, dès l'accueil et jusqu'à la réinsertion :
"Vous n'êtes pas différents des autres, nous sommes tous pareils !"
Grâce aux activités des groupes de soutien, un isolement social provisoire est indispensable. Il s'agit de rompre avec "l'ancien monde", le monde de la violence, des dealers, de l'alcool, de la "drogue" et enfin des drogues de substitution détournées de l'usage médical. Le Programme de réhabilitation est fondé sur le rétablissement de l'obsession de l'alcool et de la "drogue" par l'apprentissage social de l'abstinence.
Le groupe d'entraide favorise l'acceptation de l'expérience de la réalité vis-à-vis de soi-même, vis-à-vis des autres, et vis-à-vis du monde "tel qu'il est", y compris le monde de l'alcool et de la "drogue".
Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard, 21.2.2016
Mon epoux décédé en 2015 était AA depuis de nombreuses années, j’ai lu la vie du précurseur Jim
américain , grâce a lui de nombreuses personnes ont été aidées; j’aurais aimé retrouver ce livre.
Hélas ,je ne connais plus le titre, j’habite la France depuis 21 ans et je n’ai plus de contact en
Belgique, peut être vos sondages aideront. Merci de votre attention E.VA
Il ne faut pas non plus oublier que la Scientologie s0est donné le droit de soigner des drogués.Sans compter tous els faux psychiatres et tous les diplômes par correspondance qui faussent toutes les professions médicales aussi -Alors c’est tout le système des soins a pris un sérieux coup dans l’aile
Ce qui est loin de s’arranger car on imagine fort bien des négriers numériques s’octroyer des travaux et tirer bénéfice des travaux que ces étudiants trop naifs leur ont confié ayant oublié qu’on est jamais mieux servi que par soi même
Mais quand on a de l’argent à jeter par les fenêtres on est plus à une bêtise près
Intéressant