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Tenu par les pattes, le coq bat violemment des ailes alors que la lame s’approche. Il a à peine le temps de protester avant que le couteau n’atteigne sa gorge. Son sang gicle sur fond d’incantations et de pas de danse. Mais sa mort n’aura pas été vaine, à en croire Maître Kemboaze, sorcier originaire du Bénin qui effectue ces rituels dans la région lausannoise.
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La gauche vous dira que les peuples primitifs doivent aussi pouvoir exercer les cultes de leurs religions ?
Extension du domaine occupé par la vermine.