Face aux tendances lubriques des migrants – lesquelles feraient presque passer DSK pour un innocent adepte du touche-pipi ! –, la ville allemande de Rheinsberg, à 70 km au nord de Cologne, a décidé d’annuler purement et simplement son carnaval. Car « ne nous soumets pas à la tentation », dit le Notre Père !
Chez les chrétiens, le carnaval – qui remonte à l’Antiquité – concluait une période de fêtes profanes avant les quarante jours de jeûne et de prière du Carême, depuis le mercredi des Cendres jusqu’au Samedi saint.
De ce fait, célébrer le carnaval mécréant devant ces pieux migrants de l’islam ajoute immanquablement la provocation religieuse à celle des femmes impures en jupes, des déguisements blasphématoires et de l’alcool méphitique et propagateur de luxure. La municipalité de Rheinsberg, et ce ne sont pas les féministes « éclairées » de la gauche qui me diront le contraire, a bien agi : pour vivre heureux, vivons soumis !
Les migrants doivent être ravis. L’Occident dépose les armes avant le combat. Ceux ci n’ont donc qu’à
établir leur quartiers généraux chez nous et ensuite commence la valse des revendications communautaires.
Cette soumission est synonyme de lâcheté, de renoncement vraiment rapide aux valeurs des citoyens, de traîtrise même : reculer pour éviter d’affronter la réalité ? La politique de l’autruche ne sera pas payante.