La police suédoise est accusée d’avoir dissimulé plusieurs séries d’attaques sexuelles au festival de musique We Are Sthlm en 2014 et en 2015.
Le journal Dagens Nyheter DN a eu connaissance d’un mémo avertissant la police, avant le festival 2015, d’un « problème avec des jeunes hommes se frottant aux jeunes filles ». Les médias avaient cependant présenté « une atmosphère calme ».
Selon les sources du DN, les agresseurs étaient vraisemblablement principalement des réfugiés. La police avait déclaré qu’il y avait eu relativement peu de délits compte tenu du nombre de participants.
Ce lundi pourtant, la police a admis que la véritable situation n’avait pas été décrite dans sa totalité.
Après les faits, une journaliste du Dagens Nyheter avait contacté la police après avoir été informée par un lanceur d'alerte psychologue. Aucune suite n’avait été donnée par la police. L’article n’avait pas été publié.
Selon Nyheteridag, un officier de police a essayé de contacter plusieurs fois le journal Dagens Nyheter après les agressions. Sans résultat. Actuellement, la journaliste regrette de n’avoir pas donné suite aux informations données par le psychologue.
Et les gauchistes genre pierre crevoisier se permettent d’écrire:
« Les agressions sexuelles de la nuit de la Saint-Sylvestre, à Cologne, ONT TOUT DE LA BONNE AFFAIRE POUR VOUS. »
« Équation parfaite. LES FEMMES elles-mêmes, VICTIMES DES VIOLS, VOUS IMPORTENT PEU. ELLES NE SONT, dans vos commentaires, QUE LES INSTRUMENTS DE VOTRE HAINE EN PLAQUE. »
« A la source de la terreur comme ici, de Daesh à toutes les droites dures européennes, il existe une COMPLICITE OBJECTIVE, UNE SORTE D’ALLIANCE DES CONTRAIRES qui, en fin de compte, accentuent les clivages, provoquent le repli, nourrissent les mêmes peurs, les mêmes angoisses existentielles. »
Toute cette logorrhée ressemble à de la diffamation. Faut-il l’ignorer ou laisser braire cet individu?