Le dernier quart de siècle aura été celui de l’effacement du réel. La télévision et la radio y ont beaucoup contribué, l’une en laissant croire que ce qui était montré était le seul réel, l’autre, en affirmant que c’était ce qui se trouve entendu. Or, la télévision montre ce qu’elle choisit et la radio ne […]
Cet article Michel Onfray : « La poussière sous le tapis » est apparu en premier sur Fdesouche.
Extrait de: Source et auteur
Suisse shared items on The Old Reader (RSS)
la poussière sous le tapis de Mr Onfray est aujourd’hui connue et analysable.
psychopathie ( avec toutes ces variantes possibles et imaginables, mais reconnue comme la “maladie” la plus dangereuse et nuisible qui soit aussi bien au niveau du privé que du social )
https://leb.fbi.gov/2012/july/leb-july-2012
http://www.hare.org/
La corruption du langage est une des armes immatérielles de la dictature…et sûrement une des plus dangereuses.
Et comme cette corruption s’est installée depuis de nombreuses années en France, nous pouvons constater à quelle point la dictature a aussi progressé.
il n’y a pas d’effacement du réel, il y a PRISE DE POUVOIR PAR LA PERVERSITE.
la perversité noie le reél dans le paradoxal en permanence.
L’homme mal ou non-structuré de manière solide n’a pas les outils pour s’en rendre compte et s’y noie en perdant son âme, sa conscience et sa capacité de discernement.
Exercice un peu vain de la part d’Onfray, bien que le propos soit recevable. Il y a longtemps que l’on parle de “novlangue”, depuis Orwell. Mais puisque le philosophe médiatisé évoque Rabelais, souvenons-nous du parler monstrueux de l’escholier lymosin, qui horripila Gargantua au point que le géant étrangla presque le cuistre.
Je verrais bien quelque Gargantua des temps modernes saisir les cuistres à la gorge : Lors le print à la gorge, luy disant : ” Tu escorche le latin ; par sainct Jean, je te feray escorcher le renard, car je te escorcheray tout vif. ”
Dès lors, braves gens, il n’y aurait guère de candidats médiastres ni politicards, et tout irait mieux.