A Ajaccio, la police bloque 300 personnes défiant l'interdiction de manifester
AJACCIO - Bloqués par la police à l'entrée des Jardins de l'Empereur, "sanctuarisés" après un arrêté préfectoral y interdisant tout rassemblement, plusieurs centaines de manifestants ont défilé calmement dimanche 27 décembre dans d'autres quartiers populaires d'Ajaccio, après deux jours de dérapages racistes.
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"On se bat contre la racaille mais pas contre les Arabes", ont scandé les meneurs appelant la foule à rester pacifique. "On n'est pas des casseurs", "on n'est pas des racistes", a enchaîné le cortège qui s'est successivement rendu à la préfecture - apposant sur ses grilles un drapeau corse à tête de maure -, dans les quartiers Sainte-Lucie et des Cannes, avant de revenir devant les Jardins de l'Empereur où une petite cinquantaine d'entre eux demeuraient en fin d'après-midi, a constaté un photographe de l'AFP.
"L'arrêté a été parfaitement respecté", a résumé le préfet de Corse Christophe Mirmand dimanche soir sur BFMTV, relevant que les manifestants n'avaient pas cherché à entrer dans le quartier visé par l'interdiction. Un important dispositif de police, notamment un véhicule équipé de barrières barrant la chaussée, les a empêchés de pénétrer dans ce quartier de quelque 450 logements.
#Ajaccio > Important dispositif de sécurité autour du quartier des Jardins de l'empereur >> https://t.co/CXY0IJM4kQ pic.twitter.com/OHMPlluGY3
— iTELE (@itele) 27 Décembre 2015
Vendredi et samedi, des centaines de manifestants s'étaient rendus dans plusieurs quartiers populaires d'Ajaccio, dont les Jardins de l'Empereur, aux cris de: "on est chez nous", "Arabes dehors". Mais dans la soirée, samedi, le préfet a pris un arrêté pour éviter les débordements dans ce quartier qui surplombe la ville. Le texte "qui prend effet aujourd’hui (dimanche, ndlr) et durera jusqu’au 4 janvier au moins" concerne "toutes les manifestations et les rassemblements, et les contrevenants sont passibles de sanction pénale", a-t-il précisé à l'AFP.
Une 100aine de p. bloquées à l'entrée du quartier de l'empereur. Forces de l'ordre présentes en nombre. #Ajaccio pic.twitter.com/zOb4ZRzkIm
— Julien Cholin (@jcholin) 27 Décembre 2015
Je suis Ajaccio.
Ceux qui ont commis ces crimes…doivent être simplement renvoyés chez eux…
Nullement nécessaire de les garder en prison…5 étoiles.
Ce qui ne frappe…chez ces gens-là…est leur culot…et leur haute délinquance..Ils sont accueillis, nourris logés…et ne trouvent rien d’autre à faire que de caillasser les pompiers et les policiers…et de traiter les autochtones de sâles corses…et de prendre ce territoire pour le leur….C’est cela l’invasion……
Mais si la France est dans un tel merdier….le seul responsable est le gouvernement. On protège les délinquants….et on empêche les gens de vivre chez eux……
Les corses ont entièrement raison de se défendre….et si le préfet machin ne trouvent pas les coupables….je fais confiance aux corses pour les retrouver….
Corses vous êtes chez vous….et vous avez pleinement le droit de vous défendre et défendre votre territoire….ceux qui vous en empêchent sont des traitres et des vendus…ne vous laissez pas faire…..
Voilà, là est un problème crucial: les forces de l’ordre vont-elles se mettre du côté du Peuple ou contre le Peuple?
Les gouvernements occidentaux ont, depuis des années et contre la volonté des peuples, fait venir et entretenu des millions d’envahisseurs hostiles, interdisant toute réaction de rejet par une police de la pensée stricte et la judiciarisation du débat politique.
Il était donc évident que la force publique prendrait la défense des envahisseurs dès que les peuples réagiraient physiquement.
C’est maintenant le cas en Corse mais ça l’est déjà depuis longtemps en France (punition pour ceux qui se défendent contre leurs cambrioleurs et agresseurs) et ailleurs où les centres d’accueils sont protégés par la police.
Lorsque le discours bisounours “il ne faut pas en vouloir aux immigrés mais seulement à ceux qui les font venir” s’essouffle suite au comportement ignoble des envahisseurs, car en cas de guerre il est évident qu’on doit d’abord combattre l’armée d’invasion avant de faire tomber son général, alors l’utilisation de la force publique devient nécessaire contre les peuples révoltés.
Bien naïf qui ne l’avait pas vu venir.