Les enseignants se disent prêts à assumer leur part de cet effort d'intégration. Mais à leurs yeux, les ressources existantes ne suffisent pas pour financer cette charge supplémentaire.
Les enseignants s'attendent à un nombre croissant d'enfants réfugiés en Suisse. Certains sont traumatisés, beaucoup sont non accompagnés et ils n'ont jamais été scolarisés ou plus depuis longtemps. Pour faire face, le corps enseignant formule différentes revendications.
@Théodore : Frau Brezel femme de l’année et Théodore gestionnaire de l’année.
Je valide le modèle de gestion.
Solidarité.
Voyons chers enseignants, vous qui adulez la gauche, le multiculturalisme et tout ce qui va avec, VOUS détenez la solution du financement : soyez bénévoles pour cet encadrement ! Vous le demandez si souvent aux élèves….aux parents, voire grand parents…allez SOYEZ SOLIDAIRES pour une fois dans votre vie de bobos privilégiés à l’abri de tous les tracas que connaissent les salariés.
db
Nous n’avons pas à payer la scolarisation de ces enfants. Point barre. Il n’y a pas de place ici ni de travail pour eux plus tard, soyons réalistes. Ces gens viennent en attendant tout, sans aucune humilité. Et nous ? Nous payerions ?
Comment vont faire les enseignants et élèves suisses ?
db
Et quand on dit que les coûts de l’asile sont minimisés…