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« La Suisse, membre de l’espace Schengen, devra reprendre plus systématiquement la législation communautaire et accepter, en cas de litige, que la Cour du Luxembourg soit le garant ultime de l’interprétation du droit européen. De facto, la Confédération perdra en marge de manœuvre »
http://www.blick.ch/fr/news/suisse/poker-politique-laccord-cadre-entre-la-suisse-et-lue-nest-pas-si-mort-que-ca-id18444534.html
« Les seules lignes rouges que la population refuse clairement de franchir sont l’acceptation de la directive de l’Union européenne sur la citoyenneté et le renoncement au droit de référendum. »
http://www.watson.ch/fr/suisse/politique/654306556-les-suisses-demeurent-en-faveur-des-accords-bilateraux
http://www.lematin.ch/story/le-conseil-federal-sur-le-point-de-jeter-leponge-391699215533
http://www.lenouvelliste.ch/articles/suisse/suisse-ue-il-y-a-20-ans-l-initiative-oui-a-l-europe-recevait-une-claque-1053022
FRA :
http://www.weltwoche.ch/amp/2018-32/artikel/fredito-confederes-die-weltwoche-ausgabe-30-2018.html
FRA :
http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2018-28/artikel/fredito-un-patchwork-reussi-die-weltwoche-ausgabe-28-2018.html
DEU :
http://www.aargauerzeitung.ch/kommentare-aaz/die-schweiz-hat-es-besser-als-grossbritannien-131179724
“Das angestrebte Rahmenabkommen enthält, soweit bekannt, zwei heikle Elemente.
Das erste ist die dynamische Rechtsübernahme: Die Schweiz müsste alle Gesetze, welche die EU in Zukunft beschliesst, übernehmen, falls es um Themen geht, die über bilaterale Verträge mit der EU geregelt sind, und das sind enorm viele. Weder das Parlament noch das Volk könnten über diese neuen oder geänderten Gesetze abstimmen.
Das zweite heikle Element des Rahmenabkommens läuft unter dem Schlagwort «fremde Richter»: Wenn sich die Schweiz und die EU nicht einig sind in bilateralen Fragen, die den Marktzugang betreffen (dazu zählt auch die Personenfreizügigkeit), dann hat der EU-Gerichtshof das letzte Wort.”
http://www.letemps.ch/suisse/2017/04/02/partis-bourgeois-veulent-larret-negociations-lue
Monsieur Piccand,
Je vous remercie pour votre longue réponse. Je vais commencer par lire le contenu de votre lien sur pétition demandant l’organisation des Etats Généraux en Suisse.
Pour d’autres questions, je vous joindrais via votre messagerie électronique.
Cordialement
G. Vuilliomenet
Cher Mr Vuilliomenet,
Sous le billet de Mr Décaillet sur la TDG vous me demandiez ce que l’on peut faire. Tant il est vrai que nous écrivons, postons, nous exprimons par centaines depuis maintenant des années et que rien ne change mais qu’au contraire tout empire. La réponse que je vous destinais est parue ce jour sur son blog. Je me permets de la reproduire ici dans l’idée et l’espoir qu’elle pourrait apporter quelque chose de concret aux nombreuses personnes qui dans ce pays se posent la même question. Que faire ?
En voici la copie :
Comment faire pour que notre démocratie directe ne disparaisse pas est aussi pour moi une question lancinante. Je tourne et retourne cette question depuis de nombreuses années et il en ressort quelques évidences que je cherche à porter à la connaissance du peuple. Tout mon travail tourne autour de ça. En voici un bref résumé. Deux constats.
1. Le peuple en Suisse n’est pas correctement informé. C’est une évidence qui est aujourd’hui démontrée.
L’information politique et économique est essentiellement produite en Suisse par l’administration fédérale et des groupes d’intérêts politiques ou économiques, qui produisent eux-mêmes des études et des rapports ou mandatent des chercheurs universitaires qu’ils rémunèrent. Cette information est ensuite diffusée par la presse mainstream et la radiotélévision d’Etat.
Dans mon premier essai “La croissance économique de la Suisse, un drame politique caché” où j’analyse de manière rigoureuse la manière dont la libre-circulation des personnes a été introduite en Suisse, et dresse le catalogue de ses effets négatifs passés sous silences par les études et rapports officiels précités, le lecteur comprend très vite que les producteurs d’information précités sont tous à la fois “juge et partie” qu’ils ont tous un intérêt particulier à faire pencher l’information dans le sens qui les arrange. Ce qui est une catastrophe du point de vue à la fois scientifique et politique.
Toute l’information est biaisé et des erreurs monumentales sont commises, je le démontre dans l’essai précité par des faits précis et documentés reposant uniquement sur des faits avérés et des sources officielles. Les dissimulations et les manipulations du peuple sont clairement documentées. Il est probable qu’une partie même des politiciens et des journalistes n’en soient eux-mêmes pas tout à fait conscients.
2. Le peuple Suisse est aujourd’hui totalement divisé et polarisé entre droite et gauche.
C’est la pire des choses qui pouvait nous arriver. Je ne vous apprendrai rien sur la formule « diviser pour régner ». Je crois que nous sommes en plein dedans. Le peuple passe aujourd’hui son temps à s’invectiver et à se disputer sur des sujets proposés par la presse et les politiciens, dans des disputes parfois très secondaires du point de vue global de notre société, ou montées de toute pièce (je ne crois pas vivre dans un monde aussi xénophobe qu’on le décrit) alors que précisément notre démocratie est en train de régresser voir de disparaître. Pendant que le peuple se dispute sur ces questions, il regarde ailleurs et ne pose pas les questions qui dérangent.
Il ressort à mon avis de ces deux constats (1 + 2) que si le peuple veut changer quelque chose en Suisse cela doit émerger de lui-même et surtout en dehors des médias précités et des partis politiques. Par exemple un mouvement informel qui ferait abstraction de la division gauche droite et réunirait tous les Suisses qui défendent la démocratie directe et qui pourrait, pour commencer, prendre la forme d’une pétition pour des Etats généraux sur l’information, comme vous pourrez le trouver ici :
http://lc.cx/ZqP3
Si des vérités ne sont pas dites ou cachées alors il n’y a pas de dialogue possible, il n’y pas d’avancée possible. Il n’y a pas de démocratie sans vérité. Tous mes essais reposent sur cette idée et ce principe, d’abord écrire des essais sérieux qui rétablissent les faits et la vérité. C’est tout l’objet de mon travail. C’est une base argumentaire nécessaire avant toute revendication.
Mais depuis maintenant plus de deux ans alors que tous ceux qui font l’opinion en Suisse-romande en ont été informés presque pas un-e n’a daigné même me répondre… ni même prendre connaissance de mon travail. Et sans surprise puisque je les remets en question et souvent les dénonce.
Seul le peuple pourrait s’intéresser à mon travail et en parler entre lui-même par bouche à oreille, mais est-ce encore possible. Tout le matériel, les livres et les arguments sont là à sa disposition, il suffirait que les gens en parlent entre eux. J’ai travaillé durant des années sur ces essais et cette démarche, je n’ai reçu aucun soutien ni aide de personne, et je rêve que les Suisses se demandent quand même un jour pourquoi un citoyen écrit à leur intention des livres pour les informer. Qu’ils se demandent s’ils ne devraient pas s’intéresser à ce que leur raconte avec honnêteté un citoyen dans des livres citoyens qui n’ont été financés par aucun lobby, parti politique ou groupe financier ou médiatique.
Les essais précités vont paraître dans la semaine qui vient sur Kobo et donc le lecteur e-book de la fnac. Pour répondre à votre question par rapport à amazon.
Merci encore pour votre intérêt Mr Vuilliomenet.
Si des personnes sont intéressées par cette démarche d’Etats généraux de l’information ou ont d’autre projets pour défendre la démocratie directe elles peuvent me contacter à [email protected]
merci
l’UE est morinonde, les petits pays ont en marre du diktar de l’Allemagne. Faire un contre feu en revigorant l’AELE et rebâtir sur ses fonds une Europe alternative, fédéraliste, et respectueuse de l’avis des peuples.
Ca y est, j’ai adhéré au Comité contre l’adhésion à l’UE ! Et une bonne chose de faite, une !
@ Monsieur Michel Piccand
Alors que vous nous affirmez que la classe politique suisse se paye la tête du Peuple, ce que je pense être vrai, Monsieur Pascal Décaillet continue, lui, à nous affirmer qu’il n’y a qu’un chef, qu’un Souverain, c’est le Peuple. Il ne me semble pas qu’il soit réellement conscient que ce qui faisait notre différence avec les pays voisin est en train de s’estomper gentiment mais sûrement.
http://www.ghi.ch/le-journal/lactu-de-decaillet/le-peuple-souverain-ultime
Nous aimerions bien l’entendre sur toutes ces initiatives acceptées par le Peuple et qui sont en attente d’être mises en application. Peut-être comme dans toutes les républiques bananières, des fonctionnaires malhonnêtes et véreux ont estimé mieux que ces initiatives soient placées tout en dessous de la file d’attente.
Luzi Stamm en a parlé sur forum il y a un mois environ.
Son interlocutrice du PS, lui a rétorqué : “Il n’y a pas d’adhésion insidieuse”.
Merci de nous mettre en garde contre la trahison du CF. Nous allons êtres vigilants, il faut refuser ce contrat cadre et garder notre indépendance.
En pleine élection fédérale, aucun partis et encore moins les médias n’osent se lancer dans ce débat, ce qui me fait penser que les carottes sont cuites.
Un moyen existe pour arrêter cela, mais aucun politicien ne l’applique. L’application de l’art. 266 CP.
Dès le 18 septembre, 2 mois avant la date des élections fédérales, je poserai la question publiquement à tous les canditats eurosceptiques à ce sujet.
On verra qui s’engage vraiment pour l’indépendance de la Suisse.
Je vous invite à faire de même.
Voici ce que déclarait le Conseil fédéral en 1994 et 1999 « L’ADHESION à l’UE constitue l’objectif stratégique de la politique d’intégration » (FF 1994 I 180), « il (le Conseil Fédéral) doit représenter les intérêts à long terme du pays en poursuivant SON BUT de manière résolue, MÊME SI LES MOYENS UTILISES SONT REFUSES par une partie de la population » (Rapport du Conseil fédéral sur l’intégration 1999, 3887). Voir « La croissance économique de la Suisse, un drame politique caché » p.18, © 2015 Michel Piccand.
Extrait ici : http://lc.cx/ZKMS
La situation est encore pire que celle présentée dans la vidéo, puisque aujourd’hui c’est la démocratie directe qui est remise en question par les théoriciens du PS et du PLR. Voir absolument l’essai « Suisse, années 2015… Un Peuple Qui Disparaît » Michel Piccand.
Extrait ici : http://lc.cx/Z8zv
Depuis des années la majorité du peuple en Suisse est CONTRE l’adhésion à l’UE. Depuis des années la majorité du Conseil fédéral est POUR. Quand donc cela va-t-il s’arrêter ? Quand donc va-t-on arrêter de se moquer des citoyens ?